
Cinéma... Tchi Tcha !
- Squal
- Anigo : On sait pas comment mais t'es toujours là
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tient je viens de me remater Terminator 3...et je le trouve vachement bon...et à la fin t'as qu'une envie c'est de mater la suite...mais en regardant sur internet j'ai trouvé ça...
Toujours en phase de préparation, le projet Terminator 4 se précise de plus en plus.
Confié aux auteurs du précédent épisode, John Brancato et Michael Ferris, le scénario de Terminator 4 est d'ores et déjà bouclé sous la supervision du réalisateur Jonathan Mostow. Toute l'équipe de Terminator 3 se retrouve donc autour de ce projet : ses scénaristes, son réalisateur, mais aussi ses producteurs Mario Kassar et Andy Vajna.
Avec Terminator 4, la saga rentre enfin dans le vif du sujet : la guerre entre les robots et les humains ! Evoquée par Cameron dans Terminator 1 et 2, Jonathan Mostow semblait avec Terminator 3 nous servir uniquement l'introduction de ce qui fait fantasmer les fans depuis deux décennies. Un contexte parfait également pour se passer de la présence d'Arnold Schwarzenegger, du moins sur toute la longueur du film, devenu gouverneur de Californie et ayant déclaré se tenir à l'écart des caméras d'Hollywood pendant son mandat (cf notre interview), les robots se battant toujours dans leur apparence "brute" tout en métal, comme nous le montrent chaque introduction des précédents films.
Un changement de concept confirmé par les acteurs de Terminator 3 eux-mêmes, Nick Stahl ayant récemment déclaré que le film se déroulerait dans un très lointain futur et que son personnage de John Connor ne prendrait pas part à cette histoire. Exit donc tout le casting des trois premiers Terminator, même le personnage du Docteur Zilbermann, le seul à figurer dans la trilogie complète avec Arnold. Ce dernier quant à lui pourrait encore faire une apparition dans Terminator 4 a-t-il déclaré... à la seule condition qu'il soit tourné à Los Angeles. Pour rappel, Terminator 3 avait justement été tourné sur place, alors que la plupart des productions de son envergure optent plutôt pour un tournage au Canada pour des raisons financières.
Néanmoins cette apparition même pourrait être compromise, puisque les producteurs ont déclaré que la présence du Terminator en lui-même est à exclure.
De quoi se demander pourquoi ce Terminator 4 mérite son nom...
Le tournage devrait débuter dans les prochains mois pour une sortie cinéma l'été 2006.
et wé...
c'est dommage, j'aurais bien aimé voir comment la résistance allait s'organiser, quitte à faire un film à rallonge ou à prévoir déja un 5...tant pis!
Toujours en phase de préparation, le projet Terminator 4 se précise de plus en plus.
Confié aux auteurs du précédent épisode, John Brancato et Michael Ferris, le scénario de Terminator 4 est d'ores et déjà bouclé sous la supervision du réalisateur Jonathan Mostow. Toute l'équipe de Terminator 3 se retrouve donc autour de ce projet : ses scénaristes, son réalisateur, mais aussi ses producteurs Mario Kassar et Andy Vajna.
Avec Terminator 4, la saga rentre enfin dans le vif du sujet : la guerre entre les robots et les humains ! Evoquée par Cameron dans Terminator 1 et 2, Jonathan Mostow semblait avec Terminator 3 nous servir uniquement l'introduction de ce qui fait fantasmer les fans depuis deux décennies. Un contexte parfait également pour se passer de la présence d'Arnold Schwarzenegger, du moins sur toute la longueur du film, devenu gouverneur de Californie et ayant déclaré se tenir à l'écart des caméras d'Hollywood pendant son mandat (cf notre interview), les robots se battant toujours dans leur apparence "brute" tout en métal, comme nous le montrent chaque introduction des précédents films.
Un changement de concept confirmé par les acteurs de Terminator 3 eux-mêmes, Nick Stahl ayant récemment déclaré que le film se déroulerait dans un très lointain futur et que son personnage de John Connor ne prendrait pas part à cette histoire. Exit donc tout le casting des trois premiers Terminator, même le personnage du Docteur Zilbermann, le seul à figurer dans la trilogie complète avec Arnold. Ce dernier quant à lui pourrait encore faire une apparition dans Terminator 4 a-t-il déclaré... à la seule condition qu'il soit tourné à Los Angeles. Pour rappel, Terminator 3 avait justement été tourné sur place, alors que la plupart des productions de son envergure optent plutôt pour un tournage au Canada pour des raisons financières.
Néanmoins cette apparition même pourrait être compromise, puisque les producteurs ont déclaré que la présence du Terminator en lui-même est à exclure.
De quoi se demander pourquoi ce Terminator 4 mérite son nom...
Le tournage devrait débuter dans les prochains mois pour une sortie cinéma l'été 2006.
et wé...

c'est dommage, j'aurais bien aimé voir comment la résistance allait s'organiser, quitte à faire un film à rallonge ou à prévoir déja un 5...tant pis!

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- Cob
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<!--QuoteBegin-Squal+Feb 12 2005, 02:36 AM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Squal @ Feb 12 2005, 02:36 AM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> j'ai enfin vu Michael Collins et il est excellent!
[/quote]
Ouais, d'ailleurs t'as toujours mon livre, le révolutionnaire...


- breizhmanu
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SAW, sortie le 16 mars 2005
Deux hommes se réveillent enchaînés au mur d'une salle de bains. Ils ignorent où ils sont et ne se connaissent pas. Ils savent juste que l'un doit absolument tuer l'autre, sinon dans moins de huit heures, ils seront exécutés tous les deux...
Voici l'une des situations imagnées par un machiavélique maître criminel qui impose à ses victimes des choix auxquels personne ne souhaite jamais être confronté un jour. Un détective est chargé de l'enquête...
Bon les points négatifs : Réalisation "clipesque", jeu des acteurs moyen, incohérences, morale douteuse.
Les points positifs : synopsis carrément bien, fin plutôt intéressante, ambiance.
Au final une série B qui correspond à un mix entre Cube (avec moins de défauts) et Seven (avec moins de qualités), j'en ressors assez content, faut pas s'attendre à quoi que ce soit d'exceptionnel non plus (même si certaines personnes sont en extase devant ce film).
Merci à mes 11 supporters : Alf115 (47201), TripleF (175873), solansko (291110), Ourson (296671), grandpopo (292049), Hastings (586351), Jean-Romain (586942), Jimmy_3d (590304), Saykelde (587525), yolio (298123) et Marseiyeah (296567).
- Squal
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<!--QuoteBegin-Cob+Feb 12 2005, 06:19 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Cob @ Feb 12 2005, 06:19 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> <!--QuoteBegin-Squal+Feb 12 2005, 02:36 AM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Squal @ Feb 12 2005, 02:36 AM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> j'ai enfin vu Michael Collins et il est excellent!
[/quote]
Ouais, d'ailleurs t'as toujours mon livre, le révolutionnaire... [/quote]
c'est pas faute de te l'avoir dit mais aprés on s'est plus vu... 




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- le nain
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- le nain
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Le titre exact c'est "Marions les". Mais comme j'ai pas de programme télé (ben vous savez, avec nos petites retraites, déjà qu'on peut se payer que des virages) effectivement ce doit être le 3. Putain je veux le 2 

J'ai une grande admiration pour le travail, et je peux rester trois heures à le regarder
- Fabio de rio
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Je pense pas que quelqu'un en ai encore parlé mais je viens d'allez voir sideways et je vous le conseille chaudement.
Un prof d'anglais écrivain non publié part pour huit jours faire la tournée des vignobles californiens avec son meilleur pote, un acteur de TV un peu has been qui doit se marier la semaine qui suit.
Le premier est dans un spleen complet du au fait qu'il ne digère pas son divorce et n'arrive pas à trouver un éditeur pour son bouquin. Le second veut à tout prix sauter des nanas avant de s'enfermer dans la tour d'ivoire du mariage.
Ce film n'a rien inventé mais pour les raisons qui suivent il vaut vraiment le coup:
1) les acteurs (surtout Paul Giamati dans le rôle de l'écrivain raté amoureux du vin) sont parfaits.
2) les actrices dont Virginia Madsen (la soeur de Michael) tiennent la dragés haute à leurs partenaires masculins.
3) Une histoire de crise de la quarantaine qui ne tombe jamais dans le mélo.
4) Une véritable culture vinicole de la part des scénaristes et réalisateurs.
5) Enfin la musique jazzy est aussi enivrante que les ballons de rouge.
Ce n'est surement pas le film du siècle (même si il a 5 nominations aux oscars) mais par sa fraicheur et son ton caustique il en ravira plus d'un.
Un prof d'anglais écrivain non publié part pour huit jours faire la tournée des vignobles californiens avec son meilleur pote, un acteur de TV un peu has been qui doit se marier la semaine qui suit.
Le premier est dans un spleen complet du au fait qu'il ne digère pas son divorce et n'arrive pas à trouver un éditeur pour son bouquin. Le second veut à tout prix sauter des nanas avant de s'enfermer dans la tour d'ivoire du mariage.
Ce film n'a rien inventé mais pour les raisons qui suivent il vaut vraiment le coup:
1) les acteurs (surtout Paul Giamati dans le rôle de l'écrivain raté amoureux du vin) sont parfaits.
2) les actrices dont Virginia Madsen (la soeur de Michael) tiennent la dragés haute à leurs partenaires masculins.
3) Une histoire de crise de la quarantaine qui ne tombe jamais dans le mélo.
4) Une véritable culture vinicole de la part des scénaristes et réalisateurs.
5) Enfin la musique jazzy est aussi enivrante que les ballons de rouge.
Ce n'est surement pas le film du siècle (même si il a 5 nominations aux oscars) mais par sa fraicheur et son ton caustique il en ravira plus d'un.
Ca reviendra...
- Niko
- Anigo : On sait pas comment mais t'es toujours là
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<!--QuoteBegin-Baronoir+Jan 20 2005, 11:00 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Baronoir @ Jan 20 2005, 11:00 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> <!--QuoteBegin-Squal+Jan 20 2005, 10:38 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Squal @ Jan 20 2005, 10:38 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> moi j'ai loué "l'effet papillon" ce soir, j'ai bien aimé!
l'histoire d'un mec qui se rend compte qu'il peut changer certaines choses du passé pour que son présent soit meilleur....mais à chaque fois, son futur est modifié différement...
<a href='http://www.leffetpapillonlefilm.com/' target='_blank'>www.leffetpapillonlefilm.com/ </a> [/quote]
Ai commandé le DVD, y'a une version Director's Cut avec une fin beaucoup plus troublante... :langue:
J'crois que j'adore ce film...
[/quote]
BOn je viens de voir cette version et y'a pas à dire ... c vachement bien comme film
Petite question, c'est quoi l'autre version, enfin l'autre fin que la Director's cut
l'histoire d'un mec qui se rend compte qu'il peut changer certaines choses du passé pour que son présent soit meilleur....mais à chaque fois, son futur est modifié différement...
<a href='http://www.leffetpapillonlefilm.com/' target='_blank'>www.leffetpapillonlefilm.com/ </a> [/quote]
Ai commandé le DVD, y'a une version Director's Cut avec une fin beaucoup plus troublante... :langue:

J'crois que j'adore ce film...

BOn je viens de voir cette version et y'a pas à dire ... c vachement bien comme film

Petite question, c'est quoi l'autre version, enfin l'autre fin que la Director's cut

Show must go on ...
- La Baronne
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Evan projette le film de l'anniversaire où il a connu la nana (à la place de l'accouchement), pour l'envoyer bouler et ne plus jamais la connaître...
Il se réveille dans sa chambre d'étudiant et son pote dont j'ai oublié le nom depuis est à côté... Ils vont brûler les souvenirs d'Evan pour qu'il ne reparte pas...
Saut de 8 ans en avant, Evan est dans la rue, croise la nana, s'arrête, elle aussi (suspense insoutenable où on se demande s'ils vont se causer), et repartent tous les deux, Clap, The end...
Paraît qu'il y'a une version encore plus insoutenable où au lieu de repartir, ils se parlent et continuent leur chemin ensemble...
Vraiment gore

Il se réveille dans sa chambre d'étudiant et son pote dont j'ai oublié le nom depuis est à côté... Ils vont brûler les souvenirs d'Evan pour qu'il ne reparte pas...
Saut de 8 ans en avant, Evan est dans la rue, croise la nana, s'arrête, elle aussi (suspense insoutenable où on se demande s'ils vont se causer), et repartent tous les deux, Clap, The end...
Paraît qu'il y'a une version encore plus insoutenable où au lieu de repartir, ils se parlent et continuent leur chemin ensemble...



- G.bédécarrax
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- Jules
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hier j'ai (enfin) maté "Il était une fois en Amérique" ("Once upon a time in America" pour les bilingues
) et comment dire ?
bah c'est grandiose, époustouflant, les mots me manquent. Une réalisation bluffante, un De Niro au sommet de son art (sans oublier les jeunes acteurs eux aussi remarquables, si ce n'est plus), une musique mythique... ce film m'a mis KO.





- Squal
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<!--QuoteBegin-Niko+Feb 21 2005, 10:33 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Niko @ Feb 21 2005, 10:33 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> je me le matte dans la semaine ... enfin normallement demain si les dieux de la mule sont avec moi
[/quote]
et t'as interet de chanter...."elle a les yeux bleus...BELINDA...."
"tututu, la pendule...de l'entrée....s'est arretée sur midi...et à c'est à cet instant trés précis que tu m'as pris je vais partir..."
"le téléphoneeeeeeuuux pleure, quand elle ne viiiieeennnt pas...quand il lui crie je t'aiiiimeux, les mots se meeeeeeeeuurent dans l'écouteur..." :cry2: 
<span style='font-size:21pt;line-height:100%'>ALEXANDRIE...</span>

et t'as interet de chanter...."elle a les yeux bleus...BELINDA...."




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- Jules
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<!--QuoteBegin-Tony D+Feb 21 2005, 10:42 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Tony D @ Feb 21 2005, 10:42 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin-->c'est bien, tu as fêté les 20 ans de ce film culte à ta manière .... en le regardant pour la première fois
[/quote]
wé je sais, c'est honteux
en fait j'avais déjà commencé à la regarder, plusieurs fois, mais jamais réussi à le finir, y'avait toujours une raison qui m'empêchait de venir à bout des 3H40
... or c'est le genre de film qu'il faut voir d'une traite si on ne veut pas en perdre l'essence
Hier toutes les conditions étaient réunies : personne pour me faire chier :fuck2: un émorme écran géant
<span style='font-size:6pt;line-height:100%'>et de la skunk de 1ère catégorie
</span> c'est la 2ème ou 3ème fois que ça m'arrive, mais chuis resté scotché 10 bonnes minutes après la fin du film 

wé je sais, c'est honteux








- geronimo
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<!--QuoteBegin-Jules+Feb 21 2005, 10:51 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Jules @ Feb 21 2005, 10:51 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> <!--QuoteBegin-Tony D+Feb 21 2005, 10:42 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Tony D @ Feb 21 2005, 10:42 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin-->c'est bien, tu as fêté les 20 ans de ce film culte à ta manière .... en le regardant pour la première fois
[/quote]
wé je sais, c'est honteux
en fait j'avais déjà commencé à la regarder, plusieurs fois, mais jamais réussi à le finir, y'avait toujours une raison qui m'empêchait de venir à bout des 3H40
... or c'est le genre de film qu'il faut voir d'une traite si on ne veut pas en perdre l'essence
Hier toutes les conditions étaient réunies : personne pour me faire chier :fuck2: un émorme écran géant
<span style='font-size:6pt;line-height:100%'>et de la skunk de 1ère catégorie
</span> c'est la 2ème ou 3ème fois que ça m'arrive, mais chuis resté scotché 10 bonnes minutes après la fin du film
[/quote]
mdr
<span style='font-size:6pt;line-height:100%'>la prochaine fois melange avec un peu de tabac
</span>

wé je sais, c'est honteux







<span style='font-size:6pt;line-height:100%'>la prochaine fois melange avec un peu de tabac

- Fabio de rio
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<!--QuoteBegin-Gérard Bédécarrax+Feb 20 2005, 11:52 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Gérard Bédécarrax @ Feb 20 2005, 11:52 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin-->
J'ai percu Sideways un peu comme le versant terrestre de "Lost in Translation", moins aérien, plus rural et plus ancré dans la réalité(contrairement au film de Sofia Coppola, les personnages et le temps évoluent), mais traitant finalement du même thème : la tristesse quotidienne, celle à laquelle on échappe jamais bien longtemps.
[/quote]
Cela fait un moment que je réfléchis à ta remarque et même si dans un premier temps je n'y ai pas totalement adhéré, après réflexion je trouve que le parallele est judicieux.
En effet, les personnages interprêtés par Giamati et Murray ont en commun leur essoufflement face à la vie passée et leur manque de confiance dans leur vie à venir.
Egalement, c'est une fois de plus une femme, qui plus est en manque certain de repères, qui va leur donner la clef pour continuer à croire en une seconde partie d'existense heureuse.
Comme tu l'as trés bien décliné, la tristesse quotidienne est à la base de ces deux films mais peut être elle est plus perceptible d'en l'ovni de Sophia Coppola car amplifiée par un manque de repère géographique voir sensoriel dû au dépaysement offert par le Japon.
il n'en demeure pas moins que le sujet est traité de façon diffrénte.
Tout d'abord, que cela soit dans l'un ou dans l'autre la situation géographique est primordiale mais là où Tokyo est le véritable personnage principal du film, le vin et la campagne californienne ne sont que des faire-valoirs au personnage principal de Sideways.
En effet, dans Sideways, le héros fuit son quotidien afin de se réfugier dans un ailleurs qu'il connait bien et qu'il considère comme son véritable port d'attache. Un ailleurs, qu'il apprécie et sublime par sa passion du vin qui rend l'environnement naturel encore plus savoureux du fait du lien de filiation qu'il existe entre cette terre californienne et l'elixir qu'elle produit. Mais le héros ne cesse jamais de faire face à ses doutes et ses peurs, même lorsqu'il se réfugie dans son amour du vin. Et ce n'est que par lui-même qu'il trouvera ses solutions.
Dans Lost in Translation, le héros ne fuit pas (ou peut être le fait-il de façon inconsciente) mais il va entrer de plein fouet en contact avec un monde dont il ne se doutait même pas de l'existence. Il va prendre conscience de sa propre solitude en s'intégrand dans la solitude à échelle inhumaine d'une ville comme Tokyo. C'est là que l'utilisation de l'espace va différencier les deux films. La ville de Tokyo est le centre du film, un véritable moyeu autour duquel deux êtres qui se cherchent vont trouver un début de réponse à leur existence.
Quoiqu'il en soit et quoi que l'on puisse en penser, ces deux films sont beaux et pas seulement par le jeux des acteurs, aussi car ils nous rappellent que l'être humain évolue dans une lutte perpétuelle face au quotidien et face à lui même, mais que cette double lutte n'est pas perdue d'avance, au contraire la victoire et proche si l'on souhaite vraiment l'obtenir.
J'ai percu Sideways un peu comme le versant terrestre de "Lost in Translation", moins aérien, plus rural et plus ancré dans la réalité(contrairement au film de Sofia Coppola, les personnages et le temps évoluent), mais traitant finalement du même thème : la tristesse quotidienne, celle à laquelle on échappe jamais bien longtemps.
[/quote]
Cela fait un moment que je réfléchis à ta remarque et même si dans un premier temps je n'y ai pas totalement adhéré, après réflexion je trouve que le parallele est judicieux.
En effet, les personnages interprêtés par Giamati et Murray ont en commun leur essoufflement face à la vie passée et leur manque de confiance dans leur vie à venir.
Egalement, c'est une fois de plus une femme, qui plus est en manque certain de repères, qui va leur donner la clef pour continuer à croire en une seconde partie d'existense heureuse.
Comme tu l'as trés bien décliné, la tristesse quotidienne est à la base de ces deux films mais peut être elle est plus perceptible d'en l'ovni de Sophia Coppola car amplifiée par un manque de repère géographique voir sensoriel dû au dépaysement offert par le Japon.
il n'en demeure pas moins que le sujet est traité de façon diffrénte.
Tout d'abord, que cela soit dans l'un ou dans l'autre la situation géographique est primordiale mais là où Tokyo est le véritable personnage principal du film, le vin et la campagne californienne ne sont que des faire-valoirs au personnage principal de Sideways.
En effet, dans Sideways, le héros fuit son quotidien afin de se réfugier dans un ailleurs qu'il connait bien et qu'il considère comme son véritable port d'attache. Un ailleurs, qu'il apprécie et sublime par sa passion du vin qui rend l'environnement naturel encore plus savoureux du fait du lien de filiation qu'il existe entre cette terre californienne et l'elixir qu'elle produit. Mais le héros ne cesse jamais de faire face à ses doutes et ses peurs, même lorsqu'il se réfugie dans son amour du vin. Et ce n'est que par lui-même qu'il trouvera ses solutions.
Dans Lost in Translation, le héros ne fuit pas (ou peut être le fait-il de façon inconsciente) mais il va entrer de plein fouet en contact avec un monde dont il ne se doutait même pas de l'existence. Il va prendre conscience de sa propre solitude en s'intégrand dans la solitude à échelle inhumaine d'une ville comme Tokyo. C'est là que l'utilisation de l'espace va différencier les deux films. La ville de Tokyo est le centre du film, un véritable moyeu autour duquel deux êtres qui se cherchent vont trouver un début de réponse à leur existence.
Quoiqu'il en soit et quoi que l'on puisse en penser, ces deux films sont beaux et pas seulement par le jeux des acteurs, aussi car ils nous rappellent que l'être humain évolue dans une lutte perpétuelle face au quotidien et face à lui même, mais que cette double lutte n'est pas perdue d'avance, au contraire la victoire et proche si l'on souhaite vraiment l'obtenir.
Ca reviendra...
- Jules
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j'ai essayé d'arrêter
mais la beuhair, c'est plus fort que toi
si j'ai un conseil à donner aux djeuns qui rentrent dans l'engrenage, ce serait celui-ci : surtout ne mettez JAMAIS de tabac dans votre spliff, c'est sacrilège
Spabieng
Spabong 
Et ceci n'est pas un détournement de sujet !!
Car que serait un bon film sans un bon spliff, huuuum ?
D'ailleurs si j'avais un conseil à donner aux djeuns, ce serait : surtout n'allez jamais au ciné sans être complétement éclaté !! 





Et ceci n'est pas un détournement de sujet !!





- Fabio de rio
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