Ah c'est ici le topic Death Stranding ?Mike Dust a écrit : C est vraiment trop de la merde. J irais lire le résumé de l histoire pour avoir la fin.
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C'est nul ?
Je ne me le suis pas encore procuré. Ca vaut pas la peine ?
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J'en avais entendu du mal à l'époque, entre le départ de Kojima et Ground Zeroes, mais là, tu le vends bienKieros a écrit :Actuellement à 7€ (!) sur le PS Store : https://store.playstation.com/fr-fr/pro ... ME00000000Kieros a écrit :Bon eh bien, après 8h à jour à MGS5, je dois dire que de ma vie de joueur, je n'ai jamais vu un gameplay aussi complet et riche dans un jeu vidéo
Tout. Est. Possible. Sarkozy l'avait promis, Kojima l'a fait S'infiltrer dans un camp de toutes les manières furtives possibles : check. Défoncer le camp de toutes les manières possibles (et même à cheval ) : check aussi. A un moment, il y aura forcément une limite quelque part, mais pour l'instant, c'est celle de mon imagination
D'ailleurs, c'est un jeu de 2015, que t'arrives t'il?
Je vais entendre un ou 2 ans, et je prendrais la version boite, 2 fois plus chère :vieuxcon:
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
Petit à petit je vide mon backlog
Sa sortie a mis d'accord tout le monde, grincheux y compris, je n'ai lu que des critiques dithyrambiques (et c'est mérité, c'est un jeu grandiose - même si je n'en suis qu'au début, avec 40 heures de jeu "seulement" )
Sa sortie a mis d'accord tout le monde, grincheux y compris, je n'ai lu que des critiques dithyrambiques (et c'est mérité, c'est un jeu grandiose - même si je n'en suis qu'au début, avec 40 heures de jeu "seulement" )
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
J'ai vu pas mal de retours joueurs plus mitigés, notamment la frange MGS canal historique avec le désormais classique "c'est un bon jeu mais un mauvais MGS" (parce que scénaristiquement assez chiche, alors qu'il promettait de boucler la boucle).
Death Stranding a le même problème que MGS V : un gameplay gâché par sa boucle, trop verbeuse et chronophage. Concrètement, ç'aurait pu être un simulateur de randonnée, entre Minecraft et Breath of the Wild, où ton équipement te permet de répondre de façon créative aux problèmes posés par le terrain. Et je n'exclus pas qu'il le soit, mais il faut être capable de se discipliner et d'ignorer toutes les incitations au grind. Le jeu s'articule de la manière suivante :
D'autant que celles-ci sont partagées. En reliant la station au réseau, on révèle également les constructions faites par les autres joueurs. Certaines sont d'ailleurs collaboratives, conformément au thème du jeu de s'aider les uns les autres bordel de merde. Là, par exemple, ça fait quinze heures qu'on construit une autoroute, salopant au passage de somptueuses terres brulées au vent des landes de pierre. Avec à chaque connexion le même effet tragicomique, l'impression de voir Las Vegas s'ériger au pays de Shadow of the Colossus.
Mais l'exercice est laborieux et sisyphien en diable, on s'inflige une activité rébarbative pour s'abstraire de la précédente. Le jeu n'est jamais fun, et du fait d'une avalanche de systèmes, de règles, de concepts trop longtemps opaques, mais aussi d'éléments d'interface et de menus à l'ergonomie repoussante, il est également difficile de s'y immerger. Le jeu gâche ainsi ses deux plus belles qualités, qui auraient dû largement y contribuer : des paysages somptueux (en cinq chapitres, j'ai crû avoir visité l'Ecosse, l'Islande et la Lune, tandis que se dressent devant moi les Rocheuses) et un modèle physique d'un naturel sans équivalent, reposant sur un savant dosage de la course analogique du stick. Les déplacements à pied sont presque plus organiques que réalistes, on a l'impression de très exactement maîtriser le moindre de ses pas, jusqu'à celui que, emporté par son élan, l'on ne maîtrisera plus, et on s'affalera le long de la pente que l'on dévalait, regardant l'essentiel de sa cargaison se fracasser en contrebas.
Scénaristiquement, n'ayant pas fini le jeu, et peinant à m'intéresser à ce qu'il raconte (en partie parce qu'il le fait via des textes rédigés en police de taille 8), je me garderais bien d'émettre un véritable avis. J'ai du mal à ne pas trouver le postulat de départ un peu niais, "les êtres humains s'isolent alors qu'il faudrait s'unir" oui bon OK à ce compte je m'attends que le prochain PNJ soit Patrick Sébastien m'expliquant que l'avenir du monde ça n'est pas le Valium mais l'amour. Mais bon, je n'exclus pas de passer à côté du truc. Toujours est-il que depuis quelques jeux déjà, Kojima le scénariste en roue libre me semblait être le prix à payer pour Kojima le game designer malin, mais pour l'instant j'ai beaucoup trop de l'un et pas assez de l'autre. Dans tout ça le jeu tisse quand même quelque chose de très morbide, notamment dans les échanges avec le personnage "joué par" Nicolas Winding Refn, on sent que Kojima n'a pas très envie de mourir.
Bref je suis loin d'être à donf, pour moi le jeu aurait gagné à n'être qu'une ligne droite, plutôt que de reposer sur une boucle qui lui est nocive, au point de faire figure de maladie auto-immune. La structure-même du jeu joue contre lui. Je m'en veux un peu aussi de me montrer à ce point insensible à tout ce que le jeu propose d'original, preuve que, en bon être humain d'avant l'Effondrement, cette ode à la bienveillance m'échappe un peu.
Death Stranding, c'est en tous cas une expérience parfaitement désagréable pendant les dix premières heures, où le gameplay comme le scénario t'agressent de nouveaux concepts toutes les cinq minutes. Ca s'améliore ensuite, mais en trichant : au lieu d'habiller la marche d'enjeux (autre que "marcher tout droit"), on te donne les moyens de t'en passer. Le jeu cesse alors d'être pénible, pour devenir juste un peu chiant.C'est nul ?
Death Stranding a le même problème que MGS V : un gameplay gâché par sa boucle, trop verbeuse et chronophage. Concrètement, ç'aurait pu être un simulateur de randonnée, entre Minecraft et Breath of the Wild, où ton équipement te permet de répondre de façon créative aux problèmes posés par le terrain. Et je n'exclus pas qu'il le soit, mais il faut être capable de se discipliner et d'ignorer toutes les incitations au grind. Le jeu s'articule de la manière suivante :
- On charrie une livraison jusqu'à une station-relai. Un trajet va présenter différents types difficultés :
- l'environnement : une rivière à traverser, une montagne à gravir, un ravin à franchir, le vent qui t'épuise, les roches qui niquent tes grolles, etc. Ma partie préférée, même si le jeu ne demande pas une énorme créativité non plus.
- Les échoués (hein ?) : des êtres surnaturels reliés à la Grève (hein ?), qu'il faut éviter plutôt que combattre. Quand un échoué tue un humain, il provoque une néantisation (hein ?), qui se traduit par une hausse drastique du taux de chiralium dans l'air (hein ?) et, in fine, une explosion gigantesque. Sauf le héros qui, atteint d'un DOOMS (hein ?) de stade 5, est un rapatrié : quand il meurt, il se réveille dans l'Abysse (hein ?), l'occasion de réunir son kâ et son hâ et revenir à la vie.
- Les MULEs (ou Homo gestalts), antagonistes avec une backstory pour le moins originale : anciens livreurs rendus inutiles depuis que leur emploi a été automatisé, en mal d'ocytocine ils sont devenus accros ... à la livraison. C'est à dire qu'ils se précipitent vers toi pour te dépouiller, en véritables arabes du futur. Le jeu déploie ici sa dimension infiltration(bof)-action(OK), guère passionnante mais qui présente une petite originalité : dans le monde de Death Stranding, les cadavres doivent être brûlés asap, sous peine de déclencher une néantisation-hein? capable de réduire une ville à néant. A chaque ennemi que l'on tue, il faudra donc au plus vite transporter le cadavre jusqu'à la station d'incinération la plus proche (et elle n'est jamais très proche), sous peine de déclencher un game over. Heureusement, les humains du futur ont mis la main sur le stock de LBD de La Nation Française™, et on dispose aussi d'un arsenal globalement pas trop létal, notamment un lance-bolas assez amusant à l'usage.
- Une fois la livraison effectuée, l'agent sur place va t'attribuer un certain nombre de likes (littéralement), en fonction de la qualité de ton travail : est systématiquement évalué l'état du chargement, qui a pu être abimé par les péripéties provoquées par les obstacles sus-nommés (et par les timefalls - please don't ask), ainsi que d'autres critères qui dépendent de la livraison (durée du trajet, quantité livrée, ou bien, s'il s'agit d'une pizza, est-ce qu'on a pris soin de la porter à l'horizontale)
- Chaque station de distribution nous attribue une note de livreur, qui va de 1 à 5 étoiles et qui augmente au gré des likes reçus par toutes les livraisons qu'on y a effectuées. Chaque étoile obtenue débloque potentiellement un nouveau gadget (ou une upgrade pour un existant) et offre de nouvelles ressources utilisées par les différentes constructions du jeu (j'y reviendrai).
- Accepter ensuite la prochaine livraison qui fait avancer la trame de l'histoire et tracer sa route jusqu'au prochain relai. Probablement le meilleur choix, mais outre les gadgets que l'on n'aura pas, on passera aussi à côté de pas mal de PNJs et de jolis décors.
- Accepter plutôt des livraisons optionnelles et augmenter, au prix d'interminables aller-retours, la note des stations-relais découvertes jusqu'ici. C'est ici qu'intervient la dimension Minecraft communautaire du jeu.
D'autant que celles-ci sont partagées. En reliant la station au réseau, on révèle également les constructions faites par les autres joueurs. Certaines sont d'ailleurs collaboratives, conformément au thème du jeu de s'aider les uns les autres bordel de merde. Là, par exemple, ça fait quinze heures qu'on construit une autoroute, salopant au passage de somptueuses terres brulées au vent des landes de pierre. Avec à chaque connexion le même effet tragicomique, l'impression de voir Las Vegas s'ériger au pays de Shadow of the Colossus.
Mais l'exercice est laborieux et sisyphien en diable, on s'inflige une activité rébarbative pour s'abstraire de la précédente. Le jeu n'est jamais fun, et du fait d'une avalanche de systèmes, de règles, de concepts trop longtemps opaques, mais aussi d'éléments d'interface et de menus à l'ergonomie repoussante, il est également difficile de s'y immerger. Le jeu gâche ainsi ses deux plus belles qualités, qui auraient dû largement y contribuer : des paysages somptueux (en cinq chapitres, j'ai crû avoir visité l'Ecosse, l'Islande et la Lune, tandis que se dressent devant moi les Rocheuses) et un modèle physique d'un naturel sans équivalent, reposant sur un savant dosage de la course analogique du stick. Les déplacements à pied sont presque plus organiques que réalistes, on a l'impression de très exactement maîtriser le moindre de ses pas, jusqu'à celui que, emporté par son élan, l'on ne maîtrisera plus, et on s'affalera le long de la pente que l'on dévalait, regardant l'essentiel de sa cargaison se fracasser en contrebas.
Scénaristiquement, n'ayant pas fini le jeu, et peinant à m'intéresser à ce qu'il raconte (en partie parce qu'il le fait via des textes rédigés en police de taille 8), je me garderais bien d'émettre un véritable avis. J'ai du mal à ne pas trouver le postulat de départ un peu niais, "les êtres humains s'isolent alors qu'il faudrait s'unir" oui bon OK à ce compte je m'attends que le prochain PNJ soit Patrick Sébastien m'expliquant que l'avenir du monde ça n'est pas le Valium mais l'amour. Mais bon, je n'exclus pas de passer à côté du truc. Toujours est-il que depuis quelques jeux déjà, Kojima le scénariste en roue libre me semblait être le prix à payer pour Kojima le game designer malin, mais pour l'instant j'ai beaucoup trop de l'un et pas assez de l'autre. Dans tout ça le jeu tisse quand même quelque chose de très morbide, notamment dans les échanges avec le personnage "joué par" Nicolas Winding Refn, on sent que Kojima n'a pas très envie de mourir.
Bref je suis loin d'être à donf, pour moi le jeu aurait gagné à n'être qu'une ligne droite, plutôt que de reposer sur une boucle qui lui est nocive, au point de faire figure de maladie auto-immune. La structure-même du jeu joue contre lui. Je m'en veux un peu aussi de me montrer à ce point insensible à tout ce que le jeu propose d'original, preuve que, en bon être humain d'avant l'Effondrement, cette ode à la bienveillance m'échappe un peu.
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
Absolument pas. Tout est nul mais vraiment. C est une succession de truc nul. Un ennui profond, et pourtant j avais adoré les premiers donc je suis plutôt client du truc long et chiant. Des activités a faire en boucle pour grinder la thune (c est OBLIGATOIRE pas un choix). Des combats moisis. Graphismes animations, mise en scène ramènent aux temps anciens des consoles 32 buts donc pour le coup, si t es pas nostalgique t es mortMikabxl a écrit :C'est nul ?
Je ne me le suis pas encore procuré. Ca vaut pas la peine ?
Ha oui, et tu perds des points de vie quand tu cours histoire de rendre la jeu un peu plus lent, t obligeant a marcher tout le temps.
Meme en tant que fan qui l attendais depuis longtemps, Shenmue 3 est VRAIMENT TROP DESAGREABLE. Je préfère me faire fouetter le cul plutôt que de rejouer à ce truc. Je l ai désinstallé après 6h de jeu car je me rendais compte que ça m enervait et que je n y prenait aucun plaisir.
Modifié en dernier par Mike Dust le mar. nov. 26, 2019 2:04, modifié 1 fois.
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
si-ma-tante-en-avait a écrit :Comment tu fais les puces ?
Code : Tout sélectionner
[list]
[*] une puce
[*] une autre puce
[/list]
- une puce
- une autre puce
Code : Tout sélectionner
[list=1]
[*] une puce
[*] une autre puce
[/list]
- une puce
- une autre puce
Code : Tout sélectionner
[list=a]
[*] une puce
[*] une autre puce
[/list]
- une puce
- une autre puce
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
Merci Bédé pour la critique de Death Stranding Je sais désormais que c'est pas pour moi.
How can someone win if winning means that someone loses ?
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
J'ai fini Jedi Fallen Order alors que je pensais en être environ à la moitié. Génial.
Ai-je envie de retourner dans les planètes pour chercher des trucs changeant un peu l'apparence du manche de mon sabre laser ou la couleur de mon poncho ?
Moyen moyen
Ai-je envie de retourner dans les planètes pour chercher des trucs changeant un peu l'apparence du manche de mon sabre laser ou la couleur de mon poncho ?
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
Oui, un peu la meme impression.
Ca s'adresse vraiment a un public super completionniste leur truc. Parce qu'autant j'aime bien l'idee de decouvrir des endroits ou faut revenir plus tard, autant le faire pour comme tu dis un nouveau poncho rose saumon, comment dire.
Dans l'ensemble j'ai vraiment bien aimé le jeu, le fait que ca reste raisonnable au niveau des pouvoirs (c'est moins fun, mais c'est cohérent), certains passages plateforme/puzzles sont assez cools sans casser trois pattes a un canard.
Par contre, la con d'eux, quand vous faites un jeu ou les combats contre certains boss peuvent etre casse-burnes aux plus hauts niveau de difficulté, faites en sorte d'avoir une camera qui pete pas un cable en plein milieu. Siouplé.
(Oui c'est a toi que je parle la poule chauve-souris geante de l'enculé de ta race, la).
Ca s'adresse vraiment a un public super completionniste leur truc. Parce qu'autant j'aime bien l'idee de decouvrir des endroits ou faut revenir plus tard, autant le faire pour comme tu dis un nouveau poncho rose saumon, comment dire.
Dans l'ensemble j'ai vraiment bien aimé le jeu, le fait que ca reste raisonnable au niveau des pouvoirs (c'est moins fun, mais c'est cohérent), certains passages plateforme/puzzles sont assez cools sans casser trois pattes a un canard.
Par contre, la con d'eux, quand vous faites un jeu ou les combats contre certains boss peuvent etre casse-burnes aux plus hauts niveau de difficulté, faites en sorte d'avoir une camera qui pete pas un cable en plein milieu. Siouplé.
(Oui c'est a toi que je parle la poule chauve-souris geante de l'enculé de ta race, la).
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
Je suis en train d'écrire un article d'environ un milliard de signes. Je me lâche.
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
Bel article.
Entièrement d accord avec toi.
Et pour les cameras dans les combats, c est pour faire encore plus Dark Souls.
Entièrement d accord avec toi.
Et pour les cameras dans les combats, c est pour faire encore plus Dark Souls.
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
Ah un truc que j'ai pas mis dans l'article parce que ça spoile :
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
Un article OMFCulture, publié au beau milieu de la nuit, qui ne mentionne même pas Star Wars dans son titre ? J'espère au moins qu tu mentionnes la scène dans laquelle le héros fait un retourné face à Zidane, sinon c'est foupoudav.
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
Oui, j’ai refait un tweet un peu plus #vendeur
L’article est super PoF
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
Haha c'est mon côté "anti promo", le titre était trop long si j'ajoutais le nom du jeu dedans.
Et encore, à la base, je voulais mettre "pointed stick" pour faire une référence que personne aurait comprise.
Ceci dit, j'ai eu des compliments sur le titre, ça vaut bien quelques concessions d'audience.
Et encore, à la base, je voulais mettre "pointed stick" pour faire une référence que personne aurait comprise.
Ceci dit, j'ai eu des compliments sur le titre, ça vaut bien quelques concessions d'audience.
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
Le titre est priceless en effet
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
L'article (qui est excellent, oui ) marche d'ailleurs très bien, il a déjà fait plus de vues que l'immense majorité des autres papiers jeux vidéo
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
Ah bah ça c'est l'effet "followers + jeu à la mode"...
D'ailleurs en parlant de jeu à la mode, ce serait pas cool que tu fasses un article de ton post sur Death Stranding ?
D'ailleurs en parlant de jeu à la mode, ce serait pas cool que tu fasses un article de ton post sur Death Stranding ?
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
Oui ce serait top Il faut aussi que je remette en forme celui sur Zelda Awakening
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
Death Stranding, je préfère le finir avant, sait-on jamais. Mais je ne suis pas sûr que le jeu en vaille la peine.
(Commencé le 23 septembre)
(Et réécrit trois fois)
(Sauvez-moi)
Ca ne sera pas nécessaire, j'ai déjà un article en préparationIl faut aussi que je remette en forme celui sur Zelda Awakening
(Commencé le 23 septembre)
(Et réécrit trois fois)
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
L'article de Pof m'a donné envie de me remettre à Jedi Outcast. (mais j'ai pas le temps putain)
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
Vous avez testé FIFA 20 ? L'Ardé en est toujours à FIFA 17, ça vaut la peine que je lui offre pour Noël ou toujours pas ?
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
Toujours pas (j'ai pas Fifa 20 mais je sais qu'il est nul).
"[...] n'importe quel leader, s'il devrait décrire sa responsabilité en une phrase, sa fonction est d'éviter que ceux qui sont sous sa conduite plient face à l'adversité, cette équipe a dû affronter une avalanche, une infinité d'adversités, je n'ai pas réussi à ce qu'ils résistent, la responsabilité est mienne."
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi.
Arf, va falloir que je trouve une autre idée...