Cinéma... Tchi Tcha !

[si-ma-tante-en-avait]

Nous si

[stramboise]

Nous si

Chèh !!

[G.bédécarrax]

Je n'ai absolument rien compris au post de stambroise

Je pense qu'on comprendra tous un peu mieux à la sortie du prochain Fincher.

J'ai vu Les crimes de Snowtown. Un portrait de biais du plus célèbre tueur en série qu'a connu l'Australie, je crois, via le prisme d'un de ses complices. Bon. Ma critique serait très classique : parfois trop de complaisance, des bouseux un peu trop bouseux, image granuleuse un peu trop granuleuse, versus jolie photo brulée, incroyable Daniel Henshall (acteur inconnu, performance trop dingue même pour une chanson de Christophe Maë), belle évocation du Mal comme consitutant de l'atmosphère, bref le carcan de circonstance. Chouette exécution. En plein milieu du film, débarque une nana NOT HOT, pourfend toute une rangée pour venir s'asseoir tout près de moi, m'arrache mon jean et me suce la b, lève les yeux vers l'écran, on y torture un pédé, il n'a déjà plus d'ongles au pied et on lui inflige une séance de waterboarding. Elle se tourne vers moi : "C'est pas le Havre ici ?"

[si-ma-tante-en-avait]

Nous si

Chèh !!

Pour ceux qui n'ont pas compris, Moustapha Stramboise parle en arabe On voit bien que ce n'est plus Colony Capital qui détient le club.

[G.bédécarrax]

Ah ouais, c'est du bougnoulien Cheh ? Tu m'intéresses. Ca veut dire quoi ? On disait "cheh!' dans la cour de récré du collège pour signifier "bien fait pour ta gueule sale boloss".

[si-ma-tante-en-avait]

Tu te rends compte maintenant que tu employais un mot arabe

cheh - bien fait
cheh fik - bien fait pour ta gueule

[butterfly15]

C'est quoi "boloss" c'est du patois de quel coin

[G.bédécarrax]

Mot apparu dans la banlieue parisienne (Val-de-Marne ou Seine-Saint-Denis) dans les années 2000, d’origine incertaine : soninké, arabe ou verlan[1]. Le dictionnairedelazone cite l’hypothèse du linguiste Jean-Pierre Goudaillier selon laquelle bolos serait le verlan de lobos (« lobotomisés »)[2]. D’autres soutiennent que le mot est la contraction de bourgeois et lopette, le bolos étant alors un individu dont il est facile d’extorquer de l’argent.

Tu te rends compte maintenant que tu employais un mot arabe

Une fois dans le RER ALERTE 36 15 MA VIE, je vois un bon vieux céfran, avec un physique made in Midi Pyrénées, tu vois ? Le genre urba, mais en blanc. Et, sur le Coran d'la Mecque le mec il avait même une gourmette "Hubert". Woula.
Bah à un moment, le type il lâche un vieux rot, un rot qui sent bon la saucisse de Toulouse, bah je sais pas s'il s'est ramené une femme de la guerre d'Algérie mais il l'a ponctué d'un "Hamdullah" sorti du sheitan vauvert.

[si-ma-tante-en-avait]

Dis woulah ?

[ZeroZero13]

Psartek.

[si-ma-tante-en-avait]

Continuons comme ça. Inch'Allah des émissaires d'un prince du Golfe pourraient nous lire et renvoyer un bon rapport en expliquant que les fans de l'OM parlent déjà leur langue. Envoyez aussi des photos de vos gazelles avec le voile (aux couleurs de l'OM évidemment).

[Nyrod]

Tu te rends compte maintenant que tu employais un mot arabe

cheh - bien fait
cheh fik - bien fait pour ta gueule

¿Por qué me llamó y ella se avergüenza ...

[ZeroZero13]

J'ai maté Case Départ avec N'Gijole et Fabrice Eboué et j'ai été agréablement surpris. Quand je vois le tapage fait sur certaines comédies genre Les Chti ou Rien à Déclarer.....

J'avais envie de regarder un film et rigoler un peu avec ma copine. Je me suis souvenu que tu avais aimé ce film donc j'ai décidé de suivre ton avis et de le regarder.
Bé c'est terminé, je ne ferais plus jamais confiance à un arabe

Je n'ai rigolé que 2-3 fois et je n'ai pas tenu jusqu'à la fin du film. Pas merci.

[ToF]

Vous connaissez le festival pointdoc? Je vous mets un lien (http://www.festivalpointdoc.fr), et je vous copie l'idée qui a amené à la création de ce festival, car j'ai trouvé ça intéressant et je pense que ça peut l'être pour vous aussi.

Ferventes amatrices du genre documentaire et impliquées dans la réalisation, nous avons eu l’envie de proposer un espace de visibilité alternatif pour les films documentaires d’auteurs. En effet, nous-mêmes concernées par la difficulté à faire vivre nos films, nous nous questionnions depuis quelques temps sur l’émergence de nouveaux moyens de diffusion. Internet nous est apparu comme un média pertinent, libre, gratuit, et pouvant atteindre potentiellement des millions de spectateurs.

Malheureusement, le cinéma documentaire reste plutôt réservé à un public averti. Rares sont les espaces dédiés au genre en télévision. Quant aux festivals, leur localisation géographique limite le champ des spectateurs possible. Internet lève ces contraintes et ouvre une nouvelle voie. Nous avons donc eu l’idée et l’envie de créer le premier festival en ligne de films documentaires.

Nous sommes convaincues que le genre documentaire est un genre populaire. Cependant, ce cinéma pâtit d’une mauvaise image, considéré comme ennuyeux, trop intellectuel parfois. Ces films sont pourtant faits avec cœur, implication, passion et engagement. Nous espérons, par ce festival, faire partager au plus grand nombre notre passion.

Pour nous, le documentaire est avant tout un regard particulier sur le monde, porté par un auteur qui s’engage autant sur le fond que sur la forme. Ce n’est pas du reportage, ce n’est pas du document, ce n’est pas du magazine, c’est du cinéma. Le festival pointdoc entend donner sa chance à des jeunes auteurs, et révélera des œuvres inédites peu ou pas visibles.

[si-ma-tante-en-avait]

J'avais envie de regarder un film et rigoler un peu avec ma copine. Je me suis souvenu que tu avais aimé ce film donc j'ai décidé de suivre ton avis et de le regarder.
Bé c'est terminé, je ne ferais plus jamais confiance à un arabe

Je n'ai rigolé que 2-3 fois et je n'ai pas tenu jusqu'à la fin du film. Pas merci.

Du coup, tu as eu plus de temps devant toi pour faire l'amour à ta femme. Merci Hassan Cehef

[ZeroZero13]

Elle s'est endormie au bout d'un quart d'heure

[si-ma-tante-en-avait]

Pendant que vous faisiez l'amour ou pendant le film ?

[Niko]

pendant le film parceque ça dure jamais un quart d'heure

[G.bédécarrax]

Melancholia.

Bonjour, je suis le film-catastrophe le plus chiant de l'histoire du cinéma

Si l'on excepte son prologue grotesque à base de CGI immondes (Jai l'a souligné), ce film est un très grand film

Von Trier a arrêté sa provoc à la con pour choquer le bourgeois (hormis le passage où Kirsten Dunst chie sur le green de golf, façon Groland ), se concentre sur son message et sa réal : on alterne entre plans léchés à la Bergman et plans plus bruts façon le Dogme, l'équilibre est réussi. On retrouve des références à Tarkovski (tableau de Bruegel comme dans Solaris par exemple), à Bergman (la relation des deux soeurs), à Antonioni (le huis clos de la 2ème partie rappelle La Notte). D'immenses qualités.

Mais je trouve le propos du film totalement insupportable, et il ne m'a pas fallu moins d'un quart d'heure pour le détester Lars Von Trier est un misanthrope; je ne lui en fais pas reproche, je n'ai pas grande estime pour la nature humaine en général. Mais contrairement à lui, je ne falsifie pas la réalité pour pouvoir mieux déverser ma bile -noire, en l'occurence- comme il le fait ici

Dans le film, Justine (Kirsten Dunst) est le reflet du réalisateur. Elle a hérité de ce spleen romantique et de ce "savoir" du Von Trier. Elle pense que la vie c'est de la merde, s'attachera à bien le faire savoir au spectateur. Facile, elle bénéficie de l'omniscience du réal, super-héroïne qui sait tout avant tout le monde, ce qui va lui permettre d'appuyer son propos. Face à elle, les personnages médiocres de la plèbe que dépeint et déteste tant Von Trier, ne pourront la démentir. Le fiancé (Alexander Skarsgård, plus fade que Guy Lagache ) est une sombre larve qui a perdu ses couilles dans une boutique The Kooples, Kiefer Suntherland (très bon) est le symbole du méchant matérialisme et Charlotte Gainsbourg (éblouissante ), est ridiculisée tout au long du film par Justine/Von Trier, tout simplement parce qu'elle est la plus pragmatique, la plus fragile, la plus aimante, la plus humaine, finalement

Je hais le personnage de Kirsten Dunst dans ce film, jusqu'au bout de ses (gros) seins (sérieux, elle les cachait où dans Spiderman ? ). J'ai envie de lui tirer les cheveux et de lui claquer le beignet Pour moi, elle n'est pas la lumière noire de la mélancolie qui dispense la Vérité à l'humanité sur sa médiocrité. C'est une petite bourgeoise chieuse et frigide qui mériterait de se faire sauter par les chevaux qu'elle monte tout au long du film Son application à tout saloper façon "chuis trop d4rk" dans la première partie m'a brouté, et son arrogance pétrie de certitudes dans la seconde ma achevé Là où Von Trier se trompe, c'est en lui donnant systématiquement raison, au détriment de Gainsbourg, et toujours de manière déloyale. Cette dernière est du côté de la vie, c'est un super beau personnage, et elle se fait flinguer jusqu'à la fin par le nihilisme adolescent de Dunst/Von Trier

Bref, ce film illustre selon moi le côté le plus con du romantisme : la mélancolie serait une illumination, une lucidité accrue sur le monde ( ), une résignation doloriste également, face à la science de Sutherland et la grâce de Gainsbourg (pour faire un cross over de circonstance avec Tree of Life). Pour moi, ici se trouve la différence majeure entre Von Trier, et d'autres immenses réals humanistes comme Mallick ou Tarkovski, ou illustrant davantage la dualité comme Kurosawa, Kubrick, Bergman... Ici, le procès de l'humanité est unilatéralement à charge. Pour autant, peut-on détester l'humanité et être un grand réalisateur ? Pour moi, ce film prouve que oui.

Excellente critique qui résume parfaitement ce qui fait que je n'adhère pas une seule seconde au propos du film (à peine plus crédible et maturé que ce qui émergeait d'une rédaction que j'avais écrite après avoir vu "Le monde perdu" au cinéma, et qu'on peut résumer à "les dinosaures c'est mieux que les humains"). C'est un film finalement assez pathétique.

Bip up en revanche à Kiefer Sutherland, qui joue comme un Jack Bauer qu'on aurait frustré de son flingue, qu'il semble chercher tout au long du film pour coller deux bastos dans le bide de cette pute et de sa pute de mère. J'aurais adoré qu'il la torture comme un terroriste musulman quelconque.

[ZeroZero13]

Moneyball : exceptionnel. J'ai adoré l'ambiance générale du film et la personnalité de B. Pitt ainsi que celle de son assistant. La complicité qui existe entre les 2 permet au film de ne pas être seulement "technique" avec toutes ces données et ces chiffres.

J.Edgar : vu hier soir au ciné et moyennement aimé. J'ai moyennement aimé la façon dont l'histoire est narrée, en effet au bout d'un moment, le passé/présent fait perdre un peu le fil...
J'ai également été choqué par le maquillage de Armie Hammer lorsqu'il joue le vieux Clyde Tolson. Ça ne fait vraiment pas réel et pour un film à si gros budget, je trouve ça un peu bizarre. Ou alors c'est moi qui ai un problème

Sinon le film est quand même intéressant car d'une part il raconte l'histoire d'un personnage ultra important de l'histoire américaine et d'autre part par la prestation de Di Caprio que j'ai trouvé très fort.

[si-ma-tante-en-avait]

Pour Moneyball, j'ai pu voir le joueur ce week end contre Houston. Ma foi, il s'est fait surprendre à plusieurs reprises avec à la clé, des sacks ou des mises sous pression de son QB. Certes en face, les mecs étaient bons mais quand tu vois le film, tu as l'impression d'avoir un joueur phénoménal. D'ailleurs avant de voir Moneyball, je ne connaissais pas ce joueur.

[Kieros]

D'ailleurs je crois qu'on ne sait même pas de quel joueur tu parles.

[si-ma-tante-en-avait]

Ah merde, je pensais à The Blind Side

[ZeroZero13]

Maillon faible tu sors dégage adieu.

[ZeroZero13]

Intouchables feat Drive

[Kieros]

Et Intouchables ? Quelqu'un l'a vu au moins ? Aucune trace dans vos top 10 de 2011.

Le savais-tu ? j'ai trouvé le film assez bon. Savoir s'il mérite ce succès, c'est un débat merdique, le box-office n'a jamais été baromètre de la qualité d'un film, celui-ci cartonne, tant mieux pour lui et bravo aux gens responsables de sa promotion. Rien dans ce phénomène de masse n'est plus ou moins regrettable que les précédents, qu'il s'agisse des Chtis, du Da Vinci Code ou de Sébastien Loeb.

Je suis en tout cas très content pour les réalisateurs, qui au contraire d'un Dany Boon peuvent justifier d'un vrai parcours de cinéma, ils n'ont bénéficié d'aucun passe-droit et ce plébiscite certes complètement démesuré vient récompenser une carrière faite de films souvent sympas et jamais nuls, en tout cas dénués de la moindre trace d'opportunisme.

J'en sors, j'ai adoré Déjà, ça m'a fait beaucoup rire : des dialogues percutants, du comique de situation, des moqueries bien senties sur les handicapés et les noirs. En plein dans le mille.

Et puis surtout, c'est assez rare pour être signalé, le film parvient a être autre chose qu'une simple comédie. Premièrement d'un point de vue technique, avec une réalisation qui sait faire autre chose que champ/contrechamp (les scènes dans la cité caméra à l'épaule, le RER filmé façon Blade Runner...). La production du film fait globalement très ricaine, et dans le final Vanilla Sky, Omar ressemble à Will Smith. On est au dessus de ce que sait faire le cinéma français mainstream habituel.

Deuxièmement, le film a un ancrage dans le réel qui pourrait être celui d'un drame social, servi par des personnages peu caricaturaux, ni même forcément sympathiques au premier abord (Omar et Cluzet sont un tandem fantastique, et je ne vois pas bien comment on pourrait les départager aux Cesar... hormis en le filant à Dujardin).

Certains médias ont comparé ce film avec Driving Miss Daisy pour le côté "y'a bon banania", mais ça n'a finalement rien à voir. La quête initiatique de Intouchables ne fonctionne pas par de bons sentiments, elle fonctionne par pragmatisme (comme le rengaine le film), voire même par cynisme ("j'viens pour les assedics" ; "il me donne ses bras et ses jambes"). Ça m'a d'ailleurs parfois fait penser à un mélange de Will Hunting et de le Scaphandre et le Papillon, des rires en plus.

Sur le message de fond, la petite histoire voudrait faire entendre que les cités, dynamiques mais méconnaissant les codes de la société (le miroir entre les 2 scènes d'entretien d'embauche de Omar, ainsi que celles de la bagnole mal garées, sont parlantes), et la France, instruite mais sclérosée, peuvent s'entraider sur ce même schéma pragmatique pour écrire la grande histoire à venir. Ça me semble un peu court comme argumentaire, mais le temps du film, Nakache et Toledano parviennent à nous le faire croire

[Kieros]

Le problème quand on attend beaucoup d'un film, c'est qu'on a de grandes chances de sortir déçu. C'est mon drame avec The Artist :-|

Non pas que je n'ai pas trouvé le film bon : la reconstitution des codes du muet est impeccable, Dujardin et Béjo sont fantastiques, les seconds rôles également. Mais à force de faire des hommages tout le long du film, j'ai eu la sensation que le film n'avait pas d'identité propre, si ce n'est celle -courageuse- incarnée par la posture folle d'être un muet à l'heure de la 3D. Le scénario notamment, pastiche de Singing in the Rain et a Star is born, m'a frustré car, CQFD, je l'avais déjà vu avant. Heureusement, il y a quelques belles trouvailles, une atmosphère nostalgique émouvante, une interprétation brillantissime, des personnages attachants. Quelques longueurs aussi, parfois.

[Hyde]

J'ai vu Shame jeudi, et j'ai trouvé le film excellent, pour beaucoup de raisons. C'est esthétique, c'est fin, on en sort avec une sorte de boule au ventre tant l'atmosphère glauque et implacable du film vous prend aux tripes.

C'est donc l'histoire de Brandon (Michael Fassbender), qui est addict au sexe. Un pitch plutôt aguicheur donc, mais traité avec vraiment beaucoup de finesse. Ce que j'ai aimé surtout, c'est le double portrait en filigrane de lui et sa soeur, qui débarque chez lui, et la manière dont Steve McQueen dépeint leur impuissance mutuelle à sortir de la spirale dans laquelle ils sont, entre le frère perdu dans sa tornade de baise et de masturbation et la soeur qui se jette dans les bras du premier connard venu pour tromper ses envies suicidaires. Ensuite, je trouve que le film a un vrai propos sur la différence entre le sexe comme addiction et l'érotisme, qui est rendu magnifiquement dans une scène où Fassbender, dans le seul moment du film où l'on se dit que le sexe pourrait être pour lui autre chose qu'une pure pulsion où la partenaire n'est qu'un objet, emmène une de ses collègues dans une chambre d'hotel sans arriver à aller au bout de l'acte, avant de sodomiser par dépit une pute 10 minutes après le départ de l'autre fille. McQueen réussit à faire un film saturé de sexe où le propos n'est ni graveleux, ni facile, mais a pour véritable thème l'addiction, la solitude et la détresse qu'elle implique, sans complaisance, sans jugement non plus.

[si-ma-tante-en-avait]

Quelques longueurs aussi, parfois.

Tu dois sans doute faire référence au long blanc durant certaines scènes ?

[Kieros]

Ouais, reconnaissons que les dialogues sont assez moyens

Fallait que j'exorcise, donc je suis retourné le voir : j'ai adoré J'étais vraiment passé à coté du sujet lors du premier visionnage.

Vu Polisse également, que j'aurais aimé détester. C'est tout le contraire, je l'ai trouvé vraiment fantastique. Le format docu-fiction ne m'a même pas gêné, alors que j'ai horreur de ça habituellement. C'est très bien foutu, ça m'a rappelé L627 de Tavernier.