<!--QuoteBegin-Baptom+Aug 12 2005, 06:05 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>
QUOTE (Baptom @ Aug 12 2005, 06:05 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin-->
DELANOË A VU LES JOUEURS
DU PARIS-SG. – Bertrand Delanoë a rendu visite, hier matin, aux joueurs du PSG, au Camp des Loges. À l’issue d’une séance très légère, le maire de Paris s’est fait présenter les joueurs par leur capitaine, Pauleta. Ce qui a donné lieu à un petit pisode cocasse : Pauleta a d’abord présenté David Rozehnal comme étant « un chèque venant de Bruges et parlant anglais ».
Ensuite, le Portugais s’est tourné vers Vikash Dhorasoo, expliquant au maire qu’il arrivait de Milan. « Et vous parlez français ? », lui a lancé le maire. « Oui, je suis français», a répondu l’international. Très décontracté, Bertrand Delanoë s’est ensuite adressé à l’ensemble du groupe : « Je leur ai dit qu’on me parlait du PSG dans le monde entier
et que le PSG, c’est un label exceptionnel malgré les quelques années difficiles que nous venons de vivre. » Membre du conseil d’administration du PSG dans les
années 1990, aux côtés de Pierre Blayau, le maire de Paris a rappelé que la municipalité – qui verse 3,9 M de subventions annuelles – restait un « partenaire » du club. Le maire a indiqué avoir renoncé à l’idée de transférer le centre d’entraînement dans Paris intra-muros, sur l’hippodrome d’Auteuil : « J’en ai parlé avec Pierre Blayau. Les joueurs ont besoin de calme et de sérénité. » Poissy (Yvelines) tient toujours la corde pour accueillir, d’ici à deux ans, le futur centre d’entraînement du PSG. S’agissant de l’avenir du club, le maire de Paris a enfin indiqué : « À ma connaissance, aujourd’hui, le PSG n’est pas à vendre. À ma
connaissance… En cas de vente, je ferai en sorte que les intérêts des Parisiens soient considérés. » Par ailleurs, Bertrand Delanoë a indiqué qu’il se rendrait aujourd’hui aux obsèques de Colette Besson.
Et il se dit supporter du PSG

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J' adore

Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
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