C-GI
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Re: C-GI
il a quand même inventé énormément en techniques de production
(et en marketing, malheureusement
)
Le Néant est là juste devant nous et nous suce le bout
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Re: C-GI
Probablement la blague nulle la plus faite à Marseille pendant au moins dix ans, à la grande époque de l'OM

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Re: C-GI
j'étais pas né à l'époque de Tapie et compagnie moi, ayez un peu d'indulgence que diable
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Re: C-GI
Keith Emerson par suicide (j'aime pas ELP mais bon quand même). Pour les amateurs de "Regardez ce que je suis bon instrumentiste, putain en plus j'ai plein de claviers c'est tellement la classe"
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Re: C-GI
Google et Youtube sont tes amis
. Mais c'est le genre de gpe de rock progressif des années 70 où les musiciens étaient tous talentueux, voire virtuoses, mais faisaient des morceaux avec des soli qui duraient 10 minutes et qui, au lieu de faire passer quelque chose, une sensibilité, une émotion, une sensualité, une force particulière, faisaient uniquement montre de leur talent. C'est tout juste si après ils mettaient pas leur numéro de téléphone pour être musicien de session à leurs heures perdues.
Et pour les claviéristes ça se traduisait souvent par l'accumulation sur scène d'un piano, d'un synthè, d'un mellotron, d'un orgue (chaque élément pouvant être en plusieurs exemplaires).
Je te laisse imaginer à quel point ça pouvait rendre certains morceaux chiants (non parce qu'en 1971 à la limite c'était neuf, en 1973, ça commençait à être pénible) et "boursouflés" (bon après certains étaient plus qu'écoutables comme l'album Yessongs 1 et 2 de Yes). Ce qui explique notamment un retour à une musique plus épurée à partir de 1975 avec certains groupes de garage rock comme les New York Dolls (US) ou de pub rock avec Dr. Feelgood (UK) et dans le même temps du punk rock, arty (Television, Talking Heads) ou non (Ramones) qui se produisait notamment au CBGB (New-York). Et après y a eu le punk anglais (Pistols, Clash) qui en gros s'éteint vers 1978 et qui évolue vers un rock nouveau (Clash), de la New Wave, de la Cold Wave (Cure, Siouxsie) etc.
Et pour les claviéristes ça se traduisait souvent par l'accumulation sur scène d'un piano, d'un synthè, d'un mellotron, d'un orgue (chaque élément pouvant être en plusieurs exemplaires).
Je te laisse imaginer à quel point ça pouvait rendre certains morceaux chiants (non parce qu'en 1971 à la limite c'était neuf, en 1973, ça commençait à être pénible) et "boursouflés" (bon après certains étaient plus qu'écoutables comme l'album Yessongs 1 et 2 de Yes). Ce qui explique notamment un retour à une musique plus épurée à partir de 1975 avec certains groupes de garage rock comme les New York Dolls (US) ou de pub rock avec Dr. Feelgood (UK) et dans le même temps du punk rock, arty (Television, Talking Heads) ou non (Ramones) qui se produisait notamment au CBGB (New-York). Et après y a eu le punk anglais (Pistols, Clash) qui en gros s'éteint vers 1978 et qui évolue vers un rock nouveau (Clash), de la New Wave, de la Cold Wave (Cure, Siouxsie) etc.
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Re: C-GI
Comme aime à le dire Baby : le rock progressif, cette période où les musiciens se prenaient pour Beethoven au lieu de rouler sur lui.
Doumé du Grand Corsica Racing Rektal Team, ça fait bander non ?
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Re: C-GI
Concision, clarté et clin d'œil évocateur. Efficacité en un mot. Une version omforumienne du
"Qu'en un lieu, qu'en un jour, un seul fait accompli,
Tienne jusqu'au bout le théâtre rempli"
Thedep (2016) ou Boileau (1674)
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Re: C-GI
Maintenant je sais ce que cela fait quand je vous soule avec le basketPict'OM86 a écrit :Google et Youtube sont tes amis. Mais c'est le genre de gpe de rock progressif des années 70 où les musiciens étaient tous talentueux, voire virtuoses, mais faisaient des morceaux avec des soli qui duraient 10 minutes et qui, au lieu de faire passer quelque chose, une sensibilité, une émotion, une sensualité, une force particulière, faisaient uniquement montre de leur talent. C'est tout juste si après ils mettaient pas leur numéro de téléphone pour être musicien de session à leurs heures perdues.
Et pour les claviéristes ça se traduisait souvent par l'accumulation sur scène d'un piano, d'un synthè, d'un mellotron, d'un orgue (chaque élément pouvant être en plusieurs exemplaires).
Je te laisse imaginer à quel point ça pouvait rendre certains morceaux chiants (non parce qu'en 1971 à la limite c'était neuf, en 1973, ça commençait à être pénible) et "boursouflés" (bon après certains étaient plus qu'écoutables comme l'album Yessongs 1 et 2 de Yes). Ce qui explique notamment un retour à une musique plus épurée à partir de 1975 avec certains groupes de garage rock comme les New York Dolls (US) ou de pub rock avec Dr. Feelgood (UK) et dans le même temps du punk rock, arty (Television, Talking Heads) ou non (Ramones) qui se produisait notamment au CBGB (New-York). Et après y a eu le punk anglais (Pistols, Clash) qui en gros s'éteint vers 1978 et qui évolue vers un rock nouveau (Clash), de la New Wave, de la Cold Wave (Cure, Siouxsie) etc.
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Re: C-GI
En fait, dans ce topic, les posts annonçant un décès sont probablement les moins tristes 
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Re: C-GI
Tu m'excuseras d'essayer de répondre de façon complète à l'incompréhension que tu avais formulée (de façon amusante d'ailleurs via Perceval) dans le post précédent ce textekobe974 a écrit :Maintenant je sais ce que cela fait quand je vous soule avec le basket
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Re: C-GI
Soufflette ce manant céans et mande-le à l'aube à l'orée du bois, avec témoins. Choisis l'épée, ces basketteurs ne sauraient souffrir le contact.
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Re: C-GI
Magnifique technique pour mettre fin au HS en revenant au coeur du sujet, ça 
(d'ailleurs tout n'était pas off topic, Boileau est effectivement décédé lui aussi)
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