Enfin un joueur pro à l'O.M
- chauvet
- Zubar : Eternel espoir, tu feras jamais tes preuves
- Messages : 4997
- Enregistré le : mar. janv. 01, 2002 1:00
- Localisation : là où Jésus a perdu les sandales
Enfin un joueur pro à l'O.M
02 janvier 2004 - Olivier DE LOS BUEIS
Présenté à la presse au mois d’octobre, Fabien Barthez a finalement dû attendre le 2 janvier pour être officiellement marseillais. Le gardien des Bleus sera d’ailleurs qualifié samedi pour la réception de Strasbourg en Coupe de France. Retour sur ses propos lors de son retour en France.
Fabien Barthez, comment vivez-vous ce retour à Marseille et ce nouveau défi qui se présente à vous ?
Cela fait partie de notre métier. Quel que soit le club où vous évoluez, le défi est toujours présent. Il faut travailler sans arrêt et cela fait dix ans que je relève ce genre de défi.
Pensez-vous que ce retour à l’OM soit un bond en avant pour vous ?
Marseille est en train de retrouver son rang. On le ressent par les résultats du club notamment. Le club a retrouvé la Ligue des Champions cette saison. On sait également que Marseille vise le titre de champion et il y a également les Coupes nationales. Donc oui, l’OM est en train de redevenir un grand club européen, même si cela ne se fait pas du jour au lendemain.
Que pensez-vous de la situation de Vedran Runje ?
En tant que gardien de but, j’ai été assez touché pour lui. Les résultats sont arrivés au bon moment pour que certaines personnes lancent le débat Barthez-Runje. Et voilà comment on met le bordel. Il n’y avait aucune raison de faire ça et c’est une nouvelle fois le gardien qui encaisse les critiques. Je sais ce que c’est et je suis désolé pour lui. Je ne voulais pas en arriver là et Runje avait forcément tout ça dans un coin de la tête lors des derniers matchs.
« Alain Perrin est le patron à l’OM »
Avez-vous discuté avec Vedran ?
Quand on serre la main de quelqu’un, on cerne tout de suite le personnage. Tout s’est bien passé. On est là pour le moment tous les deux, après c’est à l’entraîneur de faire son choix. Voilà, la concurrence fait partie de notre vie quotidienne. C’est son problème, pas le mien. Tout dépendra de nos performances : je ne me suis jamais senti le numéro 1. Ca fait trois ou quatre mois que je ne joue pas. Je sais comment est le football : ça va très vite dans un sens comme dans l’autre. Quand je suis arrivé à Manchester, au bout d’un an j’étais LE gardien de Manchester. Deux ans plus tard, je ne le suis plus.
Avez-vous eu des certitudes sur un éventuel statut de numéro un ?
Pas du tout. Alain Perrin est le patron à l’OM et je respecterai ses choix à 200%.
Ce retour en France c’était pour assurer votre place en équipe nationale à l’Euro ?
Non pas du tout. J’étais très bien à Manchester. Je n’avais aucune nécessité de quitter ce club. Tout le monde pense que je suis revenu ici pour l’équipe nationale. Pas du tout. Premièrement la saison est longue : donc je peux jouer en club mais perdre ma place en équipe nationale si mes performances sont négatives. Deuxièmement j’avais d’autres propositions de clubs européens que mon agent Jean-Marie Cantona m’a relayées, mais je les ai refusées. Ca a été un refus catégorique. Ensuite il y a eu l’OM et vous savez ce que représente Marseille pour moi. Je suis avant tout revenu ici pour prendre du plaisir, pour retrouver cette ville dans laquelle j’ai connu pas mal d’émotions. Voilà pourquoi j’ai vite dit oui dans les discussions avec Marseille.
« C’est un choix du cœur »
C’est donc un choix du cœur…
C’est un choix du cœur, un choix sportif et un choix personnel. J’ai besoin de jouer pour me sentir bien dans ma tête et dans ma vie de tous les jours. J’ai besoin de prendre mon pied devant 60 000 spectateurs.
Comment expliquez-vous la perte de la confiance accordée par Ferguson ?
On a parlé tous les deux tranquillement. Pour lui, il est préférable de me prêter à un bon club pour que je joue. Pourquoi j’ai perdus a confiance ? Je ne sais pas. Je ne luie n veux pas, c’est lui le patron.
Avez-vous un message à transmettre aux supporters de Manchester United ?
Ce sont des supporters fantastiques : quand vous perdez 3-0 à la maison et qu’ils vous applaudissent à la fin… C’est assez impressionnant. Ils comprennent que ça peut arriver. Le foot est fait de victoires et de défaites. Ce sont des supporters fantastiques. Ceux de Marseille sont plus intransigeants. C’est juste une question de culture.
Interview réalisée à Marseille le 23 octobre 2003
..rien à ajouter ...tout est dit meme par rapport aux supporters :thumbup2:
Présenté à la presse au mois d’octobre, Fabien Barthez a finalement dû attendre le 2 janvier pour être officiellement marseillais. Le gardien des Bleus sera d’ailleurs qualifié samedi pour la réception de Strasbourg en Coupe de France. Retour sur ses propos lors de son retour en France.
Fabien Barthez, comment vivez-vous ce retour à Marseille et ce nouveau défi qui se présente à vous ?
Cela fait partie de notre métier. Quel que soit le club où vous évoluez, le défi est toujours présent. Il faut travailler sans arrêt et cela fait dix ans que je relève ce genre de défi.
Pensez-vous que ce retour à l’OM soit un bond en avant pour vous ?
Marseille est en train de retrouver son rang. On le ressent par les résultats du club notamment. Le club a retrouvé la Ligue des Champions cette saison. On sait également que Marseille vise le titre de champion et il y a également les Coupes nationales. Donc oui, l’OM est en train de redevenir un grand club européen, même si cela ne se fait pas du jour au lendemain.
Que pensez-vous de la situation de Vedran Runje ?
En tant que gardien de but, j’ai été assez touché pour lui. Les résultats sont arrivés au bon moment pour que certaines personnes lancent le débat Barthez-Runje. Et voilà comment on met le bordel. Il n’y avait aucune raison de faire ça et c’est une nouvelle fois le gardien qui encaisse les critiques. Je sais ce que c’est et je suis désolé pour lui. Je ne voulais pas en arriver là et Runje avait forcément tout ça dans un coin de la tête lors des derniers matchs.
« Alain Perrin est le patron à l’OM »
Avez-vous discuté avec Vedran ?
Quand on serre la main de quelqu’un, on cerne tout de suite le personnage. Tout s’est bien passé. On est là pour le moment tous les deux, après c’est à l’entraîneur de faire son choix. Voilà, la concurrence fait partie de notre vie quotidienne. C’est son problème, pas le mien. Tout dépendra de nos performances : je ne me suis jamais senti le numéro 1. Ca fait trois ou quatre mois que je ne joue pas. Je sais comment est le football : ça va très vite dans un sens comme dans l’autre. Quand je suis arrivé à Manchester, au bout d’un an j’étais LE gardien de Manchester. Deux ans plus tard, je ne le suis plus.
Avez-vous eu des certitudes sur un éventuel statut de numéro un ?
Pas du tout. Alain Perrin est le patron à l’OM et je respecterai ses choix à 200%.
Ce retour en France c’était pour assurer votre place en équipe nationale à l’Euro ?
Non pas du tout. J’étais très bien à Manchester. Je n’avais aucune nécessité de quitter ce club. Tout le monde pense que je suis revenu ici pour l’équipe nationale. Pas du tout. Premièrement la saison est longue : donc je peux jouer en club mais perdre ma place en équipe nationale si mes performances sont négatives. Deuxièmement j’avais d’autres propositions de clubs européens que mon agent Jean-Marie Cantona m’a relayées, mais je les ai refusées. Ca a été un refus catégorique. Ensuite il y a eu l’OM et vous savez ce que représente Marseille pour moi. Je suis avant tout revenu ici pour prendre du plaisir, pour retrouver cette ville dans laquelle j’ai connu pas mal d’émotions. Voilà pourquoi j’ai vite dit oui dans les discussions avec Marseille.
« C’est un choix du cœur »
C’est donc un choix du cœur…
C’est un choix du cœur, un choix sportif et un choix personnel. J’ai besoin de jouer pour me sentir bien dans ma tête et dans ma vie de tous les jours. J’ai besoin de prendre mon pied devant 60 000 spectateurs.
Comment expliquez-vous la perte de la confiance accordée par Ferguson ?
On a parlé tous les deux tranquillement. Pour lui, il est préférable de me prêter à un bon club pour que je joue. Pourquoi j’ai perdus a confiance ? Je ne sais pas. Je ne luie n veux pas, c’est lui le patron.
Avez-vous un message à transmettre aux supporters de Manchester United ?
Ce sont des supporters fantastiques : quand vous perdez 3-0 à la maison et qu’ils vous applaudissent à la fin… C’est assez impressionnant. Ils comprennent que ça peut arriver. Le foot est fait de victoires et de défaites. Ce sont des supporters fantastiques. Ceux de Marseille sont plus intransigeants. C’est juste une question de culture.
Interview réalisée à Marseille le 23 octobre 2003
..rien à ajouter ...tout est dit meme par rapport aux supporters :thumbup2:
"Quand le mensonge et la crédulité s'accouplent et ils engendrent l'opinion " ...et c'est encore plus vrai aujourd'hui
- dany
- Zubar : Eternel espoir, tu feras jamais tes preuves
- Messages : 4127
- Enregistré le : mar. janv. 01, 2002 1:00
- attila2001
- Anigo : On sait pas comment mais t'es toujours là
- Messages : 25371
- Enregistré le : ven. mai 03, 2002 19:14
- Localisation : côté obscur de la force
le problème c'est qu'on manque de millions ;-) ... alors vaut-il mieux une star confirmée ou 3 ou 4 joueurs en devenir pour un prix équivalent
une star, une star

une star, une star

Voici venu le temps des rires et deschamps
Dans l'île aux enfants
C'est tous les jours le printemps
C'est le pays joyeux des enfants heureux
Des monstres gentils
Oui c'est un paradis
http://www.youtube.com/watch?v=xyDAeByWWF0
Dans l'île aux enfants
C'est tous les jours le printemps
C'est le pays joyeux des enfants heureux
Des monstres gentils
Oui c'est un paradis
http://www.youtube.com/watch?v=xyDAeByWWF0
- chauvet
- Zubar : Eternel espoir, tu feras jamais tes preuves
- Messages : 4997
- Enregistré le : mar. janv. 01, 2002 1:00
- Localisation : là où Jésus a perdu les sandales
un monde bien loin des playstationsTiens donc...
Les "noms ronflants", les "stars" et les "joueurs payés des millions" seraient-ils meilleurs que des Ouzbeks de 17 ans ?Mais dans quel monde vit-on ?
un monde ou l'on sait reconnaitre un mort-vivant comme RIVALDO ou DESSAILLY à un revanchard comme BARTHEZ
un monde où un joueur de 17 ans peut prendre le temps d'apprendre aupres d'un trentenaire
un monde où le roi ne s'appele pas forcement argent
un monde qui t'est bien étrange apparement...
"Quand le mensonge et la crédulité s'accouplent et ils engendrent l'opinion " ...et c'est encore plus vrai aujourd'hui
- chauvet
- Zubar : Eternel espoir, tu feras jamais tes preuves
- Messages : 4997
- Enregistré le : mar. janv. 01, 2002 1:00
- Localisation : là où Jésus a perdu les sandales
- Bud Wazaa
- Anigo : On sait pas comment mais t'es toujours là
- Messages : 20446
- Enregistré le : mar. janv. 01, 2002 1:00
C'est encore un sujet où on va tourner en rond !
Enfin, si tu penses encore que c'est pas le pognon qui fait gagner dans le foot d'aujourd'hui, je trouve plus rien à dire (déjà que je parle jamais de foot...). Regarde juste quelques classements, quelques effectifs, quelques palmarès dans quelques pays, ça devrait aider !
Mais peut-être vaut-il mieux devenir le nouvel Auxerre ou le nouveau Nantes et être champion une fois tous les 10 ans grâce à une génération exceptionnelle du centre de formation, se faire piller l'année d'après et retomber dans le ventre mou pendant encore 10 ans... peut-être qu'un Rivaldo ne vaut pas un Johansen + un Vachousek + un Celestini... peut-être qu'un Desailly ne vaut pas un Ecker + un Leozinho... peut-être qu'un Jardel ne valait pas un Chapuis + un Sakho (tiens, je parle pas de Perrin là !
)... va savoir !
Mais j'ai mon idée là dessus !


Enfin, si tu penses encore que c'est pas le pognon qui fait gagner dans le foot d'aujourd'hui, je trouve plus rien à dire (déjà que je parle jamais de foot...). Regarde juste quelques classements, quelques effectifs, quelques palmarès dans quelques pays, ça devrait aider !

Mais peut-être vaut-il mieux devenir le nouvel Auxerre ou le nouveau Nantes et être champion une fois tous les 10 ans grâce à une génération exceptionnelle du centre de formation, se faire piller l'année d'après et retomber dans le ventre mou pendant encore 10 ans... peut-être qu'un Rivaldo ne vaut pas un Johansen + un Vachousek + un Celestini... peut-être qu'un Desailly ne vaut pas un Ecker + un Leozinho... peut-être qu'un Jardel ne valait pas un Chapuis + un Sakho (tiens, je parle pas de Perrin là !


Mais j'ai mon idée là dessus !

- Jester
- Anigo : On sait pas comment mais t'es toujours là
- Messages : 31003
- Enregistré le : lun. avr. 27, 2015 5:06
Nous on a des clubs qui sont pas au bord de la faillite ou ayant un chèque en blanc du bon roi chaque saison pour s'acheter qui ils veulent et à n'importe quel prix. Et même avec ça ils gagnent pas forcément...Enfin, si tu penses encore que c'est pas le pognon qui fait gagner dans le foot d'aujourd'hui, je trouve plus rien à dire (déjà que je parle jamais de foot...). Regarde juste quelques classements, quelques effectifs, quelques palmarès dans quelques pays, ça devrait aider !![]()
- Winnie
- Bakayoko : Tu as beaucoup posté, souvent hors cadre
- Messages : 14450
- Enregistré le : mar. janv. 01, 2002 1:00
- Localisation : Dans ton cul !
Ouais enfin, le pognon ça aide quand même sacrément ! Le seul club qui a à peu près le même idéologie qu'Auxerre et Nantes et qui arrive à obtenir des résultats sur le plan Européen c'est l'Ajax, et encore, depuis la fin de la génération dorée des Kluivert, Davids, Kanu, Litmanen, des frères De Boer, Van der Sar & Co (et qu'est-ce d'autre que le pognon qui les a fait partir je vous le demande...) l'Ajax est vraiment à la peine. Faut pas rêver, nous dans ce domaine là, avec nos infrastructures quasi-inexistantes, on peut même pas essayer de miser sur notre centre de formation, hélas, mille fois hélas !
Après vous pourrez me parler de MU, qui a certes formé un bon paquet de ses joueurs, mais ils ont aussi déboursé à l'époque une somme astronomique pour se payer Cantona, et dans un passé plus récent des joueurs comme Veron, Ferdinand (quels fiascos), Stam voire... Barthez (120MF pour un gardien à l'époque, c'était quelque chose !). Ne parlons pas maintenant des clubs italiens, et des gros poissons espagnols, véritable gouffres à pognon, mais aussi véritables machines à gagner !
En France, Lyon qui commence enfin à obtenir quelques résultats (et encore ça reste tout de même très très frileux) et qui semble être un exemple à prendre pour notre cher Président, avait il y a 4 ans déboursé 120MF pour enrôler Sonny Anderson... Une référence, et quand on sait ce qu'il a apporté, Aulas peut encore se frotter les mains d'un tel retour sur investissement. Alors effectivement, on ne bâti pas, sauf si on s'appelle le "Royal" de Madrid, une équipe à grands coups de chèque, mais savoir étendre quelques biftons quand les (très) bonnes occasions se présentent, je vois pas comment on peut s'obstiner à refuser ! Mais tout celà n'est que mon avis !


En France, Lyon qui commence enfin à obtenir quelques résultats (et encore ça reste tout de même très très frileux) et qui semble être un exemple à prendre pour notre cher Président, avait il y a 4 ans déboursé 120MF pour enrôler Sonny Anderson... Une référence, et quand on sait ce qu'il a apporté, Aulas peut encore se frotter les mains d'un tel retour sur investissement. Alors effectivement, on ne bâti pas, sauf si on s'appelle le "Royal" de Madrid, une équipe à grands coups de chèque, mais savoir étendre quelques biftons quand les (très) bonnes occasions se présentent, je vois pas comment on peut s'obstiner à refuser ! Mais tout celà n'est que mon avis !

"Qui a les plus grosses maracas... ?!"
- chauvet
- Zubar : Eternel espoir, tu feras jamais tes preuves
- Messages : 4997
- Enregistré le : mar. janv. 01, 2002 1:00
- Localisation : là où Jésus a perdu les sandales
peut etre si on vend tout les joueurs on pourrait s'acheter 1 DESSAILLY ou 1 RIVALDO qui sont meme pas sur d'achever la saisonC'est encore un sujet où on va tourner en rond !![]()
![]()
Enfin, si tu penses encore que c'est pas le pognon qui fait gagner dans le foot d'aujourd'hui, je trouve plus rien à dire (déjà que je parle jamais de foot...). Regarde juste quelques classements, quelques effectifs, quelques palmarès dans quelques pays, ça devrait aider !![]()
Mais peut-être vaut-il mieux devenir le nouvel Auxerre ou le nouveau Nantes et être champion une fois tous les 10 ans grâce à une génération exceptionnelle du centre de formation, se faire piller l'année d'après et retomber dans le ventre mou pendant encore 10 ans... peut-être qu'un Rivaldo ne vaut pas un Johansen + un Vachousek + un Celestini... peut-être qu'un Desailly ne vaut pas un Ecker + un Leozinho... peut-être qu'un Jardel ne valait pas un Chapuis + un Sakho (tiens, je parle pas de Perrin là !)... va savoir !
![]()
Mais j'ai mon idée là dessus !
tu as des valeurs vraiment qui m'echappent
rappele moi le salaire de RIVALDO
et celui de JOHANSEN+VACHOUSEK+LEO+CELESTINI+CHAPUIS+VB+DOS SANTOS...
c'est meme pas sur qu'on ait pu lui acheter un pied à RIVALDO...
et donne moi une bonne raison pour laquelle le brave bresilien se saurait mis les trippes à l'air pour nous?
on aurait ete encore l'hospîce de l'europe.
DESSAILLY? déjà en EDF il rame face à MALTE et dans son club il est obligé de jouer les blessés pour pas etre ridicule alors face à GUILY....

des exemples de noms il y en a plein les journaux , mais apres il est tres difficile de stopper GUILY avec un journal meme l'Equipe

ce n'est pas parce que le jour où tu t'es interressé à l'O.M et cette équipe a gagné la CL qu'il en a été toujours ainsi;
le chemin a été long et sinueux et en ce beau soir de mai 1993 beaucoup de supporters attendaient ce moment depuis ...
Pas 10 ans ,pas 15 ans ,meme pas 20 ans mais 50 ans pour certains alors qu'est ce qu'un an de plus pour le vrai supporter si au bout nous continuons sereinement notere chemin.
"Quand le mensonge et la crédulité s'accouplent et ils engendrent l'opinion " ...et c'est encore plus vrai aujourd'hui
- max04300
- Bakayoko : Tu as beaucoup posté, souvent hors cadre
- Messages : 14050
- Enregistré le : mer. juin 05, 2002 15:32
- Localisation : on the road again
moi je suis d'accord avec vous deux sur le fond
... il faut un juste équilibre !
des noms ronfants et des futures noms ronflants, un bon mélange d'expérience et de jeunesse pour avancer
une chose est sur, cette saison on a un très bon effectif pour le championnat, reste à améliorer le rendement, le réalisme et le fond de jeu qui à tendance à partir en lambeaux pour pas grand chose
sur ce point Barthez va apporter bcps à l'équipe .... maintenant qu'il joue

des noms ronfants et des futures noms ronflants, un bon mélange d'expérience et de jeunesse pour avancer
une chose est sur, cette saison on a un très bon effectif pour le championnat, reste à améliorer le rendement, le réalisme et le fond de jeu qui à tendance à partir en lambeaux pour pas grand chose
sur ce point Barthez va apporter bcps à l'équipe .... maintenant qu'il joue

- Bud Wazaa
- Anigo : On sait pas comment mais t'es toujours là
- Messages : 20446
- Enregistré le : mar. janv. 01, 2002 1:00
Tant de choses à répondre... sur le fond et la forme... mais ça servirait à rien puisqu'on va répéter chacun son tour les mêmes choses pendant 78 pages... et pour rester fidèle à mon style laconique :peut etre si on vend tout les joueurs on pourrait s'acheter 1 DESSAILLY ou 1 RIVALDO qui sont meme pas sur d'achever la saison
tu as des valeurs vraiment qui m'echappent
rappele moi le salaire de RIVALDO
et celui de JOHANSEN+VACHOUSEK+LEO+CELESTINI+CHAPUIS+VB+DOS SANTOS...
c'est meme pas sur qu'on ait pu lui acheter un pied à RIVALDO...
et donne moi une bonne raison pour laquelle le brave bresilien se saurait mis les trippes à l'air pour nous?
on aurait ete encore l'hospîce de l'europe.
DESSAILLY? déjà en EDF il rame face à MALTE et dans son club il est obligé de jouer les blessés pour pas etre ridicule alors face à GUILY....![]()
des exemples de noms il y en a plein les journaux , mais apres il est tres difficile de stopper GUILY avec un journal meme l'Equipe![]()
ce n'est pas parce que le jour où tu t'es interressé à l'O.M et cette équipe a gagné la CL qu'il en a été toujours ainsi;
le chemin a été long et sinueux et en ce beau soir de mai 1993 beaucoup de supporters attendaient ce moment depuis ...
Pas 10 ans ,pas 15 ans ,meme pas 20 ans mais 50 ans pour certains alors qu'est ce qu'un an de plus pour le vrai supporter si au bout nous continuons sereinement notere chemin.
Pas d'accord !

Mais tout le monde s'en doute je crois !

<span style='font-size:16pt;line-height:100%'>Tiens, j'évite encore une fois le """débat"""... quel Bouglione je fais !</span>

- chauvet
- Zubar : Eternel espoir, tu feras jamais tes preuves
- Messages : 4997
- Enregistré le : mar. janv. 01, 2002 1:00
- Localisation : là où Jésus a perdu les sandales
Bud, Chauvet, j'espère que vous m'inviterez le jour du mariage :grinj:



bon pour FRENCH ,ces chevres là au moins ne jouerons jamais à l'O.M
maintenant que je me suis fait plein d'amis ...au dodo


"Quand le mensonge et la crédulité s'accouplent et ils engendrent l'opinion " ...et c'est encore plus vrai aujourd'hui
- chauvet
- Zubar : Eternel espoir, tu feras jamais tes preuves
- Messages : 4997
- Enregistré le : mar. janv. 01, 2002 1:00
- Localisation : là où Jésus a perdu les sandales
pour en revenir au sujet: un autre exemple....
FABIEN BARTHEZ a fêté dignement son retour au Vélodrome. Le nouveau gardien marseillais a brillé hier soir face à Strasbourg. Dans la séance des tirs au but, il réalise deux arrêts avant d'inscrire lui-même le tir au but qui a scellé la victoire de l'OM.
C'est ce qu'on appelle un retour gagnant, non ?
Fabien Barthez. Ça s'est bien passé, on s'est qualifié pour le prochain tour de la Coupe de France, c'était l'objectif, tout est parfait.
Qu'avez-vous ressenti en revenant sur la pelouse d'un stade que vous avez quitté il y a presque neuf ans ?
Comme à mes débuts, j'étais assez tendu. Vu que, ces six derniers mois, je n'ai disputé que trois ou quatre matchs, c'était assez dur, difficile même. Mais ensuite, dès que le coup de sifflet est donné, on rentre dans notre élément et on commence à se sentir un peu comme chez soi. Le scénario a été idéal, mes coéquipiers ont fait un très gros match. Physiquement, ils ont été vaillants et, surtout, très concentrés sur les tirs au but.
A quel moment avez-vous décidé de frapper vous-même le dernier tir au but de l'OM ?
Avant la séance, il (NDLR : Alain Perrin) m'a demandé ce que j'en pensais et je lui ai dit que ça allait. Ça m'a un peu étonné qu'il me le demande, mais je lui ai répondu : « OK, pas de problème. » Ça s'est bien passé, et je l'ai marqué.
Rejouer au Vélodrome vous a rappelé les grandes années de l'OM ?
Non, ça ne me rappelle pas de souvenirs particuliers. En revanche, ça me donne toujours autant l'envie de jouer, sinon je ne serais pas là. Ça fait presque deux mois que je suis ici. J'ai découvert un groupe très professionnel, très sain. Vu leur jeune âge, se retrouver dans un club comme l'OM, ce n'est pas évident. Ça peut faire péter un boulon, mais ce sont tous des professionnels qui ont la tête sur les épaules. Bien sûr, il y a encore des petits réglages à mettre au point, mais tout cela va se faire au fil du temps. Moi, il fallait que je sois un peu égoïste sur ce match vu que j'ai encore des petits problèmes sur tout ce qui concerne les trajectoires aériennes, les ballons dans l'axe ou en profondeur. Entre l'entraînement et la compétition, c'est le jour et la nuit.
Vous n'avez pas eu trop de pression au moment du tir au but décisif ?
Vous savez, dans les tirs au but, la pression, c'est le joueur qui l'a, pas le gardien. Quand celui-ci l'arrête, on dit : « C'est fantastique ». Quand il prend le but, on dit que « c'est normal ». Je tiens encore à féliciter mes coéquipiers, ceux qui ont marqué leur penalty. Je suis content de mon retour. Mais à mon âge, je sais que les matchs se suivent et ne se ressemblent pas. J'ai besoin d'enchaîner plusieurs matchs avant de faire un premier bilan. Ça fait six mois que ça ne se passe pas bien pour moi. Je n'avais jamais connu cette situation. J'ai toujours été titulaire, numéro un, et je me suis retrouvé sur le banc. Je n'y étais pas habitué. Il a fallu que j'apprenne à travailler différemment, à voir les choses d'une autre façon. Mais j'ai la chance d'être bien entouré, d'avoir une famille. A un certain âge, on relativise. Peut-être qu'à 25 ans, je n'aurais pas réagi de la même manière. Aujourd'hui, je vois les choses autrement. C'est ce qui fait ma force.
Propos recueillis par Jean-Louis Pacull
Le Parisien , dimanche 04 janvier 2004
FABIEN BARTHEZ a fêté dignement son retour au Vélodrome. Le nouveau gardien marseillais a brillé hier soir face à Strasbourg. Dans la séance des tirs au but, il réalise deux arrêts avant d'inscrire lui-même le tir au but qui a scellé la victoire de l'OM.
C'est ce qu'on appelle un retour gagnant, non ?
Fabien Barthez. Ça s'est bien passé, on s'est qualifié pour le prochain tour de la Coupe de France, c'était l'objectif, tout est parfait.
Qu'avez-vous ressenti en revenant sur la pelouse d'un stade que vous avez quitté il y a presque neuf ans ?
Comme à mes débuts, j'étais assez tendu. Vu que, ces six derniers mois, je n'ai disputé que trois ou quatre matchs, c'était assez dur, difficile même. Mais ensuite, dès que le coup de sifflet est donné, on rentre dans notre élément et on commence à se sentir un peu comme chez soi. Le scénario a été idéal, mes coéquipiers ont fait un très gros match. Physiquement, ils ont été vaillants et, surtout, très concentrés sur les tirs au but.
A quel moment avez-vous décidé de frapper vous-même le dernier tir au but de l'OM ?
Avant la séance, il (NDLR : Alain Perrin) m'a demandé ce que j'en pensais et je lui ai dit que ça allait. Ça m'a un peu étonné qu'il me le demande, mais je lui ai répondu : « OK, pas de problème. » Ça s'est bien passé, et je l'ai marqué.
Rejouer au Vélodrome vous a rappelé les grandes années de l'OM ?
Non, ça ne me rappelle pas de souvenirs particuliers. En revanche, ça me donne toujours autant l'envie de jouer, sinon je ne serais pas là. Ça fait presque deux mois que je suis ici. J'ai découvert un groupe très professionnel, très sain. Vu leur jeune âge, se retrouver dans un club comme l'OM, ce n'est pas évident. Ça peut faire péter un boulon, mais ce sont tous des professionnels qui ont la tête sur les épaules. Bien sûr, il y a encore des petits réglages à mettre au point, mais tout cela va se faire au fil du temps. Moi, il fallait que je sois un peu égoïste sur ce match vu que j'ai encore des petits problèmes sur tout ce qui concerne les trajectoires aériennes, les ballons dans l'axe ou en profondeur. Entre l'entraînement et la compétition, c'est le jour et la nuit.
Vous n'avez pas eu trop de pression au moment du tir au but décisif ?
Vous savez, dans les tirs au but, la pression, c'est le joueur qui l'a, pas le gardien. Quand celui-ci l'arrête, on dit : « C'est fantastique ». Quand il prend le but, on dit que « c'est normal ». Je tiens encore à féliciter mes coéquipiers, ceux qui ont marqué leur penalty. Je suis content de mon retour. Mais à mon âge, je sais que les matchs se suivent et ne se ressemblent pas. J'ai besoin d'enchaîner plusieurs matchs avant de faire un premier bilan. Ça fait six mois que ça ne se passe pas bien pour moi. Je n'avais jamais connu cette situation. J'ai toujours été titulaire, numéro un, et je me suis retrouvé sur le banc. Je n'y étais pas habitué. Il a fallu que j'apprenne à travailler différemment, à voir les choses d'une autre façon. Mais j'ai la chance d'être bien entouré, d'avoir une famille. A un certain âge, on relativise. Peut-être qu'à 25 ans, je n'aurais pas réagi de la même manière. Aujourd'hui, je vois les choses autrement. C'est ce qui fait ma force.
Propos recueillis par Jean-Louis Pacull
Le Parisien , dimanche 04 janvier 2004
"Quand le mensonge et la crédulité s'accouplent et ils engendrent l'opinion " ...et c'est encore plus vrai aujourd'hui