Et bien oui, il y a des lendemains de match qui exigent des sujets totalement étrangers au football.
PARIS (AP) - A l'approche de la Journée internationale de la femme le 8 mars, Amnesty International a lancé vendredi une campagne mondiale de sensibilisation contre les violences subies par les femmes, estimant que dans le monde, un tiers d'entre elles en était directement victime.
"Une femme sur trois dans le monde subit des violences sérieuses, qu'il s'agisse d'un viol, d'une agression sexuelle ou d'une attaque", affirme Irene Khan, secrétaire générale d'Amnesty International, dans un entretien publié dans "Le Monde" daté de samedi.
"C'est un mal très répandu, hélas universel, qui ne connaît aucune frontière entre Nord et Sud, Noirs et Blancs, riches ou pauvres", poursuit-elle. "C'est une terreur cachée dont personne ne veut parler".
Irene Khan donne ensuite quelques exemples de ces violences qui n'épargnent pas les pays occidentaux. "Aux Etats-Unis, une femme est battue toutes les 15 secondes, ordinairement par son mari ou son compagnon", souligne-t-elle, en ajoutant que "dans les pays de l'OCDE, la violence est la principale cause de décès des femmes âgées de 16 à 44 ans, avant le cancer et les maladies cardiaques".
Selon la secrétaire générale d'Amnesty, ces violences résultent "de l'inégalité et des discriminations au détriment des femmes en vigueur dans de nombreuses sociétés", où elles sont "dominées par des rapports d'exploitation économique, piégées par les relations sociales" et s'expliquent "par l'impunité dont jouissent les agresseurs", la police intervenant peu.
Par ailleurs, la revue bimestrielle "Hommes & Migrations" consacre son numéro de mars-avril au thème "Femmes contre les violences". De l'historique "Marche des Beurs" de 1983 à celle des "Ni putes, ni soumises" l'année passée, l'égalité des Français et des Françaises de toutes origines avance à petits pas, note la revue dans un communiqué.
Dans ce numéro de 160 pages, on pourra notamment lire un article de Michelle Perrot sur "Les relations hommes-femmes depuis la fin du XIXe siècle", un autre de Juliette Minces sur "Les trois formes de discriminations subies par les femmes de l'immigration" ou encore un article de Chérifa Benabdessadok sur le mouvement "'Ni putes, ni soumises': de la marche à l'université d'automne". AP
CARTHAGENE (AFP) - Six joueurs du club de football de Leicester (1re div. anglaise) ont été inculpés vendredi par une juge de Carthagène (sud-est de l'Espagne), dont trois, qui ont été incarcérés, pour agression sexuelle et trois autres pour violation de domicile et non assistance à personne en danger.
La juge, agissant sur une plainte déposée par trois jeunes femmes, a inculpé et envoyé à la prison de Sangonera les trois joueurs Britanniques Keith Gillespie, Paul Dickov et Frank Sinclair pour agression sexuelle et violation de domicile, a-t-on appris de source judiciaire à Carthagène.
Trois autres joueurs -le Français Lilian Nalis et les Britanniques Matt Elliott et James Scowcroft- ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire, ce dernier moyennant une caution de 20.000 euros, a-t-on appris de source diplomatique britannique en Espagne.
Ces trois joueurs, inculpés de violation de domicile et non assistance à personne en danger, pourront donc quitter le territoire espagnol et regagner la Grande-Bretagne, où ils devront toutefois se soumettre au contrôle périodique des autorités consulaires espagnoles.
Neuf joueurs au total avaient été interpellés mercredi à la suite de la plainte déposée la veille par trois jeunes femmes alors qu'elles étaient en partance pour l'Allemagne à l'aéroport d'Alicante.
Ces trois femmes accusent les joueurs, à des degrés divers de participation, de les avoir agressées sexuellement après être entrés de force dans la nuit de dimanche à lundi dans leur chambre de l'hôtel de luxe Hyatt Regency à La Manga, station balnéaire où le club britannique effectuait un stage d'entraînement.
Les trois victimes, deux originaires du Malawi et une du Kenya, s'étaient laissées convaincre par la police espagnole de demeurer en Espagne pour témoigner, ce qu'elles ont fait vendredi devant la juge de Carthagène qui a également longuement entendu les six joueurs incriminés.
Un médecin du service d'urgences de l'hôpital d'Alicante qui avait examiné les jeunes femmes a constaté de multiples lésions. Ces dernières ont en outre remis comme preuves à la police un bracelet supposé appartenir à l'un de leurs assaillants et des vêtements déchirés et tachés de sang.
S'exprimant à la sortie du tribunal, le directeur du club, Tim Davies, s'est dit satisfait que trois joueurs aient été remis en liberté vendredi.
"Nous travaillons avec des représentants légaux pour permettre la remise en liberté des trois joueurs restant", a-t-il affirmé.
"Nous avons confiance en la justice espagnole, a poursuivi M. Davies. Nous sommes également persuadés de l'innocence de nos joueurs et nous espérons qu'ils retourneront en Angleterre très rapidement".
Sur les neuf footballeurs interpellés à la suite de la plainte déposée par ces trois femmes, trois autres joueurs avaient été remis en liberté dès jeudi.
L'Allemand Steffen Freund a été mis hors de cause et deux autres, le Grec Nikos Dabizas et le Britannique Danny Coyne, mis en cause pour violation de domicile et non assistance à personne en danger, ont été libérés sous contrôle judiciaire.
L'équipe de Leicester était en stage depuis le début de la semaine près de La Manga, une station balnéaire régulièrement fréquentée par les équipes britanniques et notamment par l'équipe nationale anglaise.
Selon un gardien de l'hôtel, les joueurs semblaient être en état d'ébriété la nuit des faits.
si j'étais une femme (déjà j'en profiterais pour tester certaines choses ) mais surtout j'aurais très peur de ne jamais me rencontrer... et de louper un super coup et un être exceptionnel
kikoo l'Edam c'est bon , mais y faut acheter du fromage français
"Je suis le sergeant tirailleur Highway, j'ai descendu plus d'bières, ramassé plus d'pêche, baisé plus d'pouffiasses que vous tous ici bande de bleusaille".
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
Aujourd'hui c'était mon conseil de classe du deuxieme trimestre, je devais passer à 16h devant les profs mais il y avait 1h30 de retard donc je suis finalement passé à 17h30