
sur la carte de visite qu'on ma donné l'adreese mail du mec c'est francois suivi d'un nom de rebeu

White label a écrit :http://www.pharamond.fr/menu.html
Pour moi, check sur tout sauf sur les coquillages.
quantités de fou, déco d'époque réalisée par l'archi en charge du pavillon de normandie lors de l'expo universelle...
domaine gauby à la carte
White label a écrit : n'y vas pas avec stramboise, il va essayer de te faire boire des horreurs poivrées![]()
bon bah, il y a de forte probabilité que je le test le 4 octobre, merci quand mêmeNyrod a écrit :Oh les parigots, ça vous parle "chez françois" dans le 15ème![]()
Parait-il qu'on y mange super bien avec des prix vraiment raisonnable.
bon d'ici début décembre vous avez le temps de le tester pour moi au pire![]()
ComboKieros a écrit : Bill Clinton y a mangé aussi, mais je n'y suis pour rien. Leur poulet de Bresse est le meilleur que j'ai goûté de ma vie; c'est par contre hyper cher, ce qui explique que les africains préfèrent aller au KFC.
Bon appétit bien sûrIntoxication dans le meilleur restaurant du monde
Une soixantaine de clients du Noma, restaurant danois classé meilleure table du monde trois ans de suite, ont été victimes d'une infection en février. Certains ont pourtant accepté d'y retourner.
Pour tenter d'échapper aux problèmes sanitaires ou aux tromperies dans l'alimentaire, inutile de se réfugier dans le meilleur restaurant du monde. Même là, manger devient problématique. Les clients du Noma, restaurant danois élu trois fois «meilleur du monde» par le magazine britannique Restaurant , en ont fait l'amère expérience. Soixante-trois d'entre eux, venus déguster les mets élaborés par le chef René Redzepi entre le 12 et le 16 février, ont ensuite été pris de nausées, diarrhées et vomissements.
Ce cas d'intoxication alimentaire, mis à jour par une inspection du restaurant le 20 février, a été révélé par les autorités sanitaires danoises vendredi dernier. D'après ces dernières, toutes ces personnes ont été victimes d'un norovirus, cause fréquente de gastro-entérites virales. La maladie aurait été apportée par un membre du personnel qui manipulait la nourriture alors qu'il ignorait être malade. Les services sanitaires avaient d'ailleurs constaté que certaines mesures d'hygiène n'étaient pas à jour, comme la possibilité de se laver les mains à l'eau chaude en cuisine pour lutter, entre autres, contre ce type de virus.
La direction du Noma avoue de son côté avoir réagi trop tardivement pour désinfecter ses cuisines en raison d'un problème de communication au sein de ses équipes. Des clients mécontents avaient en effet signalé par mail leur maladie dès le 14 février. «Noma a reçu le premier message en danois. Ce mail a été reçu par un salarié ne parlant pas danois, qui l'a transmis au manager du restaurant le vendredi 15 février. Or celui-ci, après son service, est parti en week-end sans regarder sa messagerie». Autrement dit, l'épidémie aurait pu être contenue rapidement si la boite mail avait été consultée.
Sans rancune
Le directeur de l'établissement ne s'est toujours pas remis de ce couac interne aux conséquences malheureuses. «C'est la pire chose qui pouvait nous arriver, nous sommes profondément désolés», a déclaré Peter Kreiner. Doublement étoilé au Guide Michelin, le Noma et ses menus à 200 euros (hors boissons) possédait jusqu'ici une réputation sans faille. Les 800 critiques et experts gastronomiques internationaux qui lui ont attribué le titre de meilleure table du monde en 2010, 2011 et 2012, saluaient la créativité des équipes du chef Redzepi dont les plats offrent une place importante aux produits de la mer.
«J'ai personnellement discuté d'un dédommagement avec tous les clients qui ont été affectés», a ajouté le directeur du restaurant. Ces derniers se sont vus offert deux possibilités: soit un nouveau dîner, soit un remboursement. Pas rancuniers, un certain nombre de clients ont déjà accepté de revenir. Le restaurant devra aussi prendre une bonne résolution, selon les inspecteurs: dorénavant, il devra mettre à la fois un salarié parlant danois et un salarié parlant anglais pour lire le courrier électronique.