Cinéma... Tchi Tcha !

[si-ma-tante-en-avait]

Je me rapproche des 25 000 posts. Putain c'est énorme cmb. J'aurais jamais cru en arriver là. J'aurais pu aller ailleurs et malgré les sollicitations, je suis resté parmi vous. 25 000 posts bordel de merde. A 975 000 près, on arrive à 1 million de posts. Just amazing.

edit : et voilà le changement de page qui rend mon post totalement décalé. Y'a pas un code à mettre dans le forum pour avoir une alerte changement de page ? Champoul, comment t'as géré ça dans omforum localhost ?

[Champoul]

Il n'y a plus de pages.. il y a une petite requête ajax qui chargent les posts suivant ou précédant, comme ça en plus, ça sent bon

[Kieros]

Mort Artus de Penguern. Chaud :-|

[Kieros]

J'ai trouvé Cloud Atlas formidable, mais je doute que ça te plaise

J'ai beaucoup aimé le message du film, les réminiscences historiques, la morale générale qui dit que l'homme n'apprend rien de l'Histoire. L'originalité de la proposition, l'idée de base de faire un film choral à travers le temps. Beaucoup aimé aussi la récurrence d'acteurs, qui n'est pas un gadget mais une vraie trouvaille qui sert le fond du film.

Par contre, j'ai trouvé la réalisation extrêmement besogneuse, le montage pas vraiment inspiré, le rythme bancal (ça met une heure à démarrer, la dernière demi-heure est interminable, le tout fait 2h50...). C'est une tare qui j'élargirai assez globalement à l'ensemble de la filmo des Wachowski, démiurges et créateurs d'univers souvent inspirés, et qui peinent à mettre en image leurs œuvres. Pour une fois, je pense qu'ils auraient gagné à changer de média, un montage au format série aurait permis de mieux cadrer leurs ambitions (quitte à faire un film à la suite, plus synthétique et mieux digéré). Au final, émotionnellement, le film ne m'a pas touché autant qu'il aurait dû si je compare avec des oeuvres philosophiquement ambitieuses comme celles de Kubrick (2001), Lynch (Dune) ou Mallick (Tree of Life, to the Wonder). Et je ne suis même pas certains que ce soit entièrement à cause de la structure du film : d'autres, complètement bordéliques sur la forme, comme Mr Nobody ou Enter the Void, m'avait séduit et remué. Ça reste néanmoins un bon film, dont j'aurai sans doute une meilleure opinion à la revoyure.

[G.bédécarrax]

Je suis assez admiratif de la manière dont les histoires s'enchainent et se répondent, quand le climax de l'une prépare les temps mort d'une autre, etc, où comme le dit un des personnages, les différents segments sont les mouvements d'une symphonie qui se succèdent, alors même que le propos du film, notamment son prosélytisme karmique, a parfois manqué de m'en faire sortir. Ici, j'adhère moins aux histoires en elles-même qu'au récit qui en est fait. Pour moi c'est un film sur le plaisir de conter et de se laisser conter, et je suis bien conscient de la faiblesse de l'argument Je suis au coin d'un feu et j'attends avec impatience la prochaine histoire

Mais je crois que si je devais arrêter aujourd'hui la photo de mon année 2013, au premier plan ce n'est pas Cloud Atlas qu'on aperçoit, mais la grimace informe de Fast and Furious 6.
J'en sors à peine; absolument euphorique. Le choix de m'y rendre le soir de la sortie, dans un cinéma repère notoire des kékés et des fans de tunning, s'est avéré payant. Une expérience sociologique fascinante, prodigieuse, et bien plus éloquente qu'Idiocracy
Protip : la valeur d'un public cinéma est en fait proportionnel au nombre de gens qui gardent leur casquette pendant la séance ( )

[Kieros]

les différents segments sont les mouvements d'une symphonie qui se succèdent

C'est plutôt très bien vu comme comparaison, j'adhère Je tacherai de revoir le film avec cette optique

The Grandmaster, ce sont les autres qui en parlent le mieux :

Un film démiurge à la photo transcendantale ou la narration éclatée renvoie à toute l'oeuvre cinématographique de Wong, ou le montage vertigineux nous emporte dans un tourbillon de sens. Wong Kar-Wai agit ici en cinéaste généthliaque et accouche d'une structure palindromique ou l'amission de ses personnages principaux est subtilement appuyée par le jeu inspiré des acteurs. Grand film.

Wong Kar-Waï réalise un film sur le kung-fu, et parvient à lui faire épouser le formalisme qui a fait sa réputation ; montage elliptique croisé de flashbacks, dilatation des temps, réalisation élégante et photographie majestueuse, le tout servi dans une ambiance mélancolique et sensuelle. (l y a d'ailleurs plus d'érotisme dans un combat entre Tony Leung et Zhang Ziyi, que n'importe quelle scène de baise de Games of Throne). Cette capacité à filmer n'importe quel style de film, c'est un tour de force assez magistral qui m'avait déjà impressionné chez Kurosawa et sa Légende du grand Judo, dont le Grandmaster apparait en droite filiation. Je craignais que Wong Kar-Waï ait des difficultés à tourner des scènes d'action (ce qu'il avait fait dans Ashes of time) et plus particulièrement de combat; or, c'est une des grandes réussite du film, tant d'un point de vue chorégraphique que de la mise en scène. Le scénario tourne évidemment autour de la romance impossible entre Leung/Zhang (sinon ce ne serait pas du WKW) qui se révèle très émouvante. Là où le film pêche, c'est dans son scénario, abscons comme rarement, et ses quelques longueurs, principalement causées par ce scénario illisible. J'ai trouvé la B.O un peu en retrait également. Il n'atteint pas les sommet de 2046 ou Chungking Express, mais c'est un très beau film.

[Kieros]

Difficile de ne pas voir les bouts de scotchs qui lient entre eux un scénario écrit par le héros de Prison Break, un metteur en scène coréen, une jadis-plus grande-actrice-du-monde à la renommée qui s'effrite, et Judith Godrèche. Pourtant, malgré un scénario encore une fois brouillon et que je soupçonne de n'être dans ses intentions initiales qu'une vague histoire d'intrus familial à twist qu'on confiait jadis à un John Travolta au sommet de sa courbe de poids, Stoker est mieux branlé que le suggère sa superficie.
C'est à dire qu'au contraire des derniers films de Park Chan-Wook, dans lesquels une mise en scène tape à l'oeil servait de cache-misère à un scénario abscons et une narration foireuse, elle transcende ici son matériau de base grâce à des choix toujours aussi audacieux mais rarement gratuits, notamment une scène de quatre mains assez troublante. Car c'est peut-être son film le plus érotique - à condition certes d'être encore un peu amoureux de son papa grâce à une photographie très sensuelle et à un montage plus "impressionniste" que chronologique.

Il faut être honnête et avouer que le film s'effondre complètement dans sa dernière partie, qui n'a plus rien à raconter et plus grand chose à montrer, mais sa formidable première heure redonne foi en Park Chan-Wook. Et de constater qu'au contraire de la vague d'immigration de réalisateurs hong-kongais à Hollywood (Woo, Hark, Lam), qui n'avait donné lieu qu'à des versions édulcorées de leurs travaux originaux, Stoker porte totalement l'empreinte de son auteur rassure (un peu) quant au prochain Bong Joon-Ho, qui sort cette année et dont le développement aurait été chaotique.

Je trouve ton analyse sévère mais totalement juste

En effet, la fin du film n'est pas à la hauteur du film, sans doute trop banale, et ne m'a pas fait vibrer. En effet, le scénario est convenu : L'histoire d'un jeune homme qui débarque d'on ne sait où, s'immisce dans un cercle privé, amuse par sa passion pour les chaussures, les lunettes et les MILFs, et finalement s'avère être un parfait psychopathe jouissant sur des cadavres. Ce scénario, tout le monde ici le connaît, c'est le biopic de Juan.

Mais, passés ces deux bémols... J'ai violemment adoré ce film, je l'aime d'amour, je jubilais comme un débile sur mon siège lors de la scène du piano à 4 mains, et ce n'était pas seulement à cause de Mia Wamachin L'inventivité de la mise en scène, avec ses métaphores et rimes visuelles, le montage d'orfèvre, l'ambiance rétro-gothique, cette capacité à insuffler une atmosphère de fantastique, là où il n'y a que du sordide crime familial digne d'un drame français... CE TALENT !!!! Park-Chan Wook n'a rien renié de son style, il est parvenu à mettre du film de fantôme asiatique dans une production hollywoodienne, il a totalement japanisé Mia Wabidule, même Nicole Kidman finit par avoir les yeux bridés, et ce n'est pas qu'à cause du botox !! Putain chef d'œuvre, j'avais pas pris une telle claque dans le genre, depuis Morse (let the right on in).

C'est sans doute l'un des meilleurs films sur la génèse d'un(e) psychopathe, également Et une vraie hein, pas une version light à la Dexter

[Kieros]

Je ne serai pas aussi dithyrambique sur le dernier panégyrique à la gloire de Ryan Gosling, aka Only God Forgives (Dieu seul pardonne pour nos amis quebecois et/ou réfractaires aux CGI). J'ai cru me retrouver devant un mélange de Johnnie To et de David Lynch, pour un résultat qui ressemblait finalement à une auto-parodie du duo Winding Refn/Gosling :huh: Le scénario est con et vide comme le pire des scénarii de Steven Seagal, Gosling est sous-exploité et riz cantonné aux second rôles, le rythme est à la fois lent et brutal... Un exercice de style curieux, avec une grande réalisation, esthétisante voire arty, une BO excellente, pour un rendu gore et péchu. J'ai pas détesté, plutôt aimé, mais je me suis endormi au milieu quand même.

[G.bédécarrax]

le scénario est convenu : L'histoire d'un jeune homme qui débarque d'on ne sait où, s'immisce dans un cercle privé, amuse par sa passion pour les chaussures, les lunettes et les MILFs, et finalement s'avère être un parfait psychopathe jouissant sur des cadavres. Ce scénario, tout le monde ici le connaît, c'est le biopic de Juan.

Mais ... OUI !!!

Je trouve ton analyse sévère

Ca ne transpire peut-être pas de mon post, mais pendant une heure, je suis à donf Après, le film m'intéresse moins, peut-être parce que passé un certain stade, le film ne me passe plus d'informations que par son scénario, et la mise en scène semble rendre les armes, comme si arrivée à court d'idées elle se recroquevillait sur ses certitudes et son métier premier, se concentrant sur sa plastique toujours au niveau, mais de nouveau isolée, comme dans les pires moments de la filmo de Park (l'horrible heure centrale de séquestration mongolienne de Thirst, qui ressemble à un sketch des Robin des bois).
(Mais peut-être surtout parce que le film perd en tension dans son dernier acte, et son énergie très légitimement post-éjaculatoire m'a donné envie de me tourner dans mon coin et de m'endormir )

[Kieros]

Plus j'y pense, et plus je me dis que la vraie raison du manque d'intérêt de la fin du film, c'est d'avoir voulu mettre le climax sur la mise à mort de Kidman, alors qu'on n'en a rien à foutre de son personnage antipathique Je pense que ça aurait été plus puissant de l'enclencher quelques minutes avant, en haut des escaliers, avec le père en flashback qui "guide" sa fille vers sa proie.

[si-ma-tante-en-avait]

Hier en zappant, je suis tombé sur un film. J'appuie sur le bouton "info" pour avoir le pitch et là.... Une co production irlando-anglaise (vous allez comprendre pourquoi)

Grabbers

Quelque chose d’effrayant s’est produit sur les côtes d’Erin Island, un calme petit village irlandais. Des pêcheurs ont mystérieusement disparu, des baleines mutilées se sont échouées sur la plage. Seul un pêcheur continuellement ivre a échappé au danger. Les villageois vont en déduire que la seule façon de survivre, c’est de boire et d’être vraiment saoul.

[urba]

Kieros > j'espère juste ne pas être le cadavre

[Le Vieux Buk]

Mama, ça a failli être bien (et sacrément creepy), malheureusement le dernier quart d'heure relève de la castatrophe Disneyesque improbable, pas du tout dans le ton (ouais, c'est soi-disant un peu triste, mais surtout beaucoup nul), un peu comme confier la fin de Morse/Let... à Chris Colombus, quoi

Gatsby PUTAIN QUE J AI AIME . Première fois que j'aime la 3d au cinéma. Totalement émerveillé : énorme sur le plan formel, l'histoire ben c'est Gatsby donc rien à dire, DiCaprio est (comme d'habitude, en fait) parfait... Vraiment superbe... et pourtant, j'étais plus que dubitatif en y allant après les critiques assassines, mais je ne pouvais quand même pas boycotter deux adaptations de romans ultimes coup sur coup. Et donc, à choisir, je préfèrais DiCaprio à Duris et Mulligan à Tautou.
Framboise, fan absolue du roman, fan énamourée de Fitzgerald (elle a écrit des adaptations du bonhomme en français d'ailleurs), cautionne également à mort.

[Kieros]

Sounds great J'irai le voir en 3D alors

[Le Vieux Buk]

Dans l'avion, j'avais vu "Les Seigneurs". C'est incroyablement navrant. Pendant ce temps, Framboise regardait "Stars 80" (oui, on s'était lancé un défi ), et elle m'a dit la même chose.

[Kieros]

Je n'avais pas entendu que du mal de Stars 80, ça remplissait son contrat de "libérer du temps de cerveau disponible", à priori

Je n'ai finalement pas résisté à regarder Mais qui a retué Pamela Rose. Le film, (en 2 parties ! :huh: ) est bancal, avec une 1ère partie dans la veine du 1er opus, mais qui tourne à vide, semblant manquer d'idées et de conviction pour reconquérir les spectateurs. Le fan-service fonctionne à plein pour compenser l'absence d'originalité. La 2ème partie bascule dans un plagiat des films ZAZ, assez éloignée de "l'esprit Kad&O" habituel... Le film décolle cependant un peu, et m'aura arraché quelques fous-rires de bon aloi. Concernant les rôles secondaires, j'aime l'humour de Laurent Lafitte, Omar Sy (et à un degré moindre, Guy Lecluyse et sa brillante œuvre de voix-off sur France 2 ), mais aucun n'arrive à remplacer Jean-Paul Rouve pour donner la réplique au duo

[Le Vieux Buk]

A propos de Laurent Lafitte, je ne me rappelle pas en avoir parlé, donc allons-y : il est la seule vraie bonne chose de "de l'autre côté du Périph' ", il réussissait presque à sauver le film à lui tout seul (presque.)

[Kieros]

Pourquoi t'es allé voir ça ? Ça m'intrigue du coup

[Le Vieux Buk]

J'avais un moment de libre, je m'étais dit "soyons fou", et en effet c'était de la folie. :-|


J'en profite pour saluer la courageuse et fascinante initiative de Bédé décrite plus haut. La première de Fast and Furious 6 dans un multiplex, avec des kékés, j'ai du mal à imaginer à quoi ça ressemble (le détail des casquettes constituant en soi une magnifique invitation au voyage ).

[G.bédécarrax]

Le C.R est toujours prévu

[Le Vieux Buk]

Pareil pour mes top10 ciné de 2010, 2011, 2012

[Kieros]

[G.bédécarrax]

Voui
Et comme j'ai déjà oublié la moitié du film, si je veux aller au bout de mon initiative il est probable qu'il me faille le revoir ( )

[Le Vieux Buk]

Michelle Rodriguez, exemple parfait pour les élèves scénaristes : morte dans Fast And Furious, Resident Evil, Lost.

Quelques années plus tard, en mode rédemption après ses soucis avec la drogue l'alcool justice :

_dans Lost elle est là, mais c'est dans l'au-delà, elle ne sait rien de son personnage d'avant
_dans Resident Evil, elle est là mais c'est son clone, elle ne sait rien de son personnage d'avant
_dans Fast And Furious elle est là parce qu'en fait elle n'est pas morte, mais ... elle est amnésique


Donc on récapitule : pour ramener un "fan favorite", on choisit l'option dimension/Réalité parallèle, ou alors le clone, ou alors le merveilleux "en fait non il était pas mort ! c'était un hoax !" (AKA une "Tony Almeida", quand c'est vraiment trop gros)

[Kieros]

C'est exact (et peut-être un record pour une actrice)

Cependant, même les meilleurs utilisent parfois cet artifice : Whedon dans Alien Resurrection et le clonage de Ripley, Cameron dans T2 avec Schwarzy Alexandre Arcady dans le Grand Pardon 2 avec la mort de Roland Bettoun... Les plus forts restent quand même les scénaristes de Dallas avec la fausse mort de Bobby

[Kieros]

En quelques semaines, les critiques dithyrambiques de la presse ayant été douchées par celles de spectateurs visiblement plus éclairés, je n'attendais finalement plus grand chose de ce Les Gamins. Juste qu'il me fasse rire, ce qui est déjà un exploit dans la comédie française actuelle. Sur ce point, c'est réussi : j'ai beaucoup ri devant l'enchainement des sketchs, même les plus improbables scénaristiquement parlant. Je parle de sketchs, car c'est là que la bât blesse, cinématographiquement parlant : malgré un pitch de départ intéressant (l'érosion du couple, la peur de l'engagement, etc...), le film ne parvient pas à dégager une narration tendue, un propos construit. Sans spoiler la fin, le dénouement ne répond en rien aux enjeux du début, par exemple*.

Au final, cela se résume au spectacle de 2 très bons comiques : le duo Chabat/Boublil fonctionne magnifiquement, servi par des dialogues et scènes, qui, à défaut d'être géniaux, sont efficaces. Tous deux ont cette sorte de tristesse au bout du sourire, qui leur permet de faire basculer le ton d'une scène en une fraction de seconde, et le film parvient à toucher grâce à ça. Je pense qu'avec un réalisateur plus chevronné, il y avait moyen de faire un équivalent qualitatif de Intouchables. Là, c'est davantage un Radiostars version sympathique. Pas si mal, quand même.

*

Au début du film, Chabat s'emmerde en partie parce que Kiberlain est chiantissime et égocentrée sur ses projets humanitaires. A la fin, la conclusion est que Chabat a "déconné" et "n'écoutait pas assez", sans remettre en cause le comportement de Kiberlain :huh: Elle n'est pourtant pas plus agréable/sympathique/bandante qu'au début. Boublil craignait que sa meuf devienne aussi conne que sa mère, ses craintes ont-elles été dissipées par le fil des évènements ?

[ZeroZero13]

Je sors du cinéma où je suis allé voir Only God Forgives. Alors, pendant le film j'ai pensé à Old Boy, The Limits of Control et Shining. Je n'ai malheureusement rien d'autre à ajouter, pour le moment.

[Kieros]

Effectivement L'ange de la vengeance est un rôle qui parait écrit pour Kitano, également. Pas mal d'influences visibles.

Tu as vu Valhalla Rising, toujours de Refn ?

[G.bédécarrax]

ZeroZero : sur dix, tu lui donnes quelle note ?
Pour info, tu ne peux pas lui donner 4 : Dieu seul donne 4

[ZeroZero13]

Tu as vu Valhalla Rising, toujours de Refn ?

Non, mais une bonne critique de ta part peut m'entrainer à le regarder dans la semaine

ZeroZero : sur dix, tu lui donnes quelle note ?

Je lui donne au moins la moyenne car à la fin, il s'est fait applaudir sarcastiquement par un couple qui avait du se tromper de salle, parce que 2 filles sont sorties au bout de 30 minutes après que Ryan ait porté sa main direct dans la teucha d'une asiatique. Une des 2 filles étaient semble t-il une musulmane et mon acolyte, musulman, a rétorqué "elle a du être choqué, ce soir elle va enchainer 15 prières d'excuses "

Je n'arrive clairement pas à décrire le film, à dire ce que j'ai aimé, pas aimé ou moins aimé... Lui donner une note Surement un 6,5 / 10