Puis le trou béant est rentré de vacances, juste à temps pour sa chronique dans le Canal Football Club.Australie : une plage avalée par un trou géant
Vers 23 heures samedi, une plage de la région du Queensland en Australie a partiellement été dévorée par l'eau. Un trou de la taille d'"un terrain de foot environ" a obligé les 140 personnes qui s'y trouvaient à évacuer les lieux. Le phénomène - assez fréquent dans la région - se serait produit à cause d'une cavité souterraine qui se serait formée et serait remontée jusqu'à la surface.
Si aucune des personnes se trouvant sur la plage n'a été blessée, le trou béant a tout de même englouti plusieurs tentes et véhicules lors de l'effondrement de terrain sur 3 mètres de profondeur.
Sortir les drapeaux nazis, passe encore; mais la décence impose de ne pas le faire en juif.Nice: la préfecture arbore un drapeau nazi et doit s'expliquer
Un immense drapeau nazi rouge a flotté brièvement lundi matin sur la façade du palais de la préfecture des Alpes-Maritimes, obligée de rédiger un communiqué pour expliquer cette surprenante mainmise du troisième Reich: le bâtiment servait de décor pour un film.
Un touriste franco-américain a immortalisé le moment et envoyé son cliché au journal Nice-Matin.
"Les gens ne savaient pas s'il s'agissait d'un canular, d'un tournage de film, d'une provocation... Alors, dès l'apparition sur le toit des deux hommes chargés de dérouler le drapeau, la foule s'est mise à crier sur eux. En plein marché des antiquaires, la scène a évidemment suscité beaucoup d'émotion", a raconté ce témoin au quotidien local.
L'imposant palais préfectoral des Rois sardes dans le vieux Nice servait en fait lundi de décor pour une nouvelle adaptation cinématographique du livre "Un sac de billes" d'après le récit autobiographique de Joseph Joffo, sur deux jeunes frères en fuite dans la France occupée.
La précision a été donnée en fin de journée dans un communiqué de la préfecture.
On a trouvé l'héroïne du prochain livre de Guillaume Mussolini.Miss Italie aurait voulu vivre la guerre
La jeune femme est magnifique, mais ses déclarations à la télévision italienne laissent pantois. En plein concours pour devenir Miss Italie, Alice Sabatini est interrogée par le jury qui lui demande tranquillement à quelle époque elle aurait aimé vivre, si elle avait pu choisir. A quoi la jeune femme, âgée de 18 ans, répond sans hésiter : "en 1942".
Devant l'étonnement du jury, elle argumente : "Pour voir, vraiment, la Seconde Guerre mondiale. Puisque les livres en racontent des pages et des pages, j'aimerais… la vivre. De toute façon, je suis une femme, donc je n'aurais pas été militaire, j'aurais eu peur et je serais restée à la maison".
L'animateur, habitué à des déclarations plus politiquement correctes, déclare alors : "Donc nous sommes passés de de "je voudrais la paix dans le monde" à "je voudrais vivre la guerre".
Ironie de l'histoire : quelques minutes plus tard, la jeune femme est tout de même élue Miss Italie. Comme quoi l'adage misogyne "sois belle et tais-toi" a encore de beaux jours devant lui, à l'élection de Miss Italie en tous cas.
"Salut les p'tits, bisous les p'tites."


