Putain cash! T'es plutot directe comme nana toi!!
Mais j accepte le temps d envoyer bouler pinocchio et j arrive vers 18.15!!
Au fait sur ce sujet ci on parle que de la ville de marseille!Tu risques de te fair engueuler si tu pollues celui ci...par qui?? par moi evidemment!
Haegel a dit: "les souffrances qui ne te tuent pas te rendent plus fort"; il se peut que dans les prochains jours je postule au titre de l'homme le plus fort du monde.
Haegel a dit: "les souffrances qui ne te tuent pas te rendent plus fort"; il se peut que dans les prochains jours je postule au titre de l'homme le plus fort du monde.
Ah ouais ou ca on bosse??
Tu as vu du travail qq part toi si ce n est que je n ai plus de connexion web comme avant rien n a changé! EN fait si, on bosse a distance!
Haegel a dit: "les souffrances qui ne te tuent pas te rendent plus fort"; il se peut que dans les prochains jours je postule au titre de l'homme le plus fort du monde.
french .....tu sors -------> non je rigole
bon sérieux, j'aime bien le petit peach sur marseille de juju, c'est aussi ce que j'ai vécu en 97, enfin pas en totalité mais pour l'approche
apres comme tu le dis, quand on connait cette ville, on ne peux que tomber amoureux et passionné de l'OM, qui pour moi a tout les atouts de son côté pour séduire
et en plus de ca on eux même s'en défendre tellement cette ville est critiquée a tort ..
(bon j'ai recadré merci de ne plus dévier )
Histoire de recentrer le sujet apres l avoir devié (désolé) un petit article sur un endroit que j aimais beaucoup!!Le marché de la pleine!!
QU a t il de special me direz vous? Ceux qui le connaissent ne poseront pas cette question, pour les autres je vais essayer de vous decire l ambiance!!
Le quartier de la pleine est animé en son centre par une grande place ou se tient un marché les mardi jeudi et samedi!
Sur ce marche on y retrouve un concentré des ttes les qualités de marseille!
La premiere d entre elles c est la diversité et le melange culturel: on passe du vendeur de chaussure marocain au vendeur de sous vetements francais puis au vendeur de vetements d origine italienne, on y trouve ca et la des femmes africaines vendant leurs bijoux et babioles, tout ca dans un espace de 100 metres carrés!!
Puis la diversité des produits: les nappes de provence cottoient les frippes bon marché les bijous d afrique les maillots de bain ou les tee shirt chantant la gloire de l om que les touristes du monde entier viennent s arracher!On y trouve de tout:des vetements de tt genre, des nappes des tissus multicolors inspirés de pays exotiques gorgés de soleil, des parfums des cosmetiques, mais egalement des legumes des fruits ou des ustensils de cuisine des outils de quincaillerie!!
Cet endroit est un peu comme une grande surface mais le contact y est dix fois plus chaleureux et il n est pas rare d y denicher de bonnes affaires!
La pleine c est aussi l amitié et la convivialité symbole de la provence!La bas on se parle on ne s apostrophe pas il est possible de discuter un prix ou de parler du match de la veille ou de celui de demain!!Les gens ne sont pas strésses pas préssés , ils font leur marché mais relax la vie peut attendre, et la vie attendra!!!
Cet endroit est unique preuve que le temps le stress et la folie des hommes n est pas encore arrivée partout!!
Haegel a dit: "les souffrances qui ne te tuent pas te rendent plus fort"; il se peut que dans les prochains jours je postule au titre de l'homme le plus fort du monde.
Et si on continuait a parler de Marseille ?
Bobos il y a peu se demandait pourquoi il n'y avait plus de corrida à Marseille, cette histoire pourrait être un début d'explication, si elle n'était pas intervenue il y a bien longtemps.
J'ai assisté moi même à une corrida tout gamin, dans les années 60. :sad2: au chemin de Gibbes dans le 14 eme.
Voici cette histoire arrivée quelques 80 ans plus tôt.
La catastrophe de Furiani, qui endeuilla la France le 5 mai 1992 et qui nous priva pour l’anecdote d’une victoire, pourquoi pas d’une victoire en finale, donc d’un doublé supplémentaire, rappelle ce qui advenu cent onze ans plus tôt, le 14 août 1881, dans les arènes Marseillaises ! Jusqu’au bilans qui se ressemblent : dix-sept morts ici, vingt là, et, au bout du compte, (et du procès) des peines dérisoires, chacun se renvoyant la responsabilité de la catastrophe.
Mais venons en au fait. Et à cette Histoire, qui fait partie de l’Histoire de Marseille.
Sur toute la Une du Petit Marseillais du 15 août 1881, s’étale un titre qui résonne comme un glas :
« la catastrophe du Prado 120 victimes»
Le texte débute comme un faire-part de deuil : « notre ville est sous le coup d’une émotion profonde causée par une catastrophe épouvantable, qui a eu lieu, hier dimanche, vers 17 heures 15, dans l’enceinte préparée pour servir de champ de course de taureaux et établie dans la première avenue du Prado, au n° 127, sous le nom d’Arènes Marseillaises »
On y apprend qu’un « toréador » (sic) madrilène, nommé Don Pedro Fernandez, (en fait un imprésario) sa quadrilla et une manade, ont voulu donner aux Marseillais le spectacle d’une corrida. Mais Marseille, qui n’est pas une terre de tradition, ne possédait pas d’arènes.
Qu’à cela ne tienne : Don Pedro s’adressa à un « entrepreneur » de spectacle Marseillais, qui se fit fort de mener à bien la construction en quelques semaines d’un champ clos en bois, en bordure duquel il ferait édifier huit rangs de gradins, non pas en amphithéâtre, mais en ½ cercle, constitué de deux étages superposés, d’une capacité totale d’environ 1200 places. Pour cela, il loua un terrain vague de l’avenue du Prado, non loin du stade vél’ actuel et tout proche du Bd de Louvain actuel. Il s’adressa à un charpentier qui, pour 4500 francs de l’époque, accepta de se charger de l’ouvrage.
Autorisation fut demandée auprès de la préfecture, qui donna son accord à condition qu’un architecte de la Ville s’assurrât de la conformité et de la solidité de l’ensemble.
Il faut croire que rien de suspect n’attira l’attention des spécialistes, puisqu’un mois à l’avance les murs de marseille se couvrirent d’affiches multicolores annonçant la GRAN CORRIDA pour le dimanche 15 août.
Comme il se doit, la corrida fut prévue alos cinquo de la tarde, à 5 heures du soir, quand la canicule estivale s’atténue relativement.
Mais dès 14 heures on avait ouvert les portes et la foule s’était précipitée sur les échafaudages de bois surplombant l’ovale de sable entourée de talanquères, ces barrières à l’abri desquelles les toréros observent le comportement du fauve avant d’entrée en lice.
Le programme – rare à Marseille – a attiré aficionados et curieux.
« Le cirque est plein du haut jusque en bas » comme le chante Escamillo. On crie, on s’interpelle, on tape des pieds, on s’impatiente.
D’autant plus que, pour l’instant, le spectacle est dans la rue : la quadrilla, matadors en habits de lumière en tête – défile en ville depuis la Cannebière (avec 2 n) précédé par la peña…de St Giniez !
Sur le passage du cortège bariolé, qui parcourt la rue de Rome, une foule énorme se presse. De nombreux badauds lui ont emboîté le pas. Un défilé spontané s’est formé, si bien que la troupe grossit au fur et à mesure que la quadrilla approche des « arènes » improvisées.
Il est 16 heures 30. Depuis deux heures et demie, à l’intérieur la foule bout, à tous les sens du terme.
Voilà les matadors à pieds d’œuvre.
On ouvre un passage aux toreros. Mais, à Marseille, la resquille est un sport national. Profitant de la faiblesse du service d’ordre (une vingtaine de sergents de ville sous les ordres du commissaire de police du Boulevard d Baille)…les plus hardis s’engouffrent à la suite des matadors et des musiciens. Les agents de police et les employés du commissaire sont impuissants à contenir la poussée. La foule se rue dans l’enceinte aux places réservées. « On s’élance, on franchit les grilles » chanterait encore Escamillo. On escalade les gradins, on s’arrache les dernières places assises, on se bouscule, on se piétine, on s’entasse, malgré les cris et les protestations, dans une pagaille monstre.
Sur les gardins surchargés, plus un espace libre. On n’aperçoit plus qu’une marée de chapeaux et de casquettes. L’édifice de bois supporte au bas mot le double de spectateurs prévus !
Si bien qu’un instant, le commissaire envisage l’interdiction du spectacle. Peut-être a-t’il hésité devant l’émeute possible des porteurs de billets…
De guerre lasse, face à l’insistance de « Don Pedro » et de l’entrepreneur réalisateur de cette arène, le commissaire cède. Il n’a pas le cœur de priver la foule de son cruel plaisir.
Mais sur les gradins du haut, les moins excités commencent à éprouver une certaine inquiétude. On dirait que « ça bouge ». Illusion ? Ou bien sont-ce les trépignements de la foule en délire qui applaudit au sacrifice du premier fauve noir ?
Certains se sont carrément levés et tentent de gagner les sorties. Pas facile, quand on est serré comme un banc de sardines.
Le troisième toro vient de bondir dans l’arène au milieu de hurlements.
L’inspecteur de police, qui observe d’un œil inquiet les gradins, sent son cœur sauter dans sa poitrine. Pas de doute : les forts poteaux qui soutiennent l’édifice tanguent comme un bateau ivre.
« ça craque !»
Le cri jaillit de centaines de poitrines. Mais beaucoup croient à une ruse pour libérer des places.
Le policier n’a ni le temps ni les moyens de donner l’alerte. Dans un craquement sinistre, la partie gauche des gradins supérieurs vient de s’écrouler sur ceux du dessous !…
Aussitôt, sur la partie restée intacte, c’est la panique.
Le mouvement de la foule affolée, se dressant comme un seul homme, accélère l’écroulement. Le reste de l’amphithéâtre s’effondre !…
« Il y eut un cri immense de terreur suivi d’un terrible silence », écrit le Petit Marseillais.
Un silence s’abat sur l’arène, bientôt rompu par les râles d’agonie et les cris de souffrance, les hurlements d’hystérie de centaines d’hommes et de femmes choqués, éclaboussés de sang.
Le nuage de poussière est si épais que les premiers sauveteurs sont incapables d’intervenir tant qu’il n’est pas dissipé.
Figés d’épouvante sur le rond de sable, leur muleta en main, les toreros sont rejoins par les spectateurs épargnés. Tous contemplent l’épouvantable spectacle de ces dizaines de corps écrasés, de ces crânes fracassés, de ces survivants emprisonnés sous les pièces de bois de l’énorme charpente. Les blessés errent parmi les débris matériels et humains à la recherche d’un parent, d’un enfant. Aux cris de souffrance se mêlent les cris d’angoisse.
Pendant ce temps, le toro oublié, a profité de la panique pour s’enfuir ! Pris de terreur, il a foncé vers le terrain vague voisin. Puis, sa fuite lui paraissant sans objet il s’est arrêté de lui même. Les péons accourus retrouveront l’animal broutant au pieds d’un réservoir et n’auront aucune peine à le ramener vers les voitures à bord desquelles lui et ses congénères avaient gagné Marseille !
Les premiers secours arrivent de la rue Lantier, toute proche où se trouve la pharmacie cen,trale militaire. Le pharmacien-major répartit ses hommes en hâte pour retirer les survivants des décombres, placer des garrots, transporter les plus touchés hors du mieu de la catastrophe et notamment vers l’Hotel-Dieu. Les pompiers, puis un détachement de troupe arrivé du parc à fourrage, ainsi que les gendarmes à pieds et à cheval, dont la caserne est toute proche, arrivent très vite en renfort.
Le commissaire central est accouru, ainsi que le maire de Marseille, Jean Batiste Brochier.
En ville, la nouvelle de catastrophe s’est répandu comme une traînée de poudre. Si bien qu’à six heures du soir une foule considérable a envahi les allées du Prado. Des curieux morbides comme toujours, mais surtout des familles, des amis, à la recherche d’un parent, d’un être cher, parmi ces corps sans vie ou souffrants, étendus dans la cour de l’infirmerie militaire, sur des brancards improvisés : volet, échelles, planches.
Tandis que des gens agonisent dans les hôpitaux de Marseille, où son imprévoyance les a conduits, quand ce n’est pas à la morgue, le constructeur de l’arène, Mr Charles Bayle, convoqué dans le cabinet du magistrat, s’affronte avec le patron des « toréadors ». Il refuse de lui régler les 1 100 francs promis, « le spectacle n’ayant pas été exécuté jusqu »au bout !…
j'ai tellement fais de courrier pendant mon mois sabbatique (putain on dirait Luis Fernandez) que je me suis constitué un petit pactole.
en tous les cas je suis ravi que ça vous plaise.
Grandiose deep!! Je sens qu avec ton aide je vais faire revivre ce sujet!!
Je prepare moi aussi un petit article sur la gineste!!!
Avis aux amateurs!!!En tt cas bravo poto!! Ton article etait excellent!Au fait je me suis planté dans ton adresse mail!! Le mail m est revenu ce matin j avais oublié un "e"!
Je te le renvoie dans la journée avec la bonne adresse!!
Haegel a dit: "les souffrances qui ne te tuent pas te rendent plus fort"; il se peut que dans les prochains jours je postule au titre de l'homme le plus fort du monde.
J aurais aime vous parler un bref instant d un coin de marseille que j adore egalement plus que tous les autres ou presque:
Luminy!!
En fait certains d entre vous se sont peut etre deja posés la question pour ceux qui me connaissent comment moi qui avait vecu jusqu a l obtention de mon bac (18ans) a PAris suis devenu aussi amoureux de cette fille qui n est meme pas celle de ma jeunesse??
Je vais alors vous raconter ma vie pendant les trois années de mon ecole de commerce!!Je vous demande de les lire car une ecole de commerce est qq chose de genial mais une ecole de commerce a marseille c est le paradis sur terre! Nul besoind aller aux seychelles ou de vivre comme un milliardaire!Moi je n etais qu etudiant et a part ma scolarité et mon loyer (qui etaient payés par mes parents je me payais tout!!) Ma bouffe mes fringues mes sorties mon essence mon assurance auto etc etc !!
Je vous replace ca dans son contexte: J ai 21 ans je vis a MArseille depuis 2 ans, je sors d une prepa HEC prise de tete a THiers, j integre l esc marseille!! J habite rue Renzo AU ROUET dans le 8 eme dans une petite maison de ville au RDC
Une journée de mon emploi du temps d etudiant se resumait comme suit: Lever Vers 8.00 depart de chez moi a 8.40 dans ma vieille titine direction Luminy!!POur ca on passe par le rond point du prado, puis le Bld Michelet, le vel a gauche, la place de mazargues avec l obelisque la montée en direction du cabot puis le rond point de cassis avant la montée vers luminy en plein mileiu de la foret dans les sapins et ce 9 jours sur 10 par un temps magnifique!!
La la monté se fait comme pour aller au facs de luminy mais a un moment faut prendre sur la droite comme pour aller au TC Phoceen!!Et un peu plus loin prendre encore a gauche pour aller direct sur l ESC!!Le bonheur!!L ecole se trouve en plein milieu des massifs des calanques!!J en mets qq photos apres!!
C est une ecole quasiment neuve!!UNe centaine d'ordis pour 550 eleves des ordi ts neufs avec connexion internet , des installations nickel ttes neuves des moyens techniques enormes des terrains de tennis une piscine un petit gymnase une cafet etudiante etc etc!!
Je precise que l ecole est bordée de partout de pains presque centenaires et que ormis les marains pompiers il n y a pas de voisin a moins d un kilometre!ON entend les oiseaux chanter quand on est en cours, on voit les ecureuils qui escaladent les arbres, au loi l arriere de l ecole donne sur les falaises de la gineste et l on devine derriere celles ci les calanques de sugitton!
Alors vers 9.00 je vais en cours vers 12.00 je suis sorti et la je fonce a la cafet de l ecole qui est une association tenue par les etudiants a but non lucratif!!La c est un genre de pub avec plusieurs tele reliés au satelite, une table de mixage ou qq etudiants mixaient systematiquement a l heure du dejeuné mais c est surtout le coca à 3 frs le demi a 5 frs et la despé à 7 frs!Nous n avions pas le droit de vendre d alcools plus fort parceque pas de licence 4!!Et heureusement parceque les murges etaient deja legion s il y a avait eu le jaune a 5 frs c eut ete la debacle!!Bref on prend un sandwich payé 10 frs, une despé payé 7 frs on se met autour d une table ombragée sur la terrasse sous les pins on se met a 4 et on fait une.....une contrée bien sur!!Pendant tte l heure du dejeuné!!Vers 14 heures les cours reprennaient mais pas avec des profs stressés comme a paris, des profs cool content de venir en cours sachant qu apres les cours y a une vie!Personellemnt je tanquais 3 cours sur 4 et n allais qu au cours de finance de compta ou de gestion!! Ce qui me prennait 10 heures par semaine!! Tout au plus!!!
Le reste du temps je le passais a jouer a la contrée (il m est arrivé d'arriver la matin vers 9.00 et de jouer jusqu'a 22 heures quasi sans interruption!!!) puis a aller jouer sur les terrains de tennis !!Vers 18.00 trois solutions s offraient a moi: soit j allais aux entrainements de foot (a st tronc deux jours par semaine!) soit je restais a l ecole regarder le match de l om a l exterieur sur les teles de la cafet avec 80% des mecs de l ecole (pour dire que j etais jamais seul!) soit y avait match et donc je foncais soit au stade soit rue St antoine au QG des SW chercher le matos!!
Quoi qu il en soit vers 22.30 il fallait desormais penser a la soirée!L ecole fermait donc il fallait prevoir l apero suivi des pizzas ( qu est ce que j ai bouffé comme tonnes de pizzas!!!!) mais jamais seul toujours les uns chez les autres!! Toujours un truc a faire!!! Et tous les jeudis soir et les samedis soirs l ecole organisait des soirées privées!Le jeudi soir nous avions pour habitude de louer le MAxi Club (une boite presque sur le vieux place THiars)!Et ca durait jusqu a 4 heures du matin!! Au sorti nous allions voire le soleil se lever sur la mer, sur la corniche!!Insouciants du lendemain!!
Vous allez me dire qu c est la vie d etudiant et que marseille n y est pour rien et bien si!! Les profs n etaient pas stressés ils nous faisaient confiance, nous n etions pas stressés mais confiants en nous, nous etions tous unis!En 3 ans d ESC j ai calculé que j ai au maximu du passer 20 soirées tout seul sans amis chez moi ou sans etre chez d autres ou a jouer au foot!J ai bien essaye lors de mon stage de 8 mois a paris d adopter le meme style de vie!!MAis la mentalité n est pas la meme!Et puis quelle joie y a t il a sortir s il pleut??
Aucune!!
Ces années la ont ete les plus belles de ma vie!Et je les dois a marseille!! Cette ecole au milieu de la foret comme un havre de paix!!Je vais surprendre certains etudiants mais je serais franc: les moments de la semaine que j aiamis le moins etaient.....les week ends!!!!
Et c est vrai!!
Vous ne me comprendrez surement pas mais si un seul d entre vous excepté JU911 lis ce post et qu il me comprend je serais deja super heureux !Car marseille c est ca aussi!!La liberté de faire ce que tu veux au milieu de gens chaleureux qui t aiment!!
Voila ....désolé!! ;-)
Haegel a dit: "les souffrances qui ne te tuent pas te rendent plus fort"; il se peut que dans les prochains jours je postule au titre de l'homme le plus fort du monde.
Sois pas désolé mon French !! C'est tout plein d'émotions ce post ! Tout le monde n'a pas eu la chance de vivre des moments géniaux comme ceux que tu as narré et c'est bien d'en faire profiter tout le monde !
C'est clair french ne soir pas désolé, en lisant ton message je me suis mis à rever quelques instants et je ne blague pas, tu as surement en plus de ce que tu nous racontes sur ta vie a marseile, une manière de le raconter qui me fait quelque chose...les choses que tu racontes à propos de tes cours, sont inconcevables en région parisienne! deja pour commencer les oiseaux qui chantent, les écureuils grimpant les arbres ici cela n'existent pas malheureusement... les profs cool, qui viennent avec le plaisir de faire cours, cela non plus à part quelques uns n'existe pas. Et une dernière chose à propos du week end, je peux te dire qu'ici on l'attend avec impatience toutes les semaines!!! on se fait tellement chier la semaine avec des cours qui t'emmerdent et le train train de cette superbe région, que le week end pour nous est quelque chose de sacré...
Enfin je me demande si je ne devrais pas tenter ma chance ds le sud et qui plus est à marseille pour le restant de mes etudes, ton récit sur cette ville raconté avec tout l'amour qui s'en dégage me donne à réfléchir...merci French!
Vous ne me comprendrez surement pas mais si un seul d entre vous excepté JU911 lis ce post et qu il me comprend je serais deja super heureux !Car marseille c est ca aussi!!La liberté de faire ce que tu veux au milieu de gens chaleureux qui t aiment!!
Tu sais j'ai le bonheur d'avoir ma vieille maman qui a 89 ans qui est née en 1913.
Des histoires elles en a connu à Marseille et elles m'en parle de temps en temps... de ces histoires qui ont émaillées et jalonnées la vie Marseillaise.
Pour les deux évènements que tu cite elle me dit qu'elle avit mon frère dans les bras le jour de la tragédie des nouvelles galeries et se trouvait en ville au défilé lors de l'attentant sur Alexandre 1er.
elle me parle aussi de l'incendie qui a eu à l'usine Macias qui fabriquait des sacs de jutes, dans le quartier de Sta Mauron, elle m'a parlé de ces gens en train de bruler derrièrre les barreaux de cette usine, coincés qu'ils étaient les malheureux au début des années 20.
elle me raconte aussi que, pendant la guerre 39/45, mon frère dans ses bras il avait 1 an à l'époque, elle a assisté l'arrivée des Allemands en même temps que les Français partaient dans les casernes parceque mobilisés, ce croisements de soldats allemands fiers d'être des envahisseurs et les français têtes basses... sur le port de Marseille dressait un drole de tableau qui lui a procuré d'énormes crises d' angoisses.
je vais prendre le temps de déguster ta contribution et celle de french aprés l'avoir imprimé.
Ta Grand Mère a juste deux ans de moins que mon Père Deep (qui lui est parti il y a bien longtemps) et le jour de l'assassinat du roi des Yougoslaves ils ne devaient pas être bien loin l'un de l'autre!
Ta Grand Mère a juste deux ans de moins que mon Père Deep (qui lui est parti il y a bien longtemps) et le jour de l'assassinat du roi des Yougoslaves ils ne devaient pas être bien loin l'un de l'autre!
Non non Pythéas, c'est bien ma Mère. elle est de la même génération que ton Papa. Qui sait peut être se connaissaient ils ?.
Chris, mon poto, je crois te l'avoir dis... tu as Marseille dans la peau.
Et ton récit me flanque des larmes aux yeux.
Comment voudrait tu que l'on ne te comprenne pas ?. Je me suis complètement identifié a toi. C'est come si c'était moi.
Le bilan fut effroyable 73 morts et de nombreux blessés.
Mais comme à Marseille rien n’est comme ailleurs, la politique s’empara du désastre. La municipalité TASSO en fit les frais.
La sanction tomba le 20 Mars 1939 Marseille fut mis sous tutelle et Tasso remercié. Le préfet SURLEAU fut chargé d’administrer la cité.
Il fallut attendre la libération pour que Marseille retrouve un maire provisoire, en la personne d’un jeune avocat nommé Gaston Defferre.
Cette catastrophe est a l’origine de la création du corps des Marins Pompiers de Marseille dont Pythéas a eu la fierté de compter a son service deux membres de sa famille à bord du Lacydon.
Si j'ai effectivement souvent entendu parler de cet incendie, je ne connaissait pas les détails.
Je ne savais pas par exemple que cette catastrophe avait servi de pretexte, pour orchestrer un push sur la municipalité Marseillaise.
Et que la création du corps des marins pompiers était issue de cette catastrophe. a leur santé.
Ta Grand Mère a juste deux ans de moins que mon Père Deep (qui lui est parti il y a bien longtemps) et le jour de l'assassinat du roi des Yougoslaves ils ne devaient pas être bien loin l'un de l'autre!
Non non Pythéas, c'est bien ma Mère. elle est de la même génération que ton Papa. Qui sait peut être se connaissaient ils ?.
Oh pardon!, j'avais mal lu...
Ben oui, peut être se connaissaient-ils , Quoique mon père a eu une vie de célibataire assez prolongée, il était navigateur à la Cie Paquet dés 1929...Long cours juqu'aù Japon avant la guérre j'ai son livret matitime et de nombreuses photos, il a du mener une vie de "patachon" comme on dit, je me souviens qu'il disait que les plus bélles femmes du monde étaient le Japonaises et les Andalouses !...(a mon sens il avait raison pour les secondes ) cette anecdote faisait "bisquer" ma mère bien evidement...Pour les hommes de sa génération ne pas s'être "casé" avant la guérre a retardé de façon "sévére" la construction d'une famille ce qui éxplique l'ecart d'age entre lui et ses enfants...il aurait aujourd'hui 91 ans
je me souviens qu'il disait que les plus bélles femmes du monde étaient le Japonaises et les Andalouses !...(a mon sens il avait raison pour les secondes )
Connaisseur , ma mère est andalouse , née à Cordoue, et elle est belle ma maman
je me souviens qu'il disait que les plus bélles femmes du monde étaient le Japonaises et les Andalouses !...(a mon sens il avait raison pour les secondes )
Connaisseur , ma mère est andalouse , née à Cordoue, et elle est belle ma maman
C'est que j'ai eu moi aussi una "super estrella nacida en La Linea de la Concepcion"
Bah, je me suis ratrappé "amb una Catalana de l'Alt Ampurdá"