(1) Je sais pas que peut on leur reprocher???? Cardetti d'avoir rater 35 occasions, Ronaldhino de s'etre fait baiser comme un pupille, allé minime car le pupille aurait tirer a droite lui... A la défense d'avoir oublier 2 fois Yepes... A Alonzo d'avoir regarder le ballon rebondir sur le poteau puis sur lui...« Que peut-on reprocher à mes joueurs ? » Ce pari a été perdu. Menés 0-2 à cinq minutes de la pause, les Parisiens sont revenus courageusement au score sous l'impulsion de l'unique Ronaldinho. Malheureusement, le Brésilien a manqué en fin de match le penalty qui aurait pu permettre à son équipe d'atteindre les prolongations. « Que peut-on reprocher à mes joueurs ?, (1)s'interroge Fernandez. Ils se sont battus avec coeur et méritaient de se qualifier. Je ne suis pas déçu car nous avons tout tenté. » Cette élimination n'est pas un drame si l'on considère que la Coupe de la Ligue n'était pas un objectif affiché par le président Laurent Perpère, la semaine dernière. En revanche, l'énorme débauche d'efforts physiques, ajoutée à la décompression due au match sous haute tension livré face à Lyon, risque de peser jeudi soir face à Boavista Porto, en seizièmes de finale de la Coupe de l'UEFA (2). Pendant les quarante premières minutes, les Canaris ont monopolisé le ballon. Ils ont concrétisé par deux fois leurs ambitions offensives : Yepes (27 e ) et Armand (35 e ). Un genre d'entame apathique qu'il faudra éviter de répéter à Boavista. « Nous devrons être à 200 %, prévient une nouvelle fois Luis Fernandez. Il nous faudra afficher les mêmes prétentions que ce soir (3). Là-bas, on s'exposera moins et on partira de plus loin. » Heureusement, les qualités morales sont toujours aussi présentes. Et Ronaldinho est là (4). A cinq minutes de la pause, le champion du monde a provoqué la révolte. Sur un corner tiré par le Brésilien, Nyarko a d'abord réduit le score en taclant le ballon dans les six mètres (42 e ). En seconde période, Luis Fernandez a misé sur la carte de l'offensive, Ronaldinho menant avec brio le jeu derrière un trio d'attaquants Fiorèse-Cardetti-Laurent Leroy. Dès lors, le Brésilien a évolué avec la classe d'une star mondiale (5). Une passe décisive pour Heinze et une distribution de passes en or pour Cardetti ou Fiorèse. Ces occasions perdues ont coûté cher. Car, sur un centre de Nicolas Laspalles, Yepes a redonné, d'un coup de tête heureux, l'avantage aux Nantais avec la complicité involontaire d'Alonzo. Ce match ne pouvait se terminer ainsi. A sept minutes de la fin, Ronaldinho a une dernière occasion d'égaliser mais Landreau a effectué l'arrêt de l'année (6). Dans les vestiaires, l'entraîneur nantais a livré son sentiment personnel : « Je n'ai pas trouvé Paris fondamentalement différent que la dernière fois. Ils sont peut-être plus mobiles devant grâce à Ronaldinho. Je les ai trouvés dangereux vingt minutes. » Avant de partir de Paris, Angel Marcos pouvait claquer la bise à Luis Fernandez (7). Une façon de dire : « Bon courage. »
En conclusion: RIEN c'est sur

(2) Se chercherait il déjà des excuses????
(3) Je signe tout de suite, meme ambition meme résultat..... franchement faut vraiement etre con pour dire des choses pareils
(4) C'est vrai que c'est dur de le rater :rony:
(5) C'est clair quelle classe, les dents en avant et les cheveux au vent, il galope tel un étalon


(6) Arret de l'année je sais pas, mais foutage de l'année sur pseudo star mondiale sans doute
(7) Alors cono ca fait quel effet de se faire chambrer par un autre entraieur (Cf la tatape sur la joue de Perrin)