Par contre il va peut-être falloir envisager changer de photographe



Et dans les 15 minutes il y a eu un rondo comme... lors de la dernière séance de Larguet.
Sampaoli a écrit : L'idée générale était d'attaquer à six et de défendre à quatre. C'est vrai qu'en L1 ça va très vite dans les transitions et qu'il faut faire attention mais on devait surtout corriger une certaine passivité offensive. Avec le temps, on va essayer de plus récupérer le ballon dans le camp adverse Mais le premier objectif, le premier message, c'est qu'il fallait attaquer.
Nash a écrit : ↑ven. mars 12, 2021 1:21 Clairement. AVB arrive en disant vouloir rester fidèle à la devise du club, droit au but, nous parle de verticalité
Mon interprétation reste celle que j'ai détaillé ici à l'automne, je pense que janvier 2020 est un tournant pour Villas-Boas. La Coupe de France démarre, on se met à enchainer quelques semaines à 2 matchs, et notre effectif limité est vite sur les rotules : il oublie l'idée de se remettre à presser comme en novembre. Sauf qu'il n'y est jamais revenu une fois qu'on recommence à jouer une fois par semaine. Il n'y a pas que la composante physique qui entre en compte, mais probablement aussi le fait qu'on est solidement installé à la seconde place en championnat et qu'AVB s'installe alors dans une sorte de mentalité "on est en position favorable, c'est à l'adversaire de venir nous chercher". L'exemple le plus parlant, c'est notre déplacement à Lille : on commence à jouer seulement quand on prend le 1-0. Pour obtenir un pénalty et marquer deux buts dans les vingt minutes qui suivent. Enfin, nos adversaires s'adaptaient de mieux en mieux au pressing de Rongier et Sanson, c'est nécessairement une des raisons qui le poussent à y renoncer. AVB a ramené une grande solidité défensive l'an dernier, personne ne lui enlèvera ça, c'était plus l'autoroute derrière. Mais on s'arrête de jouer à partir de ce moment là. Je suis pas d'accord pour dater ça de la fin de l'automne, notre réception de Bordeaux (décembre) est vraiment le match qu'on gagne par notre pressing haut. C'est surtout la reprise avec les quatre matchs de Coupe en cinq ou six semaines. Les résultats de janvier et février (Payet nous porte littéralement sur son dos) le confortent peu à peu dans cette approche. On reste solide, équilibré, pas mis en danger, et on sait qu'on aura quelques occasions nettes dans le match, on s'en remet aux cpa (Rennes) et au talent d'un joueur capable de faire basculer le match sur un seul coup de patte (StE, Toulouse)
On ne saura jamais comment on aurait fini la saison, peut être que les contre-performances des deux derniers matchs auraient menées à une remise en question, peut être pas
Toujours est-il que fort de ces résultats-là, et renforcé par l'adaptation aux conditions si particulières de cette saison, AVB s'engage dans cette saison II avec des intentions de jeu minimales. Il est allé trop loin avec les barres de contrôle, il a éteint le réacteur
Forme de Covid long?
Oui c’est possibleMedjik a écrit : ↑ven. mars 12, 2021 11:37 De ce que j'ai pu lire ça et là, Sampaoli demande souvent de grands bouleversements au mercato. C'est assez souvent ce qui finit par provoquer des tensions dans ses clubs.
A ce titre, je pense qu'il peut très bien s'entendre avec Longoria, justement. Il n'y aura pas de gros transferts parce que l'OM n'en a pas les moyens mais j'imagine que les mouvements seront assez nombreux. Longoria va pouvoir se régaler à chercher des joueurs partout, à faire des montages bizarres, etc.
A ma connaissance, il n’y a pas UN SEUL coach qui quitte l’OM pour un grand club européen dans l’histoire du club. Et pourtant on a eu des excellents CV : Beckenbauer, Goethals, Courbis (et oui, à ce moment là), Gerets, Deschamps, Bielsa, Garcia, Villas Boas...bueno_coco a écrit : ↑ven. mars 12, 2021 11:43 Je pense au contraire que s'il réussit bien la saison prochaine à l'OM il peut très vite avoir des belles sollicitations. Si peu de nos anciens coachs ont pu rebondir dans des plus grands clubs, c'est avant tout parce que pour la majorité ils avaient un profil très limité (et/ou qu'ils se sont plantés). Sampaoli même si son image a été ternie par la Coupe du Monde en Russie, à la base c'est un mec avec une certaine cote quand même.