Pas très loin effectivement. Bon, je doute que quelqu'un trouve la réponse. Comme je suis sympa, je laisse deux tentatives de réponse et je vous dis la particularité de cet endroit.
C'est l’ancienne demeure d'un réalisateur ayant fait fortune aux débuts des années fastes d'Hollywood. Sauf qu'avec le temps, les impôts sont devenus trop élevés, et le succès n'était plus au rendez-vous face à la concurrence des frères Warner et d'Universal. Les descendants du réalisateur ne pouvant supporter la charge, ils ont abandonné la demeure qui est depuis squattée par des taggeurs.
Pendant que le nazisme sévissait en Europe, dans les années 30 et 40, les USA n’ont pas échappé à l'adoration du parti fondé par Adolf Hitler. La Californie a même abrité une colonie où il faisait bon vivre pour les sympathisants nazis américains. Aujourd'hui à l'abandon, ce QG est recouvert de graffitis et fait le bonheur des photographes amateurs d'exploration urbaine.
Dans l'esprit des fans locaux du Führer, Hitler allait immanquablement envahir les Etats-Unis, et le Murphy Ranch situé du côté de Rustic Canyon devenir son Q.G.. Randy Young, ancien photographe publicitaire qui s’est intéressé à cette oasis pour les nazis, affirme que l’endroit se composait d’un réseau de souterrains et a abrité de 1933 à 1945 une quarantaine de personnes qui vivaient dans une parfaite autarcie. Entourées de barbelés, elles produisaient leur propre électricité, possédaient des réserves d’eau et un groupe paramilitaire assurait la surveillance du Murphy Ranch. Vendu après la défaite du régime nazi, ilest devenu durant les années 1950 et 1960 un lieu dédié aux artistes.
Bon comme personne a trouvé la réponse, c'est à Tof de prendre le relais.
Non même pas C'est en parcourant le blog d'une française à LA que j'ai découvert cet endroit. Faut dire que j'adore la vision très souvent binaire des américains. Ils avaient du mal avec les communistes ? Ben pourquoi pas être copain avec les nazis qui n'aimaient pas non plus le rouge. Quand on voit tous les américains connus qui avaient dans leur liste d'amis, des nazis, ça fait peur (la famille Kennedy, Henry Ford, Rockefeller, John Godgiven....)
En même temps c'est pas extrêmement surprenant... Ca me fait penser au bouquin de Phlip Roth, "Le Complot contre l'Amérique" sur la candidature fictionnelle de Charles Lindbergh.
D'un autre côté, dans le genre vision binaire du monde, les français on se pose là aussi. Pour les américains, étant un peu sensible à l'Amérique du Sud, la collaboration est allé un tout petit peu au delà de la fiction :mattel:
«Je connais bien le monde ouvrier, j’en ai licencié des milliers» Donald Trump
Hyde a écrit :En même temps c'est pas extrêmement surprenant... Ca me fait penser au bouquin de Phlip Roth, "Le Complot contre l'Amérique" sur la candidature fictionnelle de Charles Lindbergh.
Moi j'avais trouvé la Californie (parce qu'il n'y a pas tant d'endroits avec un climat méditerranéen dans le monde) mais tu as vendu la mèche trop vite
«Je connais bien le monde ouvrier, j’en ai licencié des milliers» Donald Trump
urba a écrit :Moi j'avais trouvé la Californie (parce qu'il n'y a pas tant d'endroits avec un climat méditerranéen dans le monde) mais tu as vendu la mèche trop vite
On est aux fils électriques et aux déclenchements à distance maintenant
La petite histoire derrière cette photo, c'est que j'y suis allé la lendemain d'un déluge sur la région. Ne voulant pas camper sur place, j'avais prévu de faire la rando de 9h A/R dans la même journée pour aller voir les chutes. La pluie n'aidant pas j'ai finalement mis 6H à arriver (en ayant croisé 3 chevaux fraichement écrasés par des éboulements de la veille), et j'ai pu constater sur place les dégâts : coulées de boue, arbres déracinés, etc... Bref pas du tout ce à quoi je m'attendais. Et bien entendu il a fait une chaleur caniculaire au moment de la remontée...
Voilà donc ce que j'ai raté :
5 mois après j'en ai encore les boules...
PS : urba, j'ai aussi fait Zion et le premier tiers d'Angels Landing, avant de me chier dessus et de faire demi-tour
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".