T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...

[G.bédécarrax]

Petit bilan de l'année écoulée :

Dragon Quest VIII (3DS)

J’ai enfin pu terminer ce jeu, entamé jadis sur PS2, acte 1. Je n’en pense que du bien, malgré (grâce à ?) son classicisme sans fard et les quelques lourdeurs d’interface qui ont survécu à cette remise à jour. Son scénario est un peu bateau mais sa narration en vignettes réserve des moments émouvants, avec notamment une des meilleures mamans du jeu vidéo.
Je me suis découvert une tendresse pour cet archaïsme d’époque, qui relève moins de la nostalgie que du plaisir de la brocante, comme lorsqu’on découvre un vieil outil et avec lui un savoir-faire oublié. C’est une tarte à la crème, mais l’énergie patrimoniale de cette série est essentielle. Elle ressemble parfois à un village de montagne, avançant à son propre rythme et jamais très loin de ses racines, et sa distance aux canons de la modernité est une belle évocation du temps qui passe.



Rhythm Paradise Megamix (3DS)

Cet épisode m’a un tout petit peu déçu, certains morceaux m’ont paru moins entraînants, et certaines routines trop complexes. Il faut dire que j’ai découvert la série avec l’épisode Wii, qui m’avait poussé dans mes derniers retranchements psychiques. Quand, les yeux fermés et en sueur au beau milieu de mon salon, je m’efforçais de vider mon esprit tel un Jedi qui tenterait de faire léviter un X-Wing, en transe pour que le rythme du jeu devienne les pulsations de mon cœur. Fatalement, sur portable difficile de retranscrire la même expérience. C'est toujours très chouette néanmoins, et a priori trouvable à 3€ à Micromania ces temps-ci.



Zelda : Breath of the Wild (Switch)

Quelle merveilleuse sensation que de se surprendre à penser, après bientôt 30 ans de jeu vidéo, « c’est le meilleur jeu auquel j’aie jamais joué ». La sensation s’est estompée, bien sûr, au fur et à mesure que les mystères se font routines, et le jeu a ses défauts (des combats pas souvent intéressants, du motion gaming parfois malheureux), les donjons traditionnels finissent par manquer et j’aurais aimé que le jeu soit plus souterrain, au sens propre comme au figuré : plus de grottes, de cavernes, et des intérieurs plus consistants, à l’image du château d’Hyrule dans lequel j’ai adoré me perdre.
Mais le jeu a fait le choix des grands espaces et c’est heureux, car ce qui m’a le plus étonné dans ce Zelda, c’est qu’il n’a pas peur d’être radical. A rebours de l’ubisoft-isation que laissaient craindre les notes d’intention et les premiers extraits, BOTW est un jeu qui n’a pas peur du vide, qui ne sature jamais le joueur en icônes et en objectifs.



Wonder Boy : The Dragon’s Trap (Switch)

Tout n’a pas forcément bien vieilli, et le level design est parfois un peu sommaire, surtout dans ces grandes étendues plaines où se succèdent ad nauseam les mêmes ennemis. Mais ces répétitions-là font aussi office de respirations, et participent du rythme très particulier de cet épisode, où l’on voyage beaucoup, souvent, où l’on aura visité en l’espace d’un après-midi pyramides, châteaux médiévaux et forêts vierges. Malgré les mots de passe et les sauvegardes, il y a ici une invitation à finir le jeu d’une traite, tant il est ramassé et iconique. Motif après motif, on avance, porté par le souffle de l’aventure et la promesse du dépaysement.
Cette version est bien entendue merveilleuse, débordant d’amour et de nostalgie, et cette feature géniale de pouvoir basculer entre les graphismes/la bande son actuelle et d’époque donne l’impression d’alterner entre le jeu tel qu’il est, et tel que vu par l’enfant qui y joue. Quelle fierté ce doit être, pour Omar Cornut et son équipe, d’avoir pu produire un tel jeu.



The Witness (PS4)

J’ai adoré, notamment parce que c’est un jeu très sympa à faire en couple. C’est aussi un jeu idéal pour l’été, parce que bucolique et parce qu’il ressemble à un cahier d’énigmes pour les vacances. Impressionnant pour sa faculté à convertir le joueur à sa(ses) logique(s), il nous fait régulièrement sentir soit plus intelligent, soit plus bête qu’on ne l’est réellement. Je n’ai pas eu la force ou le temps de me pencher sur le meta-jeu, mais il me semble que « l’histoire derrière l’histoire » soit plus intéressante que ce que proposait Braid, où le mystère semblait un peu gratuit.



Final Fantasy XII : The Zodiac Age(PS4)

J’ai enfin pu terminer ce jeu, entamé jadis sur PS2, acte 2. J’avais oublié à quel point j’avais pu aimer FFXII à l’époque, partagé entre son formidable gameplay (qui avec le recul ne l’est finalement pas tant que ça) et son histoire médiocre (qui avec le recul ne l’est pas tant que ça). Aveugle à tout ce qu'il peut y avoir entre les deux, et en premier lieu au soin maniaque apporté aux décors : des ornements sur le moindre plafond, des souks et des souterrains plein de poussière, des intérieurs soigneusement meublés, etc. Le dernier jeu de son époque, à n’en pas douter, l’époque des moteurs dédiés, des blockbusters qui étaient encore un tout petit peu artisanaux, et qui pouvaient se permettre de ne pas plaire à tout le monde.
Car le jeu est assez peu aimable, et sa structure – accentuée par les problèmes de productions que l’on connait plus ou moins - des plus clivantes, surtout dans sa deuxième partie, quasiment muette, où l’on arpente des plaines gigantesques et explore des temples retors toujours sur le même rythme, sur la même note, le geste devient machinal et FFXII se fait « stoner RPG », le temps et l’espace semblent s’y dilater : tout est trop grand, tout est trop long, et le joueur écrasé par la majesté des décors, accablé par l’horizon qui s’échappe inlassablement (la mer de sable - et ses colonnes à perte de vue - répétitif jusqu'à l'absurde, fera le tri entre ceux que le jeu captivera et ceux qu’il l’ennuiera profondément) finit par s’y oublier, bercé par sa petite musique, par le bruit de ses machines.



The Last Guardian (PS4)

Je l’ai fini, par amitié, et le jeu fait ce qu’il peut, mais j’ai parfois eu l’impression de jouer à un reskin auteurisant d’un épisode d’Uncharted : les mêmes sauts automatiques, le même rythme, et les mêmes set pieces. Et j’ai trouvé le jeu un peu convenu, dans son discours comme dans ses effets, même si l’idée de l’interface/langage restant opaque est magnifique.

[PARENTHESE SNES MINI]

Starfox

Bien

Megaman X

Très bien !

Super Mario World

Très très bien !!

Zelda - A Link to the Past

Suuuper bien !!!

Final Fantasy VI

Suuuuuuuper bien !!!!

[FIN PARENTHESE]



Super Mario Odyssey (Switch)

Excellent jeu, qui m’a peut-être un tout petit peu déçu malgré tout, sans que je sache trop bien pourquoi. Un level design trop inégal, peut-être, ou cette profusion de lunes qui délaye un peu les enjeux ? C’est que le jeu oscille entre chasse aux œufs de Pâques et parc d’attraction, se disperse parfois, veut être cet épisode Wii fédérateur que Super Mario Galaxy n’a pas su être (j’adore SMG, mais il repose sur quelques acquis de la discipline, des tropes du jeu vidéo que SMO veut il me semble remettre à plat). Je fais la fine-bouche, mais je reste sur l’impression que ce Mario pour tous n’était pas un Mario pour moi.
Et quelque part l'impression que Mario arrivé au bout de lui-même. Ce n'est pas que le jeu n'est pas capable de coups d'éclats, mais qu'il n'en n'a plus besoin. Au fond, la mécanique de possession des ennemis ne dit pas autre chose : l'introduction de nouveaux gameplays car sur son coeur de métier, la série est déjà raffinée jusqu'à l'extrême (dans ses phases "parkour", SMO aide à réhabiliter Super Mario 3D World, dont on réalise aujourd'hui qu'il avait peut-être fait le tour de la question).



Xenoblade Chronicles 2 (Switch)

Dans un premier temps, j’ai trouvé le jeu d’une nullité telle que j’ai carrément songé à arrêter les jeux vidéo. Il y a là une profusion de systèmes, de règles, de concepts, additionnés artificiellement, cas d’école du jeu inutilement compliqué, et rien ici ne me captive vraiment (j’ai réussi l’exploit de m’endormir durant un combat de boss). Ca va un peu mieux désormais, et le jeu est un peu plus agréable lorsqu’on cesse de vouloir s’en débarrasser, mais chaque minute à jouer, je la passe à faire taire cette voix qui se demande bien pourquoi.

[Kieros]

Quelle belle rétro

[Le Vieux Buk]

Mon Top 5 de l'année (j'essaierai de faire un topo dessus plus tard, et même peut-être sur tous les autres jeux auxquels j'ai joué) :

5) Super Mario Odyssey

4) What remains of Edith Finch

3) Resident Evil 7

2) Zelda : breath of the wild

1) Persona 5
(sans aucune contestation possible : 10 ou 15h en moins dans le jeu et c'était le jeu parfait. Un très grand chef d'oeuvre quoi qu'il en soit)


Je mets pas encore Xenoblade Chronicles 2 alors que je l'adore mais que je suis loin de l'avoir terminé, ni Final Fantasy XII Zodiac Age alors que je l'adoer mais que c'est un remaster HD.


(sinon cette année, Undertale a débarqué sur consoles et pour ceux qui n'y ont pas joué sur PC ça mérite le détour )

[G.bédécarrax]

Ah oui putain, Persona 5, j'avais oublié que je l'avais. Je ne verrai jamais le bout de mon backlog

(D'autant que j'ai finalement repris Xenoblade 2 )

[Okamiyakuza]

Enfin terminé The Last Guardian et ce jeu restera une expérience unique entre crises de nerfs concernant les caméras et extase vidéoludique au niveau des animations de trico!

[Le Vieux Buk]

Enfin terminé The Last Guardian et ce jeu restera une expérience unique entre crises de nerfs concernant les caméras

aaaah ça oui

[Latche]

Zelda : Breath of the Wild (Switch)

Quelle merveilleuse sensation que de se surprendre à penser, après bientôt 30 ans de jeu vidéo, « c’est le meilleur jeu auquel j’aie jamais joué ». La sensation s’est estompée, bien sûr, au fur et à mesure que les mystères se font routines, et le jeu a ses défauts (des combats pas souvent intéressants, du motion gaming parfois malheureux), les donjons traditionnels finissent par manquer et j’aurais aimé que le jeu soit plus souterrain, au sens propre comme au figuré : plus de grottes, de cavernes, et des intérieurs plus consistants, à l’image du château d’Hyrule dans lequel j’ai adoré me perdre.
Mais le jeu a fait le choix des grands espaces et c’est heureux, car ce qui m’a le plus étonné dans ce Zelda, c’est qu’il n’a pas peur d’être radical. A rebours de l’ubisoft-isation que laissaient craindre les notes d’intention et les premiers extraits, BOTW est un jeu qui n’a pas peur du vide, qui ne sature jamais le joueur en icônes et en objectifs.




Final Fantasy XII : The Zodiac Age(PS4)

J’ai enfin pu terminer ce jeu, entamé jadis sur PS2, acte 2. J’avais oublié à quel point j’avais pu aimer FFXII à l’époque, partagé entre son formidable gameplay (qui avec le recul ne l’est finalement pas tant que ça) et son histoire médiocre (qui avec le recul ne l’est pas tant que ça). Aveugle à tout ce qu'il peut y avoir entre les deux, et en premier lieu au soin maniaque apporté aux décors : des ornements sur le moindre plafond, des souks et des souterrains plein de poussière, des intérieurs soigneusement meublés, etc. Le dernier jeu de son époque, à n’en pas douter, l’époque des moteurs dédiés, des blockbusters qui étaient encore un tout petit peu artisanaux, et qui pouvaient se permettre de ne pas plaire à tout le monde.
Car le jeu est assez peu aimable, et sa structure – accentuée par les problèmes de productions que l’on connait plus ou moins - des plus clivantes, surtout dans sa deuxième partie, quasiment muette, où l’on arpente des plaines gigantesques et explore des temples retors toujours sur le même rythme, sur la même note, le geste devient machinal et FFXII se fait « stoner RPG », le temps et l’espace semblent s’y dilater : tout est trop grand, tout est trop long, et le joueur écrasé par la majesté des décors, accablé par l’horizon qui s’échappe inlassablement (la mer de sable - et ses colonnes à perte de vue - répétitif jusqu'à l'absurde, fera le tri entre ceux que le jeu captivera et ceux qu’il l’ennuiera profondément) finit par s’y oublier, bercé par sa petite musique, par le bruit de ses machines.

Je suis allergique à Nintendo....sauf en ce qui concerne les Zelda, Ocarina of time étant sans doute le jeu que j'ai préféré avec Final fantasy VIII.
Du coup je suis frustré car ce Breath of the wild me fait fortement envie !

Quand à FFXII d'ailleurs je suis resté bloqué à son interminable boss ultime (Tiamat?) possédant 50 millions de points de vie ^^
Système de jeu novateur pour l'époque et scénario foireux en effet , jeu très sous coté par la critique !

[Niko]

T'es également allergique au clavier visiblement

[Stilitano]

Latche : si tu veux éditer ton message, tu cliques sur "Editer" tout simplement (au lieu de "Citer")

[Latche]

" T'es également allergique au clavier visiblement"....
Il dit qu'il ne voit pas le rapport , il n'a pas de clavier

"Latche : si tu veux éditer ton message, tu cliques sur "Editer" tout simplement (au lieu de "Citer")"
C'est ce que j'ai fait , "éditer" puis "envoyer"....

Merci aux admins pour le ménage, j'étais incapable de supp les messages contenant des citations

[Stilitano]

Merci aux admins pour le ménage, j'étais incapable de supp les messages contenant des citations

Normal, quand ce n'est plus le dernier message du topic, tu ne peux plus le supprimer.

[Latche]

Ok, quelle arnaque !

Merci pour l'éclaircissement , je comprend toujours pas ce qui s'est passé ce matin
Je suis passé pour un homme des cavernes ^^

[Juliensw]

Zelda Breath of the Wild est vraiment un très grand jeu, le côté exploration est vraiment fantastique
Dommage pour moi que les inventaires à rallonge me gonflent et que je supporte pas les armes qui se pètent
Je viens de terminé l'histoire du 2ième DLC, c'est un vrai plaisir de s'y replonger, se balader là où on était jamais allé et trouver quelques temples oubliés

Le dernier Mario est très sympa également, un gameplay vraiment très varié. Par contre, y a vraiment un paquet de lunes à trouver

Mais mon coup de cœur de cette année est pour Shadow Tactics : Blades of the Shogun (qui est en fait sorti en 2016 )
Depuis tout ce temps, enfin un héritier à la formidable série des commandos
On reste dans le jeu de tactique temps réel d'infiltration, mais cette fois dans le Japon du 17ième siècle.
Le level design des niveaux est vraiment bien foutu, avec plusieurs chemins et différents possibilités d'atteindre sa cible.
Quel plaisir de relancer les niveaux pour atteindre les objectifs secondaires et de réussir des passages en quelques minutes là où on avait galéré comme pas possible la première fois.
Vraiment, ravi de revoir ce type de jeu

[G.bédécarrax]

Cool de te lire

je supporte pas les armes qui se pètent

C'est une critique qui revient beaucoup, perso ça ne m'a pas dérangé : ça oblige à faire avec les moyens du bord et ça brise la routine du joueur, un peu à la manière de Uncharted où l'on ne garde jamais la même arme bien longtemps. Après, les combats manquent un peu trop de profondeur pour que ce soit totalement satisfaisant je trouve.

[PoF]

Moi j'aime pas la gestion du poids dans les jeux vidéo.

Dans Skyrim c'était déjà chiant, dans The Witcher 3, ça l'est aussi (moins).

Tu te retrouves à avoir peur de ramasser des trucs pour pas trop augmenter ce que tu peux porter et du coup, quand tu dois forger des trucs, t'as pas assez de matos et t'es fané.

Si le but est de rendre le truc plus "réaliste", c'est de toute façon de la merde parce que même avec la limite de poids, tu peux te balader avec 8 haches et te battre comme si de rien n'était. C'est simplement relou.

[Marv]

J'aime bien le mecanisme de gestion du poids en general, a condition d'avoir des moyens "immersifs" de passer outre.

En l'occurence le canasson avec des sacoches pour porter des trucs, c'est bieng.

Mais sinon, le truc qui me fait toujours rire c'est que dans des mondes ou la magie permet d'invoquer des dragons et de se teleporter, y ait pas UN mec qui ait pensé a faire une sorte de coffre facon Bagage de Discworld, ou quand tu mets des trucs dedans ca atterrit chez toi pour que tu puisses utiliser plus tard. Quelques jeux faisaient ca (Diablo ?), mais c'est rare (sauf mods evidemment).

[G.bédécarrax]

Moi j'aime pas la gestion du poids dans les jeux vidéo.

Pas de poids à proprement parler dans Breath of the Wild, mais un inventaire de taille limité, ce qui revient à peu près au même, je suppose ?

Mais sinon, le truc qui me fait toujours rire c'est que dans des mondes ou la magie permet d'invoquer des dragons et de se teleporter, y ait pas UN mec qui ait pensé a faire une sorte de coffre facon Bagage de Discworld, ou quand tu mets des trucs dedans ca atterrit chez toi pour que tu puisses utiliser plus tard. Quelques jeux faisaient ca (Diablo ?), mais c'est rare (sauf mods evidemment).

Y'a bien la malle magique des premiers Resident Evil, mais sauf erreur de ma part il n'y a pas (encore) de dragons

[PoF]

Ça existait dans Ragnarok Online, des coffres où tu mettais des trucs mais chaque endroit du monde permettait d'avoir accès à ce "coffre inventaire".

[Marv]

Ah oui, il me semble en effet que les MMORPGAARGL ont plus souvent recours a ces trucs la que les jeux solo, bien vu.

[Le Vieux Buk]

(D'autant que j'ai finalement repris Xenoblade 2 )

Tu n'as pas trouvé que le jeu s'envolait littéralement au chapitre 5 ?
J'ai l'impression que la conjonction d'un système qui en a enfin fini avec les tutoriaux, de blades suffisamment avancées pour tous les obstacles de map, d'un risque létal bien moindre quand on se promène, et d'un scénario qui décolle un peu en épaississant à la fois les personnages, la mythologie et l'intrigue bonifient drastiquement le jeu, d'un coup, "brutalement"

[JoeyOM]

Ça existait dans Ragnarok Online, des coffres où tu mettais des trucs mais chaque endroit du monde permettait d'avoir accès à ce "coffre inventaire".

Yes, pareil pour Fallout 4.

Ce qui est relou dans la gestion du poids dans The Witcher 3 c'est quand tu te décides à explorer tous les "?" sur la carte qui sont souvent des trésors cachés, et que tu te retrouves à devoir faire des aller retour dans les villes les plus proches pour te décharger, bien bien bien casse couille.

[Kieros]

Même principe sur Vagrant Story, Minecraft... c’est le système classique et le plus « équilibré » je trouve.

Même si j’aime encore mieux le système des Yakuza (et de Dragon Quest, et Suikoden, et d’autres que j’oublie) où quand les poches de ton costume sont trop pleines de nunchaku / hamburgers / ours en peluche..., tout est envoyé directement dans ton coffre principal. Aucune prise de tête.

Alors que ouais, sur Fallout 3, c’était bien relou d’avoir à ranger ses affaires manuellement parce que tu t’es trop pris pour Louis La Brocante. Pour les survivals type RE ou This War of Mine, ça s’impose, mais sur les RPG...

[PoF]

Joey : Pour l'instant, j'ai jamais eu à me décharger et je suis loin de la limite (je suis niveau 13 je crois), mais j'ai aussi bien ciblé les items et capacités pour me permettre de porter plus, d'emblée. Ça et le fait que je ramasse que le strict nécessaire (alors que j'aimerais bien tout ramasser). D'ailleurs, le prix des armes à la vente est absolument ridicule. Une épée vaut quasi toujours moins cher qu'un morceau d'herbe lambda ramassé dans une forêt.

[JoeyOM]

De mémoire ce n'était pas trop un problème jusqu’à ce que tu te mettes à trouver des robes ridicules de 300 kilos.

[Marv]

Legendary Enchanted Robes of Grossophobie

[G.bédécarrax]

(D'autant que j'ai finalement repris Xenoblade 2 )

Tu n'as pas trouvé que le jeu s'envolait littéralement au chapitre 5 ?
J'ai l'impression que la conjonction d'un système qui en a enfin fini avec les tutoriaux, de blades suffisamment avancées pour tous les obstacles de map, d'un risque létal bien moindre quand on se promène

Oui, en effet La boucle "je débloque une compétence de terrain qui me donne accès à une nouvelle zone où j'obtiens un cristal rare qui débloque une blade qui me donne accès à de nouvelles compétences de terrain qui" est assez grisante, même si j'aurais préféré moins d'aléatoire dans l'éveil des blades. Redécouvrir au gré des quêtes secondaires des régions que je pensais balisées est ma principale source de motivation, ça et certaines quêtes annexes plus malines que prévu.
(Scénaristiquement par contre, je peux pas dire, j'ai décroché comme je n'avais jamais décroché auparavant, et c'est à peine si je sais qui est qui).
(à part Brigid, qui me ramène à mes fantasmes adolescents ).

[Niko]

Joey : Pour l'instant, j'ai jamais eu à me décharger

TWHS (puceau)

[bueno_coco]

Le système de poids de The Witcher 3 est chiant mais c'est un bonheur à côté de celui de The Witcher 2.

[Juliensw]

Cool de te lire

je supporte pas les armes qui se pètent

C'est une critique qui revient beaucoup, perso ça ne m'a pas dérangé : ça oblige à faire avec les moyens du bord et ça brise la routine du joueur, un peu à la manière de Uncharted où l'on ne garde jamais la même arme bien longtemps. Après, les combats manquent un peu trop de profondeur pour que ce soit totalement satisfaisant je trouve.

A la base ça me gonfle déjà, comme la gestion de l’équipent en fait dans les jeux d'aventure, que ce soit faire attention au poids, récupérer 5000 ingrédient pour préparer des trucs (alors que bizarrement, j'aime beaucoup les jeux de gestion et les city builder ). L’inventaire "permanent" des anciens Zelda me manque
Mais dans ce jeu, c'est clairement abusé : l'inventaire se rempli très vite, et tu ne peux même pas revendre tes armes (alors que l'argent est quand même bien compliqué à trouver) ou récupérer des matériaux dessus. Résultat : t'es obligé d'en laisser plein de côté, et je déteste ça
Y a aussi la mollesse de l'escalade et la pluie qui me gonflent, bien que j'ai conscience que ça fait complétement parti du truc.
Je me rend compte que je critique beaucoup, et pourtant j'y ai passé 140h dessus, et je le trouve fantastique, mais pas totalement adapté à ma façon de jouer, dommage.

[G&ry]

Putain quand je vois le nombre d'heures passées sur Zelda je me dis que je fais bien de ne pas craquer.
J'arrive même plus à terminer 2 jeux par an