urba a écrit : leur professionnalisme et leur fiabilité
et leur radicalisation, aussi.
(qui elle, pour le coup, est gage de spectacle)
Je ne te laisserai pas attaquer une profession injustement stigmatisée. Il s'agit évidemment d'un individu isolé, qui notons le, a quitté son emploi en cours de radicalisation. Car il est évident que l'intégrité d'un chauffeur d'autobus n'est pas compatible avec de tels agissements.
«Je connais bien le monde ouvrier, j’en ai licencié des milliers» Donald Trump
Kieros a écrit :C'est devenu un sport d'ingénieurs et non plus de pilotes, donc les performances deviennent très abstraites. Tout se joue désormais dans le bureau d'études. Hormis 3-4 grands pilotes restant, tout le plateau n'est formé que de chauffeurs de bus : ils doivent, tour après tour, respecter les horaires et les temps au tour que les ingés ont calculé à partir des simulations de la course.
Nous tenons à préciser (au cas où) que chauffeur de bus n'est pas insulte, juste un hommage à leur professionnalisme et leur fiabilité (du coup ce n'est pas gage de spectacle)
Précisément Les écuries ne recherchent plus tant un pilote rapide sur un tour, mais un pilote à la fois endurant, qui reproduit avec régularité des temps pré-calculés, qui économise le matériel, sait garder son sang-froid et ne sort pas de la route. Un parfait chauffeur de bus donc (et j'ai le plus grand respect pour les chauffeurs de bus, dans le métier de la conduite, c'est sans doute ce qu'il y a de plus difficile, juste derrière conducteur de camion en amazonie/alaska et conducteur de go-fast à Marseille)
L'incertitude a beaucoup moins de place dans le sport auto de nos jours (comme dans quasi tous les sports), les courses sont simulées à l'avance et le seul facteur d'incertitude reste la capacité du pilote à bien suivre les consignes de son équipe, ou non
L'absence de communication radio durant la course à partir de cette année risque de remettre un peu en cause certains facteurs
Pas convaincu par la théorie du complot, ni par le théorème de l'équilibrage (i.e. Le théorème des gentils cons) qui consiste à dire que les erreurs d'arbitrage s'équilibrent sur une saison
Il a un petit air de Christophe de Margerie également, l'ancien patron de Total (décédé il y a deux ans dans un accident d'avion).
"[...] n'importe quel leader, s'il devrait décrire sa responsabilité en une phrase, sa fonction est d'éviter que ceux qui sont sous sa conduite plient face à l'adversité, cette équipe a dû affronter une avalanche, une infinité d'adversités, je n'ai pas réussi à ce qu'ils résistent, la responsabilité est mienne."
Il est jeune mais plus de 200GP, c'est davantage que Prost, Hakkinen, Mansell... il doit être un peu usé malgré tout. Et puis je trouve ça moins triste que Button qui finit sa carrière en fond de grille
Sinon, retour du GP de France au Castellet en 2018 Je ne l'espérais plus, quelle joie
Ca ne me choque pas du tout, il n'a pas 25 ans non plus, et il faut aussi savoir s'arrêter au bon moment.
Je me demande si la présence d'Hamilton n'a pas dû jouer aussi dans sa décision, car je pense que le petit Lewis risquerait d'être encore plus très capricieux la saison prochaine pour qu'on mette tous les moyens de son côté pour le titre mondial.
“Je ne suis ni pour, ni contre, bien au contraire.”
Syd a écrit :Ca ne me choque pas du tout, il n'a pas 25 ans non plus, et il faut aussi savoir s'arrêter au bon moment.
Je me demande si la présence d'Hamilton n'a pas dû jouer aussi dans sa décision, car je pense que le petit Lewis risquerait d'être encore plus très capricieux la saison prochaine pour qu'on mette tous les moyens de son côté pour le titre mondial.
Ca a probablement dû jouer, parce que Hamilton ne ratera surement pas sa prochaine saison comme il a raté celle-ci (c'est relatif mais pour un top pilote comme Hamilton, c'est une saison ratée), et Rosberg est un pilote honnête mais surement pas capable de renouveler les perfs qu'il a fait cette saison. C'est quand même exceptionnel ce qu'a fait Rosberg cette année, c'est un peu comme si Barrichello avait battu Schumacher à la régulière (rappelons que Rosberg est un pilote qui a mis 111 GP pour gagner sa 1ère course, paye ta lose Jean Alesienne )
Les écuries ne recherchent plus tant un pilote rapide sur un tour, mais un pilote à la fois endurant, qui reproduit avec régularité des temps pré-calculés, qui économise le matériel, sait garder son sang-froid et ne sort pas de la route. Un parfait chauffeur de bus donc
(et j'ai le plus grand respect pour les chauffeurs de bus, dans le métier de la conduite, c'est sans doute ce qu'il y a de plus difficile, juste derrière conducteur de camion en amazonie/alaska et conducteur de go-fast à Marseille)
Je ne l'espérais plus, quelle joie 
(rappelons que Rosberg est un pilote qui a mis 111 GP pour gagner sa 1ère course, paye ta lose Jean Alesienne 
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