Il me reste quand même quelques zones d'ombres après cette explication.

C'est la 2ème fois que j'apprécie un film qu'après coup (la 1ère c'était pour Cloud Atlas).
Mon iPhone a effacé ma critiqueneotsubasa a écrit :J'ai vu hier Les Gardiens de la Galaxie bien que j'ai trouvé le film sympa contrairement à pas mal de personnes dans mon entourage j'ai été un peu déçu.
Profitant des nombreuses (re)publications de comics en rapport avec le film, j'ai pu arriver avec un bon gros background avant la projection et c'est sûrement à cause de ça que je n'ai pas pu apprécier le film à sa juste valeur.
Entre le film et le comics, certains personnages ont perdu beaucoup trop de charisme à mes yeux. C'est limite si le groupe ne devient pas une bande de rigolos qui sauve l'univers par chance... Et que dire de la scène post-générique totalement what the fuck et qui ne parlera qu'à des connaisseurs hard core de comics des années 70...
Bref pour moi c'est loin d'être le meilleur film Marvel comme je l'ai entendu autour de moi.
Pas de raison particulière, en fait. La bonne humeur du film, qui m'a donné mon shot de firefly et compense les facilités d'écriture (les artefacts après lesquels on court, stop. Stop.). Je regrette que le film tente souvent de faire rentrer le premier degré au forceps mais bon, ça passe. J'ai aimé Les Gardiens de la Galaxie comme j'aime les panzani avec du sel et du gruyère : les ingrédients n'ont pas grand intérêt, mais rien à faire, j'en aime toujours autant le goût.Kieros a écrit :Sérieux pour les Gardiens de la Galaxie ? Je suis curieux de savoir pourquoi feur
Bien réalisé (à part les cascades de voiture faites en images de synthèse, Besson a un blocage avec les cascades en prises de vue réelles depuis Taxi 2) mais le scénario est bizarre.si-ma-tante-en-avait a écrit :Mal réalisé ?
MA-GI-QUEG.bédécarrax a écrit :22 Jump Street, c'est encore un autre niveau de connerieToujours le même abattage neuneu, plus meta que jamais puisque le film assume son statut de parodie de suite jusqu'à en faire un noeud de """"""l'intrigue"""""", qui comme précédemment n'occupe que 15% du film. Je ne sais pas si c'est parce que le film parvient à ne jamais franchir la ligne ou si c'est juste qu'il a atteint ce stade de bêtise qui fait qu'on lui pardonne tout, mais il n'apparaît jamais comme trop conscient de lui-même, et ne cède pas à la facilité qui est la marque de fabrique des pires films de Leslie Nielsen (qui n'ont pas d'autre matière que celle dont ils se moquent). Y'a notamment une course-poursuite géniale, dans laquelle il faut faire attention à ne pas faire trop de dégâts pour ne pas entamer le budget du film programme 22, et un générique de fin déjà mythique. Autrement, c'est toujours la même frénésie mongole, qui peut laisser sur le carreau mais qui marche à fond sur moi