
EDIT : rha le sale saut de page

RE-EDIT : bon. Un quotage de message précédent validé par la Sainte Modération me semble obligatoire.
1) du coup, c'est même logique que ce soit cette réponse. c'est toujours cette réponseG.bédécarrax a écrit :C'est un message binaire. Je pensais que tu le parlais couramment1)
(Regarder un film en plusieurs fois : hérésie) 2)
Ahah, j'avais même pas fait gaffeLe Vieux Buk a écrit :1) du coup, c'est même logique que ce soit cette réponse. c'est toujours cette réponseG.bédécarrax a écrit :C'est un message binaire. Je pensais que tu le parlais couramment1)
(Regarder un film en plusieurs fois : hérésie) 2):geek2000:
Ah tiens !Le Vieux Buk a écrit :1) du coup, c'est même logique que ce soit cette réponse. c'est toujours cette réponse:geek2000:
(From le magazine de la ville de Béziers, fascinant exercice orwellien)(ou pas).Louane ICONE SURPRISE DE LA FRANCE D'AVANT
Ce film est un petit phénomène de société. Le scénario de départ – une famille de sourds où seule l'adolescente entend – a le mérite de l'efficacité. Mais, ce que tous les critiques sont loin de souligner, c'est que « La famille Bélier » est un film qui, à la manière des « Ch'tis », joue sur la nostalgie de la France d'avant. Une France rurale, où l'on chante du Sardou à pleins poumons. Un pays « de beaufs » aurait dit Cabu, où personne n'avait besoin de parler sans cesse de « vivre ensemble » et où on avait pas besoin de débattre sur les repas de substitution à la cantine de l'école. Phénomène au cœur du phénomène : l'actrice principale, Louane Emera (Anne Peichert de son vrai nom), déjà primée aux Césars, déjà auteur de tubes depuis son passage à The Voice. Née en 1996 dans l'obscure cité de Hénin-Beaumont, la petite française de souche a tout pour appâter le nostalgique des années heureuses. Légèrement voûtée, juste comme il faut, le regard clair, la lolita fait le job. Les historiens du futur gloseront sans doute sur son cas.
Au plus fort de l'ouragan de feu, des familles entières s'enfoncèrent dans le goudron en fusion. Les rues étaient devenues des coulées de lave. Au cœur de l'été 1943, l'immense cité industrielle de Hambourg vivait sa passion, sous la pluie de bombes incendiaires des avions alliés. 40 000 morts et 72 ans après, l'historien Keith Lowe revient sur l'incroyable catastrophe. Dans un livre de haute tenue, il revient sur les raisons qui ont poussé les démocraties à raser sciemment des villes entières, massacrant des milliers de non-combattants, femmes, enfants et vieillards et détruisant froidement le patrimoine historique de l'Allemagne, tel la ville de Dresde, jadis nommée la « Florence de l'Elbe ». À Hambourg, par une belle journée ensoleillée, l'enfer s'est déchaîné sur terre. En 2015, même si elle fait semblant, la ville n'a pas oublié. Cette mémoire maudite est enfouie au plus profond de l'âme allemande, encore recouverte des cendres du nazisme. Heureusement, les historiens commencent à déblayer les décombres !
J'ai aussi vu Mad Max Fury Road ... et j'ai un avis complètement inverse.Gery a écrit :J'ai vu Mad Max fury road.
Je ne suis pas déçu et ils ont bien fait d'attendre autant et de pas repartir avec Gibson( non pas celui du forum).
Pas de temps mort, du carton dans tous les sens bref, j'ai aimé
D'accord sur le scénar, il n'y en a pas.Nanardstef a écrit :J'ai aussi vu Mad Max Fury Road ... et j'ai un avis complètement inverse.Gery a écrit :J'ai vu Mad Max fury road.
Je ne suis pas déçu et ils ont bien fait d'attendre autant et de pas repartir avec Gibson( non pas celui du forum).
Pas de temps mort, du carton dans tous les sens bref, j'ai aimé
Scénario vide, aucune inventivité, 2h d'une même scène ou presque (un camion qui roule et des voitures/motos qui essaient de l'arrêter) ... bref, une belle daubasse alors que j'étais fan des premiers de la série.