Bédé > Magnifique CR

Nintendo sait qu'ils ne peuvent plus compter sur Activision, Electronic Arts et cie (Ubi Soft étant un cas un peu particulier, historiquement proche de Nintendo), et doit éviter les périodes de sécheresse comme on en a connu sur Wii U. La Switch est censée être une réponse à cette problématique-là. Nintendo devait de front alimenter deux consoles : la 3DS et la Wii U, et n'avait pas les reins pour le faire. La Switch permet donc à leurs équipes de développement de converger vers une même plateforme, et les sorties devraient être moins espacées. Les vides seront certainement comblés par les productions à moyen budget de studios japonais, et par les indés qui pourraient trouver dans la Switch la console idéale (ceux qui ont la PSVita savent que le format portable est idéal pour les jeux indépendants). Mais il ne faut pas perdre de vue que ça restera avant tout une console faite de jeux Nintendo.Marv a écrit :Mais ce qui m'inquiete ce sont les jeux a venir, aussi. C'est bien gentil de mettre Skyrim comme un titre phare du catalogue, mais c'est vieux de 5 ans, Skyrim...
J'en profite pour préciser que la Switch n'est pas zonéec'est clair que ça fait pas lourd pour une sortie euro
C'est qu'il faut différencier Bethesda Games Studios, le développeur (dont le coeur de métier est Elder Scrolls et apparentés - donc les Fallout depuis le 3) et Bethesda l'éditeur, qui chapeaute la division jeu vidéo de Zenimax mais n'a pas contribué "artistiquement" au développement des Dishonored - ou de l'imminent Prey. New Vegas est un cas à la marge, car si le moteur est bien celui de Bethesda, le jeu a quant à lui été développé chez Obsidian, d'où la qualité d'écriture nettement supérieure à celle du troisième épisode.(Bethesda ne fait du bon furtif QUE quand c'est le theme principal du jeu, voir Dishonored. Quand ca fait partie d'un gameplay plus varié, c'est toujours nul - Fallouts, Elder Scrolls...)
Le jeu place le joueur à la tête d'une des familles régnantes d'Europe, dans un contexte médiéval s'étendant de 1066 à 1453, dates respectives de la conquête normande de l'Angleterre et de la chute de Constantinople. (La date de début est 867 avec le dlc The Old Gods et 769 avec le dlc Charlemagne.) Le joueur peut ainsi contrôler un comté, un duché, un royaume ou encore un empire, le tout dans le respect de la logique historique relative à l'époque. En tant que dirigeant, le joueur doit prendre en compte les interactions féodales (avec son suzerain ou/et ses vassaux), la gestion économique, militaire et diplomatique d'un conflit, ou encore l'aspect religieux de la chose, en préservant une image de dirigeant pieux afin de s'attirer les grâces papales. En effet, le joueur sera amené à prendre part aux croisades ayant ébranlé le Moyen-Orient à cette époque, à faire face à l'établissement de sectes hérétiques dans ses villes ou encore aux communautés païennes du Nord et de l'Est. D'autres possibilités s'offrent aux joueurs, comme celle de marier leur dirigeant ou sa progéniture à des dignitaires étrangers, cimentant ainsi de solides alliances, ou encore celle de pouvoir instrumenter complots et intrigues en vue d'assassiner quelque haut dignitaire national ou de révoquer les titres et terres d'un vassal potentiellement dangereux. Enfin, il sera important de ne pas être un dirigeant tyrannique s'accaparant toutes les conquêtes, au risque de voir la colère gronder dans les rangs des vassaux, ces derniers pouvant se liguer contre vous afin de vous renverser à l'issue d'une sanglante guerre civile.
Crusader Kings, c'est génial ouiG.bédécarrax a écrit :![]()
Hyde : tu connais le jeu Crusader Kings ? Toi qui adore Les Rois Maudits, ça devrait être ta came (et c'est tout aussi chronophage de Civilisation), compte tenu de la composante "intrigues politiques".
Le jeu place le joueur à la tête d'une des familles régnantes d'Europe, dans un contexte médiéval s'étendant de 1066 à 1453, dates respectives de la conquête normande de l'Angleterre et de la chute de Constantinople. (La date de début est 867 avec le dlc The Old Gods et 769 avec le dlc Charlemagne.) Le joueur peut ainsi contrôler un comté, un duché, un royaume ou encore un empire, le tout dans le respect de la logique historique relative à l'époque. En tant que dirigeant, le joueur doit prendre en compte les interactions féodales (avec son suzerain ou/et ses vassaux), la gestion économique, militaire et diplomatique d'un conflit, ou encore l'aspect religieux de la chose, en préservant une image de dirigeant pieux afin de s'attirer les grâces papales. En effet, le joueur sera amené à prendre part aux croisades ayant ébranlé le Moyen-Orient à cette époque, à faire face à l'établissement de sectes hérétiques dans ses villes ou encore aux communautés païennes du Nord et de l'Est. D'autres possibilités s'offrent aux joueurs, comme celle de marier leur dirigeant ou sa progéniture à des dignitaires étrangers, cimentant ainsi de solides alliances, ou encore celle de pouvoir instrumenter complots et intrigues en vue d'assassiner quelque haut dignitaire national ou de révoquer les titres et terres d'un vassal potentiellement dangereux. Enfin, il sera important de ne pas être un dirigeant tyrannique s'accaparant toutes les conquêtes, au risque de voir la colère gronder dans les rangs des vassaux, ces derniers pouvant se liguer contre vous afin de vous renverser à l'issue d'une sanglante guerre civile.
Et puis surtout ça fait partie des jeux où tu ne pouvais pas sauvegarder quand tu voulais.Le Vieux Buk a écrit :Flora![]()
Premier jeu (dans mes souvenirs en tous cas) avec un long passage contemplatif mignon, sur le radeau avec Flora pendant des plombes : le passage me cassait les couilles, rétrospectivement il me plonge dans une terrible nostalgie.![]()