Article sur le foot français et étranger
- butterfly15
- Anigo : On sait pas comment mais t'es toujours là
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Article sur le foot français et étranger
• LE MONDE | 16.12.02 | 13h03
Le football français cherche, sans succès, à guérir de ses maux
Alors que leur poids européen semble plus faible que jamais et que leur championnat d'élite déroute plus d'un observateur, les clubs français explorent ailleurs en Europe des solutions dont ils pensent qu'elles pourraient lui permettre de sortir de cette crise.
Le football français vit une période paradoxale. Il ne compte plus aucun représentant en Ligue des champions et seulement un seul (Auxerre) en Coupe de l'UEFA, mais sa cote n'a jamais été aussi élevée : 520 millions d'euros par an.
Tel est le montant que la Ligue de football professionnel (LFP) pense obtenir dans la renégociation des droits télévisés du championnat (lire p. 26). Les clubs français devraient ainsi toucher autant que leurs homologues espagnols, allemands et italiens, mais deux fois moins que les clubs anglais. Ces contrats sont loin, cependant, de combler le fossé qui sépare le football français de ses voisins européens en matière de développement sportif et économique.
DES CLUBS ENDETTÉS MAIS REVENDICATIFS
Le principal argument des dirigeants français pour expliquer les difficultés de leurs clubs consiste à dénoncer l'existence de "contraintes" spécifiquement françaises, comme les charges sociales et fiscales qui font fuir les meilleurs joueurs. Le football français aurait tort de croire que tout est rose à l'étranger. Les clubs allemands ont vu leurs revenus issus de la télévision baisser après la faillite du groupe de média Kirch. De nombreux clubs anglais ont été fragilisés par la chute de la chaîne ITV Digital. La situation n'est guère plus brillante en Italie, où plusieurs clubs sont en grande difficulté, comme la Lazio Rome, et en Espagne, où le football évolue dans un endettement permanent.
La Ligue italienne a exhorté les clubs de baisser leurs masses salariales de 30 % à 50 % afin d'éviter une banqueroute générale. La Ligue allemande a évoqué la création d'une "clause télévision" dans les contrats des joueurs afin de les indexer à d'éventuelles faillites des chaînes. L'idée d'un plafonnement des salaires est également très avancée en Angleterre. En France, la situation est à peine différente : les dettes présumées du PSG sont de 30 millions d'euros et celles de l'AS Monaco de 50 millions d'euros. Mais là, personne ne tire la sonnette d'alarme. Le débat est, avant tout, revendicatif. A la rentrée 2003, les représentants de la LFP iront réclamer au ministre des sports, Jean-François Lamour, des aménagements fiscaux et sociaux.
UN RETARD IMPORTANT EN MATIÈRE DE NOUVELLES RESSOURCES
Toujours en quête de nouvelles ressources, les clubs européens explorent de nouvelles voies. L'une d'elles consiste à acquérir ou construire un stade afin de maîtriser son aménagement et multiplier des recettes complémentaires. Les deux clubs munichois, le Bayern et Munich 1860, ont lancé le chantier d'une enceinte commune qui sera en partie financée par le groupe d'assurance Allianz, dont il portera le nom. En Italie, les deux clubs de Rome envisagent de racheter le Stade olympique à la municipalité. La Juventus Turin veut ouvrir un complexe touristique et le FC Barcelone un parc d'attractions. En Angleterre, de nouveaux stades vont sortir de terre à Liverpool, Fulham, Arsenal, Everton, etc. Le but n'est pas seulement d'attirer un public plus important ; il est aussi de proposer un meilleur confort et, donc, des tarifs plus élevés. En France – où le billet d'entrée moyen est le moins cher des cinq principaux championnats européens (15 euros) – les clubs ne possèdent pas leur stade, à l'exception d'Auxerre. La seule initiative allant vers une maîtrise partielle de l'équipement est le bail emphytéotique de 99 ans que le RC Lens a signé avec la municipalité pour la gestion de Félix-Bollaert.
Autre piste explorée par les clubs européens : l'internationalisation. Manchester United a montré le chemin en effectuant des tournées en Asie afin d'y accroître sa popularité. MU lorgne désormais sur les Etats-Unis, où le club se rendra à l'été 2003 en compagnie de Barcelone et de la Juventus. Liverpool, de son côté, ira en Chine, un marché qui intéresse décidément beaucoup le football anglais. Everton a recruté deux internationaux chinois et signé un contrat de sponsoring avec l'entreprise de téléphonie Kejian. Manchester City possède également un footballeur chinois alors que Newcastle va ouvrir une boutique de produits dérivés à Dalian.
Les championnats anglais, italien, allemand et espagnol sont très regardés en dehors de leurs frontières. Ce qui n'est pas le cas du championnat de France. Les droits TV de la Ligue 1 à l'étranger rapportent 7,6 millions d'euros par an, soit treize fois moins que la Premier League anglaise.
Le football français est également en retard dans d'autres domaines, comme la capitalisation sur les droits d'image des joueurs, ce que font les grands clubs espagnols. Il en est de même pour la "titrisation", une technique financière consistant à céder ses actifs à un partenaire qui en devient propriétaire en échange d'une émission de titres : Adidas, par cette voie, a fait son entrée dans le capital du Bayern Munich.
LA SOLIDARITÉ REMISE EN CAUSE
Obsédés par l'idée d'augmenter leurs ressources, les clubs français iront-ils jusqu'à saborder ce qui fait leur spécificité ? L'un des principes du modèle économique français est en danger : la solidarité. Plusieurs "grands" clubs souhaitent une nouvelle répartition des recettes issues de la télévision, qui prendrait en compte la "notoriété" des équipes. Pour ce faire, l'OM va déposer plainte contre la LFP. L'idée d'une réduction de la Ligue 1 de vingt à dix-huit clubs va dans le même sens. Le débat pourrait même s'étendre aux contributions versées aux clubs de Ligue 2. "Chaque club de L2 touche 2,13 millions d'euros au titre de la solidarité. Or, le championnat de L2 ne ramène que 15 millions d'euros dans le pot commun. Il y a quelque chose qui ne va pas", souligne le président d'un "grand" club.
LA FORMATION EN DANGER
Un autre socle du football français est menacé : la formation. La loi Buffet oblige désormais les centres de formation à répondre à un cahier des charges que les clubs jugent contraignant. Ces derniers se disent démunis face au "pillage" des clubs étrangers. Ils espéraient que la Fédération internationale (FIFA) évalue à 686 000 euros par année de formation l'indemnité censée compenser le départ d'un jeune joueur. La FIFA l'a fixée à 90 000 euros. Les clubs français estiment que la formation n'est plus "rentable" et voudraient voir disparaître l'obligation pour un club professionnel d'avoir un centre de formation. L'OM a gelé son projet de construction d'un nouveau bâtiment. Le PSG envisage de réduire la capacité d'accueil de son centre de formation.
Frédéric Potet
Le football français cherche, sans succès, à guérir de ses maux
Alors que leur poids européen semble plus faible que jamais et que leur championnat d'élite déroute plus d'un observateur, les clubs français explorent ailleurs en Europe des solutions dont ils pensent qu'elles pourraient lui permettre de sortir de cette crise.
Le football français vit une période paradoxale. Il ne compte plus aucun représentant en Ligue des champions et seulement un seul (Auxerre) en Coupe de l'UEFA, mais sa cote n'a jamais été aussi élevée : 520 millions d'euros par an.
Tel est le montant que la Ligue de football professionnel (LFP) pense obtenir dans la renégociation des droits télévisés du championnat (lire p. 26). Les clubs français devraient ainsi toucher autant que leurs homologues espagnols, allemands et italiens, mais deux fois moins que les clubs anglais. Ces contrats sont loin, cependant, de combler le fossé qui sépare le football français de ses voisins européens en matière de développement sportif et économique.
DES CLUBS ENDETTÉS MAIS REVENDICATIFS
Le principal argument des dirigeants français pour expliquer les difficultés de leurs clubs consiste à dénoncer l'existence de "contraintes" spécifiquement françaises, comme les charges sociales et fiscales qui font fuir les meilleurs joueurs. Le football français aurait tort de croire que tout est rose à l'étranger. Les clubs allemands ont vu leurs revenus issus de la télévision baisser après la faillite du groupe de média Kirch. De nombreux clubs anglais ont été fragilisés par la chute de la chaîne ITV Digital. La situation n'est guère plus brillante en Italie, où plusieurs clubs sont en grande difficulté, comme la Lazio Rome, et en Espagne, où le football évolue dans un endettement permanent.
La Ligue italienne a exhorté les clubs de baisser leurs masses salariales de 30 % à 50 % afin d'éviter une banqueroute générale. La Ligue allemande a évoqué la création d'une "clause télévision" dans les contrats des joueurs afin de les indexer à d'éventuelles faillites des chaînes. L'idée d'un plafonnement des salaires est également très avancée en Angleterre. En France, la situation est à peine différente : les dettes présumées du PSG sont de 30 millions d'euros et celles de l'AS Monaco de 50 millions d'euros. Mais là, personne ne tire la sonnette d'alarme. Le débat est, avant tout, revendicatif. A la rentrée 2003, les représentants de la LFP iront réclamer au ministre des sports, Jean-François Lamour, des aménagements fiscaux et sociaux.
UN RETARD IMPORTANT EN MATIÈRE DE NOUVELLES RESSOURCES
Toujours en quête de nouvelles ressources, les clubs européens explorent de nouvelles voies. L'une d'elles consiste à acquérir ou construire un stade afin de maîtriser son aménagement et multiplier des recettes complémentaires. Les deux clubs munichois, le Bayern et Munich 1860, ont lancé le chantier d'une enceinte commune qui sera en partie financée par le groupe d'assurance Allianz, dont il portera le nom. En Italie, les deux clubs de Rome envisagent de racheter le Stade olympique à la municipalité. La Juventus Turin veut ouvrir un complexe touristique et le FC Barcelone un parc d'attractions. En Angleterre, de nouveaux stades vont sortir de terre à Liverpool, Fulham, Arsenal, Everton, etc. Le but n'est pas seulement d'attirer un public plus important ; il est aussi de proposer un meilleur confort et, donc, des tarifs plus élevés. En France – où le billet d'entrée moyen est le moins cher des cinq principaux championnats européens (15 euros) – les clubs ne possèdent pas leur stade, à l'exception d'Auxerre. La seule initiative allant vers une maîtrise partielle de l'équipement est le bail emphytéotique de 99 ans que le RC Lens a signé avec la municipalité pour la gestion de Félix-Bollaert.
Autre piste explorée par les clubs européens : l'internationalisation. Manchester United a montré le chemin en effectuant des tournées en Asie afin d'y accroître sa popularité. MU lorgne désormais sur les Etats-Unis, où le club se rendra à l'été 2003 en compagnie de Barcelone et de la Juventus. Liverpool, de son côté, ira en Chine, un marché qui intéresse décidément beaucoup le football anglais. Everton a recruté deux internationaux chinois et signé un contrat de sponsoring avec l'entreprise de téléphonie Kejian. Manchester City possède également un footballeur chinois alors que Newcastle va ouvrir une boutique de produits dérivés à Dalian.
Les championnats anglais, italien, allemand et espagnol sont très regardés en dehors de leurs frontières. Ce qui n'est pas le cas du championnat de France. Les droits TV de la Ligue 1 à l'étranger rapportent 7,6 millions d'euros par an, soit treize fois moins que la Premier League anglaise.
Le football français est également en retard dans d'autres domaines, comme la capitalisation sur les droits d'image des joueurs, ce que font les grands clubs espagnols. Il en est de même pour la "titrisation", une technique financière consistant à céder ses actifs à un partenaire qui en devient propriétaire en échange d'une émission de titres : Adidas, par cette voie, a fait son entrée dans le capital du Bayern Munich.
LA SOLIDARITÉ REMISE EN CAUSE
Obsédés par l'idée d'augmenter leurs ressources, les clubs français iront-ils jusqu'à saborder ce qui fait leur spécificité ? L'un des principes du modèle économique français est en danger : la solidarité. Plusieurs "grands" clubs souhaitent une nouvelle répartition des recettes issues de la télévision, qui prendrait en compte la "notoriété" des équipes. Pour ce faire, l'OM va déposer plainte contre la LFP. L'idée d'une réduction de la Ligue 1 de vingt à dix-huit clubs va dans le même sens. Le débat pourrait même s'étendre aux contributions versées aux clubs de Ligue 2. "Chaque club de L2 touche 2,13 millions d'euros au titre de la solidarité. Or, le championnat de L2 ne ramène que 15 millions d'euros dans le pot commun. Il y a quelque chose qui ne va pas", souligne le président d'un "grand" club.
LA FORMATION EN DANGER
Un autre socle du football français est menacé : la formation. La loi Buffet oblige désormais les centres de formation à répondre à un cahier des charges que les clubs jugent contraignant. Ces derniers se disent démunis face au "pillage" des clubs étrangers. Ils espéraient que la Fédération internationale (FIFA) évalue à 686 000 euros par année de formation l'indemnité censée compenser le départ d'un jeune joueur. La FIFA l'a fixée à 90 000 euros. Les clubs français estiment que la formation n'est plus "rentable" et voudraient voir disparaître l'obligation pour un club professionnel d'avoir un centre de formation. L'OM a gelé son projet de construction d'un nouveau bâtiment. Le PSG envisage de réduire la capacité d'accueil de son centre de formation.
Frédéric Potet





- Zizou21
- Zubar : Eternel espoir, tu feras jamais tes preuves
- Messages : 2198
- Enregistré le : mar. janv. 01, 2002 1:00
- Localisation : Baden-Baden
Bon article, ma foi. Il résume bien la situation et soulève plein de problèmes.
Evidemment on est en retard, même si nos gros benêts de dirigeants ne s'en sont pas rendus compte, trop occupés qu'ils étaient à se masturber sur notre si belle éuiqpe de France, ou à baffrer aux frais de la fédération. Maintenant, c'est sûr, ça va être dur de remonter la pente...
Surtout que dans les autres pays des dettes colossales ne font pas peur alors que chez nous, le moindre centime de déficit entraîne rétrogradation. (encore que, ça dépend des clubs
)
Il faudrait, pour qu'on puisse être au niveau en Coupe d'Europe, que la législation soit la même partout. A l'heure où l'Europe "Marché Commun" prend une telle importance, ces différences de lois et de traitements sont d'une injustice sans nom.
Evidemment on est en retard, même si nos gros benêts de dirigeants ne s'en sont pas rendus compte, trop occupés qu'ils étaient à se masturber sur notre si belle éuiqpe de France, ou à baffrer aux frais de la fédération. Maintenant, c'est sûr, ça va être dur de remonter la pente...
Surtout que dans les autres pays des dettes colossales ne font pas peur alors que chez nous, le moindre centime de déficit entraîne rétrogradation. (encore que, ça dépend des clubs

Il faudrait, pour qu'on puisse être au niveau en Coupe d'Europe, que la législation soit la même partout. A l'heure où l'Europe "Marché Commun" prend une telle importance, ces différences de lois et de traitements sont d'une injustice sans nom.
- malachi
- Zubar : Eternel espoir, tu feras jamais tes preuves
- Messages : 4938
- Enregistré le : lun. août 26, 2002 11:31
- Localisation : Parigot
Ils sont quand même un peu facile dans leur démonstration en montrant Bouchet comme l'homme qui veut mettre à bas la solidarité.
Ce n'est pas du tout le cas. 50 % des sous sont répartis de façon équitable entre les clubs et Bouchet a répété au moins 10 fois qu'il n'entendait pas remettre ça en cause. Ce qu'il veut c'est qu'une partie de l'argent qui est reparti sur les resultats des 5 dernieres saisons, en gros de l'argent que ne voit pas les petits , le soit sur l'indice de diffusion.
Donc le Monde, en gros sur ce coup là, ils mentent.

Ce n'est pas du tout le cas. 50 % des sous sont répartis de façon équitable entre les clubs et Bouchet a répété au moins 10 fois qu'il n'entendait pas remettre ça en cause. Ce qu'il veut c'est qu'une partie de l'argent qui est reparti sur les resultats des 5 dernieres saisons, en gros de l'argent que ne voit pas les petits , le soit sur l'indice de diffusion.
Donc le Monde, en gros sur ce coup là, ils mentent.



- butterfly15
- Anigo : On sait pas comment mais t'es toujours là
- Messages : 26057
- Enregistré le : mar. janv. 01, 2002 1:00
- Contact :
Je suis d'accord, ils presentent la chose de manière a ne pas remettre en cause notre système de répartition qui serait meilleur que les autres, et en fait nous serions en retard seulement au niveau des infrastructures et de la popularité des clubs a l'étranger, et en soulignant l'endettement des clubs italiens et espagnol de démontrer les bienfaits de la DNCG, bref cet article est interessant (c'est pour ça que je l'ais mis) mais ne me convainc pas, c'est toujours la même rengaine, nous sommes mauvais mais nous sommes dans le vrai, c'est aux autres de faire comme nousIls sont quand même un peu facile dans leur démonstration en montrant Bouchet comme l'homme qui veut mettre à bas la solidarité.
Ce n'est pas du tout le cas. 50 % des sous sont répartis de façon équitable entre les clubs et Bouchet a répété au moins 10 fois qu'il n'entendait pas remettre ça en cause. Ce qu'il veut c'est qu'une partie de l'argent qui est reparti sur les resultats des 5 dernieres saisons, en gros de l'argent que ne voit pas les petits , le soit sur l'indice de diffusion.
Donc le Monde, en gros sur ce coup là, ils mentent.![]()
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- attila2001
- Anigo : On sait pas comment mais t'es toujours là
- Messages : 25371
- Enregistré le : ven. mai 03, 2002 19:14
- Localisation : côté obscur de la force
le monde dit que la dette présumées du p :fuck2: est 30 millions d'euros or xavier couture parlait, lui, d'une dette de 150 millions d'euros
après l'équipe c'est le monde qui a du mal avec les chiffres

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Voici venu le temps des rires et deschamps
Dans l'île aux enfants
C'est tous les jours le printemps
C'est le pays joyeux des enfants heureux
Des monstres gentils
Oui c'est un paradis
http://www.youtube.com/watch?v=xyDAeByWWF0
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- attila2001
- Anigo : On sait pas comment mais t'es toujours là
- Messages : 25371
- Enregistré le : ven. mai 03, 2002 19:14
- Localisation : côté obscur de la force
un certain francis llacer, joueur du p :fuck2: , a montré son :cul: à des journalistes mais ils n'ont pas osé lui foutre un coup de piedEt qu'est-ce qu'on ferait avec toutes ces tunes? On se planterait tous au 2e tour de C1 et les 3 autres eraient éliminés en 8e d'uEFA???? SUper le progrès!!!
Le suel moyen de remonter la pente c'est de foutre un coup de pied au cul de ces branleurs de joueurs!!!
conos de journaleux

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