Bon ben aucun intérêt a regarder chez soit... Surement très bien au ciné, mais comme tout réside dans les images.
Puis c'est con, mais la nana qui arrive pas a se stabiliser dans l'espace, ca m'a foutu mal au crane en 10minutes

Déjà qu'elles ont du mal à apporter les bières sans renverser des cacahuètes par terreFrancis_Perrin a écrit :GRAVITY
Bon ben aucun intérêt a regarder chez soit... Surement très bien au ciné, mais comme tout réside dans les images.
Puis c'est con, mais la nana qui arrive pas a se stabiliser dans l'espace, ca m'a foutu mal au crane en 10minutes
Champoul il est vraiment kro mignon, le 13/05/2014 à 11h33 a écrit :c'est con qu'on se soit attaché à vous
si-ma-tante-en-avait a écrit :Déjà qu'elles ont du mal à apporter les bières sans renverser des cacahuètes par terreFrancis_Perrin a écrit :GRAVITY
Bon ben aucun intérêt a regarder chez soit... Surement très bien au ciné, mais comme tout réside dans les images.
Puis c'est con, mais la nana qui arrive pas a se stabiliser dans l'espace, ca m'a foutu mal au crane en 10minutes
Pour étendre le linge ?Tiger21 a écrit :![]()
J'ai bien aimé Gravity moi. Je suis ressorti tout chamboulé. Je me suis senti inutile et me suis rendu compte que la vie c'était vraiment de la merde. Heureusement, ma copine m'a piqué la corde.
Ce nom d'acteur pornosi-ma-tante-en-avait a écrit :Richard Rionda del Castro
Champoul il est vraiment kro mignon, le 13/05/2014 à 11h33 a écrit :c'est con qu'on se soit attaché à vous
Ou une bagnole version Jackson Pollock. Sinon, j'ai une question pour les gens calés en cinéma version "construction d'un film". Je tombe souvent sur des films américains avec des budgets de 70-80M$ pour une durée d'1h30. Dans le même temps, on a d'excellentes séries avec des moyens qui coûtent 4M$ par épisode dont la durée atteint 45mn. Beaucoup de scènes de Game of Thrones sont par exemple tournés en Europe ou au Maroc. Pourquoi une telle différence de coût ?Tiger21 a écrit : Je pense que personne n'avait jamais vu ça. On aurait cru à une bagnole abandonnée sous un arbre depuis 10 ans. La lose.
Je suis d'accord avec ça, le film parvient à distiller assez finement certaines de ses idées, notamment quand il s'agit de mettre en avant les espoirs que nourrit presque malgré lui le personnage du père vis-à-vis de sa filiation - et non pas de son fils, puisque c'est là le réel questionnement -certainement plus social qu'intime - du film : de tels espoirs ne rendent-ils pas les gosses interchangeables ? Plus que l'éducation et le conditionnement culturel, c'est la place de l'enfant qui me semble au centre de l'attention, et la tension entre ce qu'ils sont et ce qu'il leur faudra devenir. A quel moment "la société" les considèrera comme des êtres humains, quand les adultes semblent presser de les échanger avant qu'ils ne soient plus en mesure d'oublier, et qu'à aucun moment on ne leur demandera leur avis ?Hyde a écrit :Tel père tel fils (...) il s'ensuit un film particulièrement subtil et fin sur la filiation, la construction du sentiment d'être parent, l'hérédité, l'éducation, etc.
Kieros a écrit :Je te trouve un peu sévèreJe reposte ma critique :WeRecycle:
Kieros a écrit :Je suis sorti plutôt enthousiaste de ce Lone Ranger. Non pas que le film soit particulièrement brillant (je le qualifierais de moyen-bon, en notation Courbis), mais parce qu'il est parvenu à me surprendre, voire à m'émouvoir. A l'origine, il y a un difficile cahier des charge qui consiste à mélanger western, film de super-héros, comédie et film pour enfants dans un même film. Cette équation impossible, Verbinski ne parvient pas à la résoudre, et le film donnera toujours cette impression de recycler John Ford (des décors naturel somptueux néanmoins la grande réussite du film) le western spaghetti (raté, avec un bad guy aussi effraynt qu'à Disneyland, et une BO navrante), retour vers le futur III, la slapstick comedie (un Johnny Depp hilarant, dont je me lasserai jamais des cabotinages
) ou Pirates des Caraïbes (toutes les parties "rollercoaster" partagent le même moteur graphique). La 1ère demi-heure est un naufrage, avec un film sans identité et qui ne parvient pas à s'affranchir des classiques du genre, il est vrai beaucoup plus sanctifiés que les films de pirates.
Sans surprise, le scénario est formaté et sans relief. Heureusement Verbinski, Depp et Bruckheimer lui insufflent des éléments subversifs et novateurs pour un blockbuster hollywoodien (ce que n'a jamais osé faire Pirates des Caraïbes), comme ce massacre des indiens face caméra, ce simili général Custer et sa cavalerie corrompus, ces politiciens véreux et associés aux hors-la-loi du Far West. La peinture de cette naissance d'une nation devient grinçante, et ses fondations bâties sur le sang, la cupidité et la violence sont explicitement dévoilées, au son de Stars and Stripes s'il vous plaitCe choix sauve autant le film artistiquement, qu'il le flingue commercialement, et je comprends en partie pourquoi ce Lone Ranger a été démoli par la critique américaine. Il ne méritait vraiment pas ça