Cinéma... Tchi Tcha !

[si-ma-tante-en-avait]

Ce mec est un dingue

[G.bédécarrax]

Auckland (Nouvelle-Zélande) : Triste nouvelle pour les fans de la saga « The Hobbit » dont le nouveau volet doit sortir prochainement chez nous. Un des acteurs du film, Martin Freeman, est mort dans ce qui semble être, cruelle ironie du sort, un terrible accident de dragon. Reportage.

Les fans du Seigneur des Anneaux sont en deuil après ce tragique accident de dragon qui a coûté la vie à Martin Freeman. « Il venait de quitter son domicile quand il a perdu le contrôle de son dragon » ont expliqué les secours. Rapidement arrivés sur place, ils n’ont pu que constater le décès de l’acteur qui tenait le rôle de Bilbo dans la saga « The Hobbit » de Peter Jackson. « C’est une terrible nouvelle et un avertissement en forme de sinistre rappel sur les dangers des dragons » a tweeté le réalisateur néozélandais, visiblement très touché par le drame.

Une mort que beaucoup sur les réseaux sociaux n’ont pas hésité à qualifier d’ironique. « Tourner dans des films avec des dragons et mourir à cause d’eux, le destin n’est pas très sympa » ose un internaute. Pour certains, le film avait lancé cette mode des dragons, un animal dont la possession pour un particulier peut s’avérer extrêmement dangereuse. « Toutes les séquences avec le dragon dans « The Hobbit » sont réalisées par des spécialistes, des cascadeurs et des dresseurs, ne faites pas la même chose chez vous, vous pourriez vous blesser gravement » soulignait par ailleurs avant son accident Martin Freeman qui rappelait l’importance des mesures de sécurité avec les dragons.

Dans l’immédiat, le corps de l’acteur n’avait pas encore pu être formellement retrouvé et identifié, les pompiers ayant tout juste réussi à éteindre l’immense incendie créé par le dragon lors de sa fuite. « Le dragon a brûlé plusieurs dizaines de pâtés de maisons avant d’être abattu, on redoute qu’il y ait en outre plusieurs centaines de victimes » a expliqué pour sa part la police.

La rédaction

[si-ma-tante-en-avait]

Il était sympa

[Kieros]

Cette indéboulonnable maitrise est le reproche communément fait au cinéma des Coen, et c'est vrai qu'elle me gène souvent aux entournures. Leurs scénario sont souvent des machineries implacables, du papier à musique, et les spectateurs comme les personnages sont condamnés à subir les évènements qu'on leur inflige presque comme s'il s'agissait de châtiments. Qu'il s'agisse des plans foireux de Fargo, The Big Lebowski ou Burn After Reading, de l'engrenage de la vengeance de Miller's Crossing, ou encore de la lose carabinée de Barton Fink ou A Serious Man. Derrière cet inéluctable, l'impression que les frères agissent en démiurges, qu'ils torturent leurs personnages au lieu de les accompagner, et qu'il soit attendri (The Big Lebowski, Fargo), féroce (Fargo toujours, A Serious Man) ou condescendant, leur regard est presque toujours distancié.
C'est une figure qui a partiellement cours ici, la spirale de l'échec est bien là et quelque part tellement là que le film s'attarde parfois sur autre chose, comme cette virée vers Chicago qui abandonne l'absurde coenien pour quelque chose de plus évidemment poétique et qui donne sur un terrain un peu moins vicié, moins verrouillé. Les frères Coen semblent moins se comporter en juges absolus qu'à l'accoutumée, et s'effacent derrière une histoire d'ailleurs assez vierge de cette truculence qui fait le sel de leurs meilleurs films (John Goodman n'est absolument pas drôle ou original ou bigger than life, juste pathétique).

Après, je pense que c'est un choix qui rend le film encore plus froid qu'il ne l'est, sans oasis ni refuge, et j'en suis presque à considérer cette absence de regard comme une ultime marque de mépris : les héros de cette histoire ne sont peut-être même pas dignes d'être regardés.

Vu aussi. Bien aimé (mais pas adoré), comme souvent chez les Coen. Comme d'habitude, j'ai l'impression qu'ils se foutent des leurs personnages, et puis, lassés, ils finissent par se foutre de la gueule de leur spectateurs. S'ils avaient tourné Titanic, ils aurait posé le mot "fin" avant la scène de l'iceberg.

Bien aimé le côté kafkaïen de l'univers, voire beckettien (le road-trip interminable et mutique, c'est du En Attendant Godot ), l'humour omniprésent... mais le Llewyn Davis est insupportable, d'ailleurs plus prétentieux que talentueux (moi qui aime la folk, putain ça m'a pas fait vibrer ), et contrairement aux autres "losers" coeniens, il a plusieurs fois l'opportunité de s'en sortir. Mais tellement têtu, borné, imbu de lui-même, il rate toutes les sorties et reste coincé au bord du 33 tours. C'est Ted Mosby ce mec, et j'ai pris un plaisir sadique et impitoyable à le voir fier comme un coq, les pieds irrémédiablement dans sa merde

[G.bédécarrax]

The Raid, c'est un bijou ! Un mélange de Tsui Hark pour la réal, des films de Tony Jaa pour la choré de combats, de McTiernan pour le découpage scénique... Immense film d'action, même le scénario banal et le final un peu convenu ne m'ont pas fait redescendre

OK c'est super. Y'a une approche jeux video certes décevante (l'immeuble n'est qu'une succession de couloirs, jamais un espace hostile et oppressant) mais totalement en accord avec le genre du film, et mine de rien l'hybridation entre le film d'action et le film de baston est un geste pas si commun. D'autant que contrairement aux films de Tony Jaa, Bruce Lee et aux premiers Jackie Chan/Jet Li, la caméra n'est pas un instrument de promotion servile, un sparring partner simplement là pour illustrer mollement les prouesses athlétiques de son champion. A l'inverse, elle agit presque comme le principal rival du héros, dans un combat entre ce qui est montré et la manière dont on le montre. Ce qui donne des scènes assez dingues, où on ne sait plus trop sur quoi on doit s'extasier, un peu comme une meuf dans un 3some qui ne sait pas si c'est par la chatte ou par le cul qu'elle prend son pied #pasclasse

Par contre, bel exploit, je n'ai strictement rien compris à l'histoire

[si-ma-tante-en-avait]

J'ai maté Prisoners. J'ai A-D-O-R-É. L'année se finit et c'est mon meilleur film (j'ai pas été très emballé par la cuvée 2013)

Pas de réserves sur le final de Prisoners ?

L'arbitre a sifflé la fin du film

[Kieros]

Tu as vu "Incendies" du même réalisateur ? Une tuerie également (mais en québécois, certes)

[si-ma-tante-en-avait]

En matant le projet, je suis effectivement tombé sur ce réalisateur canadien et les avis étaient très positifs concernant Incendies. Je vais donc le regarder. Sinon, hier j'ai maté Elysium. Pas terrible du tout. Ça dégouline de sentiments et de jugements. Seule satisfaction, revoir avec surprise Wagner Moura que j'avais découvert dans les films brésiliens Tropa de Elite 1 et 2.

[BabyRock]

[si-ma-tante-en-avait]

Pas fan de La Cage aux Folles mais j'avais beaucoup aimé L'emmerdeur

[Bud Wazaa]

En voyant la photo j'ai cru que c'était Spielberg !

[si-ma-tante-en-avait]

On attend la gueule de tes futures lunettes dans la rubrique J'achète donc je suis (vos achats idoines)

[JUAN]

En voyant la photo j'ai cru que c'était Spielberg !

Pareil :huh:

[si-ma-tante-en-avait]

Tu as vu "Incendies" du même réalisateur ? Une tuerie également (mais en québécois, certes)

j'ai vu la 1ere heure du film. Je t'avoue que je me suis royalement emmerdé. J'avais pas lu le pitch en croyant qu'il s'agissait d'un thriller dans le genre Prisonners. Quand j'ai stoppé la vidéo, j'ai halluciné en voyant qu'il y avait qu'une heure de passée (il en restait une autre à se taper).

[si-ma-tante-en-avait]

J'ai regardé Insaisissables. Vraiment pas terrible. J'ai eu l'impression d'un vide en matant le film. A aucun moment, j'ai été captivé par le scenario.

[Tatt's]

Casse tête chinois c'est pas mal, dans la continuité des deux derniers opus. Ca sentait la fin, et c'est mieux que ça en reste là.
Le rôle Xavier va toujours parfaitement à Romain Duris.

Un bon divertissement

[Tatt's]

J'ai regardé Insaisissables. Vraiment pas terrible. J'ai eu l'impression d'un vide en matant le film. A aucun moment, j'ai été captivé par le scenario.

La même impression.

Puis c'est super mal filmé, tout va trop vite, les gros plans font mal aux yeux. J'ai pas aimé.

[ZeroZero13]

Un de mes derniers films au ciné c'était Savages pour voir le cul de Blake Lively. Ce soir j'ai voulu complètement changé, je suis allé voir La dolce Vita de Fellini

Et c'est très intéressant de comparer les nichons. En effet, dans le premier film cité les nichons sont montrés à l'écran très rapidement, comme le reste du corps d'ailleurs. Alors que dans le second, que nini, j'ai pourtant attendu longuement qu'Anita Ekberg montre ses "obus" mais non non et non, rien du tout, pas même un petit téton qui dépasse

[Kieros]

Tu as vu "Incendies" du même réalisateur ? Une tuerie également (mais en québécois, certes)

j'ai vu la 1ere heure du film. Je t'avoue que je me suis royalement emmerdé. J'avais pas lu le pitch en croyant qu'il s'agissait d'un thriller dans le genre Prisonners. Quand j'ai stoppé la vidéo, j'ai halluciné en voyant qu'il y avait qu'une heure de passée (il en restait une autre à se taper).

T'as raté le plus beau de l'intrigue

[si-ma-tante-en-avait]

T'aurais du me dire de mater que la deuxième heure. J'ai cru que je faisais un AVC tellement le film était lent. Je déteste les films où tu entends les gens respirer ou cligner des yeux.

[Kieros]

Le film est adapté d'une pièce de théâtre il me semble. Donc forcément, l'essence du scénario ne se base pas sur l'action ou les courses poursuites, davantage sur les dialogues, le jeu d'acteur et la psychologie tu as été élevé à l'école hollywoodienne et aux CGI, c'est une autre culture

[toto]

Quel burne ce smt

[si-ma-tante-en-avait]

Le film est adapté d'une pièce de théâtre il me semble. Donc forcément, l'essence du scénario ne se base pas sur l'action ou les courses poursuites, davantage sur les dialogues, le jeu d'acteur et la psychologie tu as été élevé à l'école hollywoodienne et aux CGI, c'est une autre culture

Ah non, tu te trompes. Prisoners, j'ai adoré et pourtant y'a pas 36 000 courses poursuites. J'aime que le rythme dépasse celui d'un type de la CGT qui fait la sieste. Incendies, c'est mou. Après, sans doute que l'intrigue est top mais pour y arriver c'est chaud quand même. Quand j'ai vu les extraits du film Amour, au diable la perf' des acteurs ou la beauté du scenario, ça m'a stressé.

[Kieros]

Bah si je dois les classer, Incendies c'est plutôt du registre du drame psychologique et Prisoners du pur thriller. Le 2ème utilise quand même des codes beaucoup plus "cinématographique", visuels et accessibles que le 1er Il y a de la filature en bagnole, une poursuite à pied caméra à l'époque, un run sur l'autoroute... Je me vois mal faire ça dans mon théâtre

[G.bédécarrax]

World War Z 2 ( ) sera réalisé par Juan Antonio Bayona, metteur en scène de The Impossible et de The Orphelinat.

[si-ma-tante-en-avait]

The Catastrophe ?

[Kieros]

Meilleur en tout point que Forster - à part qu'il n'est pas juif. Ça ne peut pas être pire.

Un peu déçu par All is lost de Chandor avec Robert Redford. C'est assez mineur sur le papier et ça le reste à l'écran (au contraire de Margin Call que j'avais adoré). C'est un survival à hauteur d'homme, mais un homme de 80 ans. Et dans cette survie pour le 3ème âge, les dangers les plus menaçants sont davantage la fracture du col du fémur dans l'escalier, la faiblesse prostatique ou la déshydratation, que l'océan/les requins/les icebergs.

[si-ma-tante-en-avait]

Ils ne savent plus quoi faire pour gagner du fric

Ed Helms héros du reboot de Y a-t-il un flic pour sauver la Reine ?



Le lieutenant gaffeur Frank Drebin va ressusciter au cinéma, sous les traits d'Ed Helms, l'un des héros de Very Bad Trip.

Y a-t-il un producteur pour sauver Hollywood de la vague des reboots et remakes ? Pas aujourd'hui : Variety annonce que le studio Paramount veut ressusciter la franchise The Naked Gun sur grand écran, connue en France sous le nom des Y a-t-il un flic… Et le studio veut Ed Helms -alias Stu dans la trilogie Very Bad Trip- pour reprendre le rôle du flic gaffeur Frank Drebin. Pas de réalisateur encore associé au projet, mais Variety indique que le script de The Naked Gun nouvelle version sera écrit par Thomas Lennon et R. Ben Garant, déjà auteurs de La Nuit au Musée (2006).

[si-ma-tante-en-avait]

Peter O'Toole est O'Ciel

[Champoul]

Ou Pot, comme il se faisait appeler sur certains forums