L'année du ciné [2023]
- urba
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Re: L'année du ciné [2017]
Ok j’attends de tes nouvelles alors
«Je connais bien le monde ouvrier, j’en ai licencié des milliers» Donald Trump
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Re: L'année du ciné [2017]
Allez, allons-y.
Top 10 impossible à faire, il a changé tous les jours depuis que j'ai essayé de m'y coller
(et j'y passerai moins de temps que l'année dernière aussi )
11 Mother :
Bon. Ok, numéro 11...
Le film le plus sombre d'Aronofsky, déjà, là, on a tout compris. Brillamment mis en scène, avec un parti-pris de cadrage sur Jennifer Lawrence et de photo fantastiques, un sens du montage, une réalisation au cordeau.
Super bien joué. Bien écrit, voir très bien écrit, à la convergence de toutes les obsessions du bonhomme. Un film qui se livre à toutes les exégèses (c'est le cas de le dire ), qui remue, qui fait réfléchir, qui rebute aussi. Malheureusement, un film que je n'ai eu aucun plaisir à voir, et que je me remémore avec un réel déplaisir, carrément. Une oeuvre d'art quoi, pour le meilleur et pour le pire.
(bon : quand on est parent, 'faut arriver à supporter le film )
10 Nocturnal Animals :
Ah oui alors celui-là il débarque dans mon top ce matin, il n'y était pas jusqu'ici, mais tout à l'heure j'y ai repensé et quand même, quel bel objet.
Jake Gyllenhaal écrase absolument tout dans le film, y compris l'excellentissime Amy Adams.
Une bonne idée de narration (pas forcément bien exploitée, le film a de gros défauts), de bons acteurs, une jolie patine made in Tom Ford (beau boulot), un propos tenu de bout en bout, bref un film classieux, touchant et qui ne prend pas le spectateur pour un con. Bien.
(bon : quand on est parent, 'faut arriver à supporter le film )
9 The Lost City of Z :
Ah putain ce film.
Qu'il est bien. Qu'il respire le bon cinéma d'une époque un peu révolue. Qu'il étonne par la partition impeccable de Charlie Hunnam (même si, sans doute à cause des précédents "Klaus Kinskiens" voire "Marlon Brandiens" dans ce genre de films, je m'attendais à le voir sombrer dans la folie la plus visuelle).
Etonnamment, il me semble que le film aurait été bien meilleur s'il avait duré une bonne heure de plus (alors qu'il dure déjà 2h20 ), tout semble un peu précipité, beaucoup d'ellipses, et du coup des thématiques fortes et clairement présentes ne sont pas explorées à leur juste valeur (le personnage féministe de Sienna Miller, la complexité du rapport père-fils, la métaphore de la descente en soi-même par l'exploration), quant à cette jungle, elle méritait encore davantage de screen time.
Le même film de 3h30, il était direct Top 2 de cette année (oui, parce que le Top 1 était inatteignable cette année).
8 Get Out :
Allez, je le mets là même s'il me semble qu'on en a trop fait avec ce film. il n'empêche. Déjà, j'étais super content de voir Daniel Kaluuya décrocher un super premier rôle, le mec m'avait complètement soufflé dans le Fifteen Million Merits de Black Mirror ( cet épisode ). Ensuite, le film se tient super bien, on a le personnage malin (au sens de : c'est malin de l'avoir écrit comme ça) qui joue presque le rôle du spectateur mais en étant tout candide qui éclaire le film, et une réflexion SUPER intelligente sur une forme de racisme moins dénoncée mais plus présente et insidieuse que la version "We don't like niggas here in Alabama".
Seul souci : il faut accepter ce sur quoi repose tout le film, et franchement, y a des limites à la suspension d'incrédulité .
(détail amusant : le film m'a rappelé le très rigolo Society, d'autant que les deux films symbolisent parfaitement leur époque : suis-je cinglé ?)
7 Grave :
J'avoue, je le place peut-être trop haut. Mais le fait que ce film existe constituant un miracle en soi, il faut l'encourager.
J'aurais jamais cru voir un film pareil, en France, en 2017. Jamais. Surtout pas avec un tel appui de Julie Gayet .
Un retour à un certaine vision intimiste et viscérale de l'horreur façon Cronenberg (et autres de mid-70 à mid-1980) avec un traitement étonnant, des éclats de Giallo mélangés à de l'ultra-réalisme (oui ça semble impossible)... et surtout un film particulièrement intelligent. J'adore quand un film justifie toute sa démarche, quand chaque dialogue qui a pu nous paraître off ou faiblard, tout plan qui nous a semblé anecdotique, prennent tout leur sens au fil de la narration. Un film sans superflu, direct, droit, solide. Bravo.
6 Un jour dans la vie de Billy Lynn :
Quel film extraordinaire. Quel film massacré par sa distribution. Bon je vais cc ce que j'en avais dit à l'époque, parce que ça résumait déjà mon sentiment :
5 Faute d'amour :
Je sais pas trop quoi dire à part que ce film marque durablement, qu'il est superbement mis en scène, et particulièrement difficile à avaler psychologiquement. Sans pitié. D'après Framboise le film est "fantastiquement russe", je sais pas, je n'y connais rien sur ce point mais en tous cas le film m'a laminé.
(bon : quand on est parent, 'faut arriver à supporter le film )
4 Blade Runner 2049 :
On en a beaucoup parlé ici, je vais pas en rajouter. En gros je trouve le film magnifique, le travail de Deakins stupéfiant, le jeu de Gosling extraordinaire, mais je pense que la narration (en fait, non, plutôt : le scénario) aurait mérité un poil plus d'attention.
(note : entre Dunkirk et ça, La transition de Zimmer en sound designer de génie semble s'achever)
3 A Ghost Story :
Quel beau film. Mais quel beau et grand film sur l'amour, le temps qui passe, l'absurdité du monde... Et tout ça avec un figurant affublé d'un drap sur la tête et Mara qui bouffe une tare pendant 5mn en plan séquence. Alors là, bravo.
2 Colossal :
L'ovni de l'année, au carrefour improbable d'un film estampillé Sundance qui aurait été co-écrit par Spike Jonze et Guillermo Del Toro.
Je peux même pas pitcher le film sans en niquer le propos.
Dites-vous seulement qu'avec un peu d'ouverture d'esprit, ce film mérite un visionnage attentif, je ne lui vois aucun défaut en fait (et comme je l'ai dit ici, qui aurait pu croire que Jason Sudeikis pouvait assurer à ce point ??!!? ).
et là, OUI, ENFIN, un pesonnage féminin superbement écrit, avec ses failles et ses forces, ses spécificités, un personnage principal féminin qui n'est pas une transposition vague d'un personnage masculin qu'on aurait transposé parce que c'est la mode.
Incroyable qu'un film à l'argument aussi fou se révèle aussi puissant dans ses thématiques, notamment féministes.
A voir absolument si on a un minimum d'ouverture d'esprit.
1 La la land :
Bof.
je m'étais suffisamment épanché ici.
Soyons bref : le seul film que j'ai vu deux fois en salles cette année, et de mon point de vue un miracle de pur cinéma. C'est pour ce genre de bijous qu'il faut que les salles ne disparaissent jamais.
Merci putain merci Monsieur Chazelle
Top 10 impossible à faire, il a changé tous les jours depuis que j'ai essayé de m'y coller
(et j'y passerai moins de temps que l'année dernière aussi )
11 Mother :
Bon. Ok, numéro 11...
Le film le plus sombre d'Aronofsky, déjà, là, on a tout compris. Brillamment mis en scène, avec un parti-pris de cadrage sur Jennifer Lawrence et de photo fantastiques, un sens du montage, une réalisation au cordeau.
Super bien joué. Bien écrit, voir très bien écrit, à la convergence de toutes les obsessions du bonhomme. Un film qui se livre à toutes les exégèses (c'est le cas de le dire ), qui remue, qui fait réfléchir, qui rebute aussi. Malheureusement, un film que je n'ai eu aucun plaisir à voir, et que je me remémore avec un réel déplaisir, carrément. Une oeuvre d'art quoi, pour le meilleur et pour le pire.
(bon : quand on est parent, 'faut arriver à supporter le film )
10 Nocturnal Animals :
Ah oui alors celui-là il débarque dans mon top ce matin, il n'y était pas jusqu'ici, mais tout à l'heure j'y ai repensé et quand même, quel bel objet.
Jake Gyllenhaal écrase absolument tout dans le film, y compris l'excellentissime Amy Adams.
Une bonne idée de narration (pas forcément bien exploitée, le film a de gros défauts), de bons acteurs, une jolie patine made in Tom Ford (beau boulot), un propos tenu de bout en bout, bref un film classieux, touchant et qui ne prend pas le spectateur pour un con. Bien.
(bon : quand on est parent, 'faut arriver à supporter le film )
9 The Lost City of Z :
Ah putain ce film.
Qu'il est bien. Qu'il respire le bon cinéma d'une époque un peu révolue. Qu'il étonne par la partition impeccable de Charlie Hunnam (même si, sans doute à cause des précédents "Klaus Kinskiens" voire "Marlon Brandiens" dans ce genre de films, je m'attendais à le voir sombrer dans la folie la plus visuelle).
Etonnamment, il me semble que le film aurait été bien meilleur s'il avait duré une bonne heure de plus (alors qu'il dure déjà 2h20 ), tout semble un peu précipité, beaucoup d'ellipses, et du coup des thématiques fortes et clairement présentes ne sont pas explorées à leur juste valeur (le personnage féministe de Sienna Miller, la complexité du rapport père-fils, la métaphore de la descente en soi-même par l'exploration), quant à cette jungle, elle méritait encore davantage de screen time.
Le même film de 3h30, il était direct Top 2 de cette année (oui, parce que le Top 1 était inatteignable cette année).
8 Get Out :
Allez, je le mets là même s'il me semble qu'on en a trop fait avec ce film. il n'empêche. Déjà, j'étais super content de voir Daniel Kaluuya décrocher un super premier rôle, le mec m'avait complètement soufflé dans le Fifteen Million Merits de Black Mirror ( cet épisode ). Ensuite, le film se tient super bien, on a le personnage malin (au sens de : c'est malin de l'avoir écrit comme ça) qui joue presque le rôle du spectateur mais en étant tout candide qui éclaire le film, et une réflexion SUPER intelligente sur une forme de racisme moins dénoncée mais plus présente et insidieuse que la version "We don't like niggas here in Alabama".
Seul souci : il faut accepter ce sur quoi repose tout le film, et franchement, y a des limites à la suspension d'incrédulité .
(détail amusant : le film m'a rappelé le très rigolo Society, d'autant que les deux films symbolisent parfaitement leur époque : suis-je cinglé ?)
7 Grave :
J'avoue, je le place peut-être trop haut. Mais le fait que ce film existe constituant un miracle en soi, il faut l'encourager.
J'aurais jamais cru voir un film pareil, en France, en 2017. Jamais. Surtout pas avec un tel appui de Julie Gayet .
Un retour à un certaine vision intimiste et viscérale de l'horreur façon Cronenberg (et autres de mid-70 à mid-1980) avec un traitement étonnant, des éclats de Giallo mélangés à de l'ultra-réalisme (oui ça semble impossible)... et surtout un film particulièrement intelligent. J'adore quand un film justifie toute sa démarche, quand chaque dialogue qui a pu nous paraître off ou faiblard, tout plan qui nous a semblé anecdotique, prennent tout leur sens au fil de la narration. Un film sans superflu, direct, droit, solide. Bravo.
6 Un jour dans la vie de Billy Lynn :
Quel film extraordinaire. Quel film massacré par sa distribution. Bon je vais cc ce que j'en avais dit à l'époque, parce que ça résumait déjà mon sentiment :
J'ajoute que le propos, le message, méritent aussi le détour. Grand grand film.Oh putain ce chef d'oeuvre que je devine. (note : je ne suis pas super impartial sur la filmo de Ang Lee, je l'adore totalement). Très grand film, puissant, écrasant. Et SCANDALE qu'on n'ait pas en France la version voulue par Ang Lee, à savoir en 4K, 3D, et HFR (120 images/secondes !!) parce qu'il est clairement évident que c'était un parti-pris de mise en scène parfaitement cohérent pour signifier le décalage, la déconnexion, du héros avec le reste du monde. En gros je suppose que l'idée c'était que nous partagions par notre propre expérience sensorielle le décalage "Camusien" (ouais, parce que l'étrangeté du monde au héros, ou le contraire, c'est du Camus filmé, pour le coup) qui constitue le film.
Revenons-y : on devine le chef d'oeuvre seulement, parce qu'en l'état on ne peut que supposer l'impact que la vraie version doit avoir. Du coup, on a juste en face de nous un très bon film au propos passionnant (discuss : contrepoint de Tu ne tueras point, ou complément ?)
5 Faute d'amour :
Je sais pas trop quoi dire à part que ce film marque durablement, qu'il est superbement mis en scène, et particulièrement difficile à avaler psychologiquement. Sans pitié. D'après Framboise le film est "fantastiquement russe", je sais pas, je n'y connais rien sur ce point mais en tous cas le film m'a laminé.
(bon : quand on est parent, 'faut arriver à supporter le film )
4 Blade Runner 2049 :
On en a beaucoup parlé ici, je vais pas en rajouter. En gros je trouve le film magnifique, le travail de Deakins stupéfiant, le jeu de Gosling extraordinaire, mais je pense que la narration (en fait, non, plutôt : le scénario) aurait mérité un poil plus d'attention.
(note : entre Dunkirk et ça, La transition de Zimmer en sound designer de génie semble s'achever)
3 A Ghost Story :
Quel beau film. Mais quel beau et grand film sur l'amour, le temps qui passe, l'absurdité du monde... Et tout ça avec un figurant affublé d'un drap sur la tête et Mara qui bouffe une tare pendant 5mn en plan séquence. Alors là, bravo.
2 Colossal :
L'ovni de l'année, au carrefour improbable d'un film estampillé Sundance qui aurait été co-écrit par Spike Jonze et Guillermo Del Toro.
Je peux même pas pitcher le film sans en niquer le propos.
Dites-vous seulement qu'avec un peu d'ouverture d'esprit, ce film mérite un visionnage attentif, je ne lui vois aucun défaut en fait (et comme je l'ai dit ici, qui aurait pu croire que Jason Sudeikis pouvait assurer à ce point ??!!? ).
et là, OUI, ENFIN, un pesonnage féminin superbement écrit, avec ses failles et ses forces, ses spécificités, un personnage principal féminin qui n'est pas une transposition vague d'un personnage masculin qu'on aurait transposé parce que c'est la mode.
Incroyable qu'un film à l'argument aussi fou se révèle aussi puissant dans ses thématiques, notamment féministes.
A voir absolument si on a un minimum d'ouverture d'esprit.
1 La la land :
Bof.
je m'étais suffisamment épanché ici.
Soyons bref : le seul film que j'ai vu deux fois en salles cette année, et de mon point de vue un miracle de pur cinéma. C'est pour ce genre de bijous qu'il faut que les salles ne disparaissent jamais.
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Re: L'année du ciné [2017]
J'en garde 3, allez, 4 (soyons fou). La La Land, Get Out, Blade Runner et ... bon finalement, ça sera que 3.
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Re: L'année du ciné [2017]
Tu veux dire que les autres ont tous selon toi un mauvais scénario/une mauvaise histoire ?
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Re: L'année du ciné [2017]
Ah, bien vu pour Nocturnal Animals. Je l'avais vu en fin d'annee precedente, du coup il s'est retrouvé hors des tops 2016 et 2017, mais c'est vrai qu'il y aurait sa place...
#TeamColossal
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Go... Where ? That's right. Go where ? Where are you gonna go ? Where are you gonna run ? Where are you gonna hide ? Nowhere. 'Cause there's no one. Like you. Left.
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Re: L'année du ciné [2017]
Beaucoup aimé Blade Runner, Get Out et Grave aussi. Vu La La Land, que j'ai trouvé sympathique mais très surfait (après j'ai tendance à être allergique à la romance guimauve). Pas vu le reste. (Je crois que je regarde pas assez de films en fait, je vais m'efforcer d'être plus curieux cette année )
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Re: L'année du ciné [2017]
Merci Bukky,
Je me suis tâter de me lancer The Lost City of Z hier, maintenant j'hésiterai plus
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Re: L'année du ciné [2017]
Vu GET OUT, LOST CITY, BLADE RUNNER 2049 et COLOSSAL
Au sujet de ce dernier, c'est sur le forum que j'ai découvert son existence
J'ai regardé
J'ai bien aimé
Mais c'est typiquement le genre de film que j'aurai vu se faire détruire pour les critiques.
Certes c'est original ( mais qui peut imaginer un scenario comme ça ??? ) mais au delà de ca...
Ca m'intéresse vraiment ce comprendre en quoi ce film est dingue à ce point ?
Il l'est surement mais sous quel angle faut il el regarder pour cela ?
Au sujet de ce dernier, c'est sur le forum que j'ai découvert son existence
J'ai regardé
J'ai bien aimé
Mais c'est typiquement le genre de film que j'aurai vu se faire détruire pour les critiques.
Certes c'est original ( mais qui peut imaginer un scenario comme ça ??? ) mais au delà de ca...
Ca m'intéresse vraiment ce comprendre en quoi ce film est dingue à ce point ?
Il l'est surement mais sous quel angle faut il el regarder pour cela ?
Le PSG ne s'interdit pas le rêve! Nous avons de l'ambition de monter une grande équipe européenne la saison prochaine. Christophe Landrin est notre 1ère recrue.
P. Blayau - mai 2005
Maire d'OMFORUM du 06/03/2020 au 10/03/2020 - Wolves Killer : CAMARGUAIS rip, PIGBOSS rip, BUENO rip
P. Blayau - mai 2005
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Re: L'année du ciné [2017]
Je fais une différence entre mauvais et "pas mon style". Le film dans la jungle, j'ai apprécié, mais j'ai pas adoré. Les films au rythme lent, j'ai du mal, sauf quand il y a une intrigue. J'aime les polars, du coup, ça limite le truc. Et comme tu le sais bien, le reste (montage, musique, photographie), ça vient en supplément pour sublimer une histoire qui m'accroche.Le Vieux Buk a écrit :Tu veux dire que les autres ont tous selon toi un mauvais scénario/une mauvaise histoire ?
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Re: L'année du ciné [2017]
Merci Buk pour la liste et pour les disclaimers bien utiles pour ma santé mentale et celle de mon ménage
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Re: L'année du ciné [2017]
J'en ai pas vu un seul
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Re: L'année du ciné [2017]
Franchement y avait plein plein d'autres films que j'aurais pu choisir, j'ai adoré cette année ciné
Y a des Baby Driver, des Logan, des Au revoir là-haut, des 120 battements par minute qui ne sont pas là (et encore une bonne dizaine d'autres )
Y a des Baby Driver, des Logan, des Au revoir là-haut, des 120 battements par minute qui ne sont pas là (et encore une bonne dizaine d'autres )
Le Néant est là juste devant nous et nous suce le bout
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Re: L'année du ciné [2017]
Vu les trois premiers que j'ai beaucoup aimé aussi, par contre 120 battements machin c'est vraiment bien ? Perso par principe je fuis ce genre de film à la thématique socialisante, ça me gonfle au plus haut point
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Re: L'année du ciné [2017]
Gabriel et la montagne? Cest mon top 1 je pense, mais jen ai raté plein!
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Re: L'année du ciné [2017]
Vu hier soir The Lost City of Z. J’ai adoré. Dans mon top 3 2017 et j’aurais volontier repris 1h de rab.
Vu lundi au ciné Les Heures Sombres, sympathique si on aime la gouaille de Churchill et les ambiances patriotiques. Vraiment pas nécessaire de le voir au ciné en revanche. A enchainer avec Dunkerque pour rester dans l’ambiance.
Vu lundi au ciné Les Heures Sombres, sympathique si on aime la gouaille de Churchill et les ambiances patriotiques. Vraiment pas nécessaire de le voir au ciné en revanche. A enchainer avec Dunkerque pour rester dans l’ambiance.
"[...] n'importe quel leader, s'il devrait décrire sa responsabilité en une phrase, sa fonction est d'éviter que ceux qui sont sous sa conduite plient face à l'adversité, cette équipe a dû affronter une avalanche, une infinité d'adversités, je n'ai pas réussi à ce qu'ils résistent, la responsabilité est mienne."
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Re: L'année du ciné [2017]
J'ai beaucoup, beaucoup aimé. Hyper bien joué, passionnant et j'avais jamais vu un film réussir à retranscrire aussi justement les tensions inhérentes à toute mobilisation. Pour qui a un peu fréquenté les AG ce film est génial. En plus de ça, beau visuellement et pas larmoyant comme le sujet peut le laisser penser.bueno_coco a écrit :Vu les trois premiers que j'ai beaucoup aimé aussi, par contre 120 battements machin c'est vraiment bien ? Perso par principe je fuis ce genre de film à la thématique socialisante, ça me gonfle au plus haut point
"Farpaitement! Machin a raison!"
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Re: L'année du ciné [2017]
Bon. Aux 2/3 de l'année cinéma je pense qu'on peut déjà le dire : on est loin loin du merveilleux millésime 2017.
Loin.
Loiiiiiiin.
Loing loing.
L'année dernière au moins 20 à 30 films méritaient leur entrée en top 10 sur leurs qualités plastiques, narratives, leur message... Là quelle tristesse. A moins d'un automne miraculeux ça s'annonce consternantissime
Loin.
Loiiiiiiin.
Loing loing.
L'année dernière au moins 20 à 30 films méritaient leur entrée en top 10 sur leurs qualités plastiques, narratives, leur message... Là quelle tristesse. A moins d'un automne miraculeux ça s'annonce consternantissime
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- bueno_coco
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Re: L'année du ciné [2017]
J'ai pas beaucoup fréquenté le ciné cette année (sans doute un peu par manque de retours positifs sur des films, justement) mais le peu que j'ai vu ne m'a effectivement pas laissé un grand souvenir, au point que je peine à me remémorer les quelques films qui m'ont fait me déplacer en salle
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Re: L'année du ciné [2017]
y'a quand même La Ch'tite famille !
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Re: L'année du ciné [2017]
ah oui au temps pour moi
Le Néant est là juste devant nous et nous suce le bout
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Re: L'année du ciné [2017]
En prenant de l'âge, on est plus exigeant, certains disent "casse-couille". Je ne connais pas ta vie ni ce que tu fais vraiment, mais je ne serais pas surpris que tu me dises qu'en 2017, tu étais plus jeune qu'aujourd'hui. Me trompé-je ? CQFD
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Re: L'année du ciné [2017]
J'ai trouvé l'année 2016 bien moins intéressante que 2017.
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Re: L'année du ciné [2017]
T'es un bissextile, c'est évident.
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Re: L'année du ciné [2017]
Pas vu grand chose de marquant non plus. Mais je me suis pas motivé pour aller voir pas mal de trucs qui avaient bonne presse, par exemple : Mektoub (j’avais détesté la bande annonce), En Guerre (un peu la flemme de la Lindonxplotation de la misère, surtout depuis qu’il est macroniste), l’Ile aux Chiens (dommage), Jusqu’à la Garde (Kramer contre Kramer ça m’avait déjà gonflé) ou Hérédité (le battage médiatique m’a saoulé). Donc j’ai peut-être raté du bon qui m’aurait plu.
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Re: L'année du ciné [2017]
Tiens, Buk, en tant que cynophobe et wesandersonophile, tu l'as vécu comment "L'île aux chiens" ?
(J'ai dormi comme une merde pendant 90% du film)(Le cinéma est le lieu où je dors le mieux, c'est fou)
(J'ai dormi comme une merde pendant 90% du film)(Le cinéma est le lieu où je dors le mieux, c'est fou)
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Re: L'année du ciné [2017]
Dommage que le film se déroule au Japon et pas en Chine, il aurait pu devenir le film détesté de tous les cynophobes cinéphobes sinophobes.
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Re: L'année du ciné [2017]
J'y suis pas allé. Seul Wes Anderson que j'ai pas vu. Pas possible pour moi
Le Néant est là juste devant nous et nous suce le bout
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Re: L'année du ciné [2017]
La saison est ouverte.
Les cahiers du cinéma :
Je crois que j'en ai vu un (Le Hong Sang-Soo : l'actrice qui a une liaison avec son metteur en scène et qui dort à l'hôtel, c'était cette année, l'année dernière, ou n'importe quelle année en fait ce mec fait toujours le même film ?)
Les cahiers du cinéma :
Je crois que j'en ai vu un (Le Hong Sang-Soo : l'actrice qui a une liaison avec son metteur en scène et qui dort à l'hôtel, c'était cette année, l'année dernière, ou n'importe quelle année en fait ce mec fait toujours le même film ?)
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Re: L'année du ciné [2017]
J'ai complètement zappé d'aller voir le dernier Lars Von Trier putain
J'ai beaucoup de trucs à rattraper cette année niveau ciné
J'ai beaucoup de trucs à rattraper cette année niveau ciné
Pilier de bar selon Francis Perrin