Confessions intimes
Re: Confessions intimes
Je lis le forum en visiteur depuis plus de deux ans, dans l'espoir que quelqu'un remarque mon absence.
- butterfly15
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Re: Confessions intimes
Nicom, Vince, Max, French, ......, c'est vaste 






- Champoul
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Re: Confessions intimes
Et (le fantôme de) nicom est toujours plus ou moins là.
Vince et french sont régulièrement mentionnés, tandis que max
Vince et french sont régulièrement mentionnés, tandis que max

- butterfly15
- Anigo : On sait pas comment mais t'es toujours là
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Re: Confessions intimes
29 octobre 2002, t'es trop jeunot pour parler de çaChampoul a écrit :On a dit 2 ans Butty, pas 20







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Re: Confessions intimes
Joeuf, c'est du joeuf tout craché.
- butterfly15
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Re: Confessions intimes
Joeuf y parle pas depuis deux ans, tain le temps passe vite
, enfin qui que ce soit parle mon vieux (vieille), ça soulage de parler, même si ce n'est qu'un simple forum :-|






- butterfly15
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J'ai vu Andro passer 






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Waff 

Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
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Julien
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Re: Confessions intimes
Son dernier post a cinq ans, tandis que sa dernière visite date de 2010.butterfly15 a écrit :Joeuf y parle pas depuis deux ans, tain le temps passe vite
S'il te manque, il était encore sur opiom il y a quelques temps.
- butterfly15
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Tu sais bien que je n'aime que toi mon Bédé 






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Re: Confessions intimes
J'aurai bien mis une pièce sur la Galine du forum, Jules 

- butterfly15
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Alors lui je l'aime
, comme tout le monde me concernant, j'aimerais que tout le monde revienne et qu'on se fasse des bisous










- Niko
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Re: Confessions intimes
Pas nécessairement
Il suffit de lire le journal où il écrit. Un de ses derniers papiers (j'ai ajouté les smiley idoines, pour reprendre son style
)



hopA Paris, la communauté brésilienne prépare sa manifestation
Plus de dix jours après les premières manifestations, la contestation ne faiblit pas. Alors qu'un million de personnes ont défilé dans les rues brésiliennes, jeudi 20 juin, les expatriés fourbissent leurs slogans :zettecons: . Initialement prévue place Saint-Michel à Paris, avec l'ambassade du Brésil en ligne de mire, la manifestation des Brésiliens vivant en France se déroulera finalement samedi place de la Nation, sur ordre de la préfecture, en raison du millier de personnes attendu.
En France comme au Brésil, les appels à la mobilisation se sont répandus comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux.
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"Nous avons créé un groupe de soutien aux manifestants avec deux amies, vendredi dernier à 16 heures. Le soir-même, plus de 1 000 personnes s'étaient inscrites", s'étonne encore Fernanda Villar, 27 ans, étudiante en littérature comparée, arrivée en France il y a cinq ans en provenance de São Carlos. "Il est important d'exprimer notre solidarité aux manifestants et de leur montrer que tous les Brésiliens, même expatriés, sont concernés", explique José Luiz Neves, un des organisateurs du rassemblement, étudiant en philosophie à la Sorbonne.
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"TOUT S'EST ORGANISÉ SUR FACEBOOK..."
Cette mobilisation étonne. La communauté brésilienne en France compte environ 25 000 personnes, mais "elle n'est pas regroupée ou unie, comme peut l'être la communauté portugaise", note Lamartine Bião Oberg, 69 ans, président de l'association Bião pour la diffusion de la culture brésilienne. Tout juste se retrouve-t-elle, quelques fois par an, autour d'un événement musical ou sportif. La plupart des expatriés se fondent dans la société en raison des "nombreux mariages mixtes"
, et les étudiants, de passage, ne sont pas un ciment communautaire suffisant.
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Ici comme au Brésil, les manifestants ne répondent pas à un appel syndical, une association étudiante ou un parti politique, et "c'est ce qui plaît à tout le monde dans ce mouvement", avance Stefania Apuzzo, 26 ans, étudiante en master de coopération artistique internationale à l'université Paris-VIII arrivée en France il y a neuf mois, pour expliquer la rapide et massive mobilisation. "Nous allons nous retrouver juste avant le rassemblement samedi, mais sinon, tout s'est organisé sur Facebook et par mails", précise-t-elle.
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Une constante dans les dernières révoltes, de Tunis à Istanbul en passant par Tripoli, même si chacun se garde de faire un rapprochement : "Le Brésil est une démocratie", tranche Lamartine Bião Oberg, qui évoque "une crise de croissance d'un jeune pays plutôt qu'une volonté de renverser un régime". Karina Tavares, 36 ans, à Paris depuis neuf ans, qui travaille pour une entreprise d'applications mobiles pour le sport, admet toutefois que les "échanges entre les internautes brésiliens et turcs sont nombreux depuis le début des manifestations".
Avant de repartir au Brésil, la semaine prochaine, elle sera bien présente, avec son fils, à la manifestation parisienne.
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FRUSTRATION DE NE PAS ÊTRE AU PAYS
Tous expriment également leur "frustration" de ne pas être sur place, chez eux, pour participer aux manifestations."Il y avait 30 000 personnes à Belo Horizonte !"
, ville dont il est originaire, s'étonne encore Diogo Amara, qui a improvisé à Lille un rassemblement sur la Grand Place, mardi 18 juin.
"L'ampleur des manifestations a surpris tout le monde", abonde José Luiz Neves. Chacun compte au moins un membre de sa famille, un ami ou une connaissance, qui participe aux manifestations. "J'ai des amis qui ne sont pas politisés, qui ne se sont jamais engagés, que je vois se mobiliser pour la première fois", s'enthousiasme Fernanda Villar. Des amis jeunes, et pour la plupart "issus de la classe moyenne", comme eux.
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Rassemblement sur la Grand Place à Lille, le 18 juin.
La communauté brésilienne en France ressent une grande fierté de voir le monde les yeux rivés sur leur pays pour des sujets qui ne font pas partie du saint triptyque Football-Samba-Favela.![]()
L'image d'un "peuple humble, pacifiste, voire indolent, peu habitué à manifester" est battue en brèche. Il leur a donc semblé naturel de participer au mouvement, même à des milliers de kilomètres de leur patrie natale. "Nous voulons construire un vrai pays, et pas simplement une image à destination de l'étranger, comme le font les politiques", poursuit Stefania Apuzzo. Silvana Conte, 48 ans, journaliste indépendante basée à Montpellier, se remémore ainsi la grande manifestation de 1984 à laquelle elle avait participé, pour demander des élections directes, avant la chute de la
dicatature militaire. Autre temps, autres revendications, mais "même fierté".
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- butterfly15
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Y pourrait venir faire un coucou cet emplumé 






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Ça ferait un peu trop de juif sur omforum.butterfly15 a écrit :Y pourrait venir faire un coucou cet emplumé
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Re: Confessions intimes
Il faudra bomber son prochain article de commentaires bien sentisémites 

Re: Confessions intimes
A la fnac hier, j'ai ri devant la couverture de l'album de Sébastien Patoche 

Re: Confessions intimes
Lorsque je me confesse, je fais en sorte de poster en même temps sous mon identité officielle, afin de lever les soupçons.
- si-ma-tante-en-avait
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Re: Confessions intimes
On t'a reconnu 

Re: Confessions intimes
Je connais la pub qu'un membre du forum cherche mais je garderais la réponse pour moi.
- Nyrod
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Re: Confessions intimes

Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
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Re: Confessions intimes
Dîné hier soir avec un médecin juif, qui me racontant la finale de Munich à laquelle il a assisté, a dit : "je n'aurais jamais pensé prendre un jour volontiers un train pour l'Allemagne"
- si-ma-tante-en-avait
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Re: Confessions intimes

Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
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