Sinon, moi, je ne sais pas si je les ai déjà racontées ici (mais sûrement) :
- un mec shooté m'a frappé sur un pont à Toulouse et a essayé de m'attraper pour me jeter dans la Garonne. Je me suis dégagé, j'ai sauté sur la route et j'ai filé au bar me soûler (j'avais 19 ans)
- un mec m'a mis un cran d'arrêt sur la cuisse dans un bar de nuit (toujours à Toulouse) parce que j'avais renversé sa bière, j'étais bourré, je lui fais une accolade, je lui ai payé à boire, il m'a raconté qu'il était nerveux (et armé) parce qu'il avait arnaqué des dealers des Minimes qui avaient mis un contrat sur sa tête, après il voulait m'inviter chez lui bouffer un couscous à 4h du mat (j'ai poliment décliné)
- pour finir avec Toulouse, 5h du mat', complètement torpillé, je me perds complètement pour rentrer chez moi, du coup je fais du stop, un mec s'arrête, il me prend, part à contre-sens complet et verrouille les portes, je lui crie de me laisser descendre, il se fait espérer, je hurle plus fort en le menaçant de lui éclater la gueule, il s'arrête à l'entrée de la rocade et me dit de me casser en m'insultant
- mon cousin m'a laissé en "garantie" à 2 gros dealers avec des rottweilers (ou des pits je m'en souviens plus) sur les bords du Lac de Genève pendant qu'il faisait une transaction
- à Margate, en Angleterre à 14 ans, j'ai insulté des jeunes avec deux potes, ça ressemble à l'histoire de Tiger sauf que nous on s'est échappés en sautant par dessus les barrières dans les arrières-cours
- à Cork en Irlande à 15 ans, avec le même pote, on faisait du stop et on insultait tous ceux qui ne nous prenaient pas. Passe devant une voiture avec 4 ou 5 jeunes, on les insulte, on leur fait des bras d'honneur. Ils s'arrêtent, reculent à fond la caisse, pilent devant nous, ils sortent une crosse de hockey par la fenêtre et commencent à sortir de la voiture, on est encore partis comme des dératés à travers les jardins
J'en ai encore quelques uns en réserve
