
Bonne journée à tous.

le dispositif policier était impressionnantA Paris, la manifestation lycéenne a tourné court en raison de violences provoquées par plusieurs centaines de casseurs. Les deux syndicats lycéens organisateurs (FIDL et UNL) ont appelé à la dispersion du cortège à mi-parcours, au niveau du pont d'Austerlitz, après un peu plus d'une heure de défilé.
En dépit d'une imposante présence policière et d'un important service d'ordre "prêté" par la CGT, la FSU, l'Unsa et les Jeunesses communistes, des casseurs sont parvenus à s'infiltrer dans le cortège parisien et des vols, de portables notamment, ont été signalés.
Des manifestants ont été violentés, des vitrines brisées. La police a signalé quelque 500 casseurs au départ du cortège, à la République, dont "une cinquantaine très actifs" qui se sont violemment heurtés au service d'ordre.
A Lyon cependant, une bataille rangée a opposé en fin de parcours des casseurs qui s'étaient mêlés au cortège et des supporters du club de football du Werder de Brême. Les forces de l'ordre ont dû intervenir avec des bombes lacrymogènes et ont procédé à des interpellations.
A Lyon cependant, une bataille rangée a opposé en fin de parcours des casseurs qui s'étaient mêlés au cortège et des supporters du club de football du Werder de Brême. Les forces de l'ordre ont dû intervenir avec des bombes lacrymogènes et ont procédé à des interpellations.