<a href='http://www.lyon.fr/lumieres/histoire.htm' target='_blank'>Histoire de la fête des lumières à Lyon</a>. Cette fête est consécutive au voeu fait par les échevins, le prévot des marchands et les notables de rendre hommage chaque année à la Vierge si l'épidémie de peste qui toucha Lyon en 1643 cessait.
Et si les animations en valent le coup je prendrai quelques photos.
"Je suis le sergeant tirailleur Highway, j'ai descendu plus d'bières, ramassé plus d'pêche, baisé plus d'pouffiasses que vous tous ici bande de bleusaille".
J'espère que ça sera mieux que l'année dernière, j'me souviens même plus ce que j'avais fait, c'est dire si ça devait être nul
Tu vas faire quoi OM69 ?
C'est vrai que l'année dernière c'était pas tip top, un peu trop élitiste et les organisateurs en étaient conscient, donc ça devrait être mieux et ce sera pas difficile. Je me souviens juste des lumières vertes, bleues, roses et jaunes dans le métro pendant quelques jours.
Comme je ne peux pas y aller ce soir ni demain soir, j'irai samedi, j'ai d'ailleurs un pote qui vient pour ces illuminations, le marché de Noël est également au programme.
Pour Malachi, ils annoncent soleil et froid pour ce week-end.
soir'
bon bah, va falloir encore attendre pour savoir le sexe du minot
super, on vient de me proposé un nouveau appartement ... déménagement le .... 01/01/06
va falloir s' activé et surtout bien joué de mettre ça un lendemin de fête, surtout quand c' est un dimanche le 01/01, donc avec un peu de chance j' aurai les clefs avant.
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
ouaip, faut qu' on donne la réponse demain et il est a nous.
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".