Quelle escroquerie ce nouvel album de Thom Yorke
(et l'album d'Aphex Twin est à peine moins immonde, parce qu'il a un ou deux partis-pris intéressants...)
déçudéçudéçu par mes héros
Le Néant est là juste devant nous et nous suce le bout
Mon dieu le niveau pour arriver à jouer ça
(pas mal aussi d'avoir réussi à l'écrire, l'arrangement a dû la faire cauchemarder).
J'adore son commentaire de la video :
I almost killed myself in the process of making this.
tu m'étonnes
cette fille a fait quelques covers très impressionnantes (de Muse, notamment, qui renvoient Bellamy -qui est un sacré bon musicien- au rang d'amateur de MJC )
Le Néant est là juste devant nous et nous suce le bout
Elle a forcément une grosse formation classique, elle a dû bouffer un peu de Bach dans sa vie. J'ai vu des gens jouer des trucs plus intorchables que ça.
Oui, évidemment on peut toujours trouver plus dur (dans les "connus" déjà du Liszt, du Rachmaninoff, dans les pas connus l'horrible Kapustin...), il n'empêche que là, elle se confronte à une sacrée double difficculté : jouer ça, et c'est quand même très très très dur, et écrire la partition, l'arrangement a dû être immonde à concevoir correctement.
(pour les fans de piano, j'avais posté ici les liens vers la battle Gonzales-Zygel qui était extraordinaire )
Puisque j'en suis à Gonzales et que c'est la sod (je l'avais déjà mise mais à l'époque on n'avait pas la balise "video") : [/video] Mais qu'est-ce que c'est bon
Le Néant est là juste devant nous et nous suce le bout
@Buk : Chilly Gonzales, un putain de cador. Très bon morceau. L'album avec Boys Noize est pour moi un des meilleurs de ce début d'année et de loin !
sinon mon chouchou, créateur des géniaux The Whitest Boy Alive et Kings of Convenience. En concert dans 2 semaines à Paris, je suis aux anges. Son album solo sort le 6/10.
Wu Forever of course, j'écoute que ça depuis 2 mois, un retour en arrière nécessaire pour me réconcilier avec le RAP, parceque ça fait un bon bout de temps que ça part en couille
[/video]
ODB
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".