Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
<!--QuoteBegin-OM69+Jan 21 2005, 08:25 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (OM69 @ Jan 21 2005, 08:25 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Une petite dédicace à JP du Poitou
Lorie - La Positive Attitude
[/quote]
quel gros enculé celui-là, quand tu vois que tout part en couille, tout augmente et que le seul truc qui trouve à dire c'est "ayait la positive attitude comme le dit lorie" avec son sourrir de pd là!
c'est bon, y m'a mis les nerfs!
- Section Jocato Mochito - - Bienvenu au petit Lubo!
<!--QuoteBegin-Squal+Jan 22 2005, 08:01 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Squal @ Jan 22 2005, 08:01 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> c'est bon, y m'a mis les nerfs! [/quote]
ça c'est pske tu n'as pas la positive attitude justement
Merci à mes 11 supporters : Alf115 (47201), TripleF (175873), solansko (291110), Ourson (296671), grandpopo (292049), Hastings (586351), Jean-Romain (586942), Jimmy_3d (590304), Saykelde (587525), yolio (298123) et Marseiyeah (296567).
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
J’ai vu les victoires et j’ai vu les défaites
J’ai vu la ville en larmes et j’ai vu les rues en fête
J’ai vu les cris de rage et la révolte sous les sifflets
Les gorges griffées et les abrutis s’étriper
J’ai juste le RMI et je suis là tous les week-ends
Qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il neige, qu’ils gagnent, qu’ils perdent
Je suis là dans tous les stades et je viens pour le crier
J’ai ce blason dans le cœur et je veux le voir briller
On affronte en chœur depuis l’époque du lycée dans les pesages
À aujourd’hui avec mon gosse, à des places un peu plus sages
J’ai touché le ciel de l’Europe un soir de 93
Bordel en boîte et freins dans Le Rove
Puis je me suis marié, pas le temps de l’éviter
Sois disant je buvais trop, ma princesse elle m’a quitté
Tu vois tout ce qu’il me reste, mon travail à la chaîne
Un petit de 10 ans que j’aime et un putain de soir par semaine
Ma vie te paraît petite, alors pense comme tu sens
Moi debout dans le stade bouillant, j’ai l’impression d’être grand
Parce qu’ils ont lu 2 livres ils se la pètent comme des héros
Riant de mon plaisir simple, ils me prennent pour un blaireau
Refrain :
Mais je rentre avec la foi, pression
Pour mettre le faya dans les parties, là sans concession
Ce soir on porte avec la voix les lions
Qui mouillent le maillot quand c’est parti, quoi qu’il arrive (oh-oh)
(x2)
Quoi qu’il arrive je devais être à Bastia, tant pis s’il a dit
Qu’il me foutrait un blâme si je quittais mon poste à midi
Les pieds en Corse, je rejoins le beauf’, le frère de mon ex
Un supporter bastiais, étrange contexte
On va boire un petit coup, il me file mon billet
Il dit que c’est un cadeau alors on se dispute pour payer
Allez, on lève le camp, laisse nos kawas sous les feuillages
Partir un peu plus tôt pour esquiver l’embouteillage
Le parking poussiéreux, la fouille des CRS
Ça y est je suis dans le stade, ce soir c’est l’ambiance de rêve
Et quand la clameur gronde, ça bouge sous nos pieds
La tribune gonflée de monde donne l’impression de basculer
Ça va rien de grave, 3 minutes après, l’atmosphère est chaude
Dans un fracas assourdissant le sol se dérobe
D’abord le trou noir, ensuite chercher le sens
De tous les secours qui s’affairent et le ballet des ambulances
La chambre de l’hôpital, et cette douleur dans le dos
La morphine dans les veines et tout ce chambard dans mon cerveau
Le peu d’information, et le sentiment d’être fichu
Quand le docteur dit froidement, que je ne marcherai plus
Ce qui me navre dans l’histoire, c’est que des gens comme moi
Modestes, pour du fric, on les presses, passionnés, on les déleste
Je ne veux pas être star, ni qu’on me traite comme un malade
Assis dans mon fauteuil roulant, ma voix les couvre dans le stade
Le son n'est pas top mais les paroles sont si vraies.
"Lorsque le conseil de surveillance lui demanda pourquoi Mandanda gagnait plus que Samassa alors qu'il avait marqué moins de buts que lui, Pape Diouf fut soudain pris d'une grande lassitude..."CDF
<!--QuoteBegin-Urba+Jan 23 2005, 01:46 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Urba @ Jan 23 2005, 01:46 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Les chants révolutionnaires, il faut les faire vivre [/quote]
Comme celle-ci:
Besame, besame mucho,
Embrasse-moi mon amour que je puisse oublier,
Puisqu'on se quitte
Tous mes regrets d'un bonheur fait de tant de baisers...
Oui, je sais bien qu'un beau jour on revient,
Mais j'hésite, ce jour est si loin...
N'y croyons pas, disons-nous, toi et moi,
Qu'on se voit pour la dernière fois...
Besame, besame mucho
Embrasse-moi, mon amour, que je puisse oublier,
Oublier le temps en fuite,
Et ma chanson n'aura plus qu'un seul mot : aimer...
Besame, besame mucho,
Si tu entends ce refrain des pays où je vais,
Besame, besame mucho,
Dis-toi que c'est la prière qu'au vent j'ai confiée...
Dis-toi que c'est le désir éternel qui s'envole
Vers toi que j'appelle les yeux ouverts dans la nuit,
Malgré l'heure qui fuit, quand tout bas je redis :
Besame, besame mucho,
Si je reviens, mon amour, le bonheur va chanter ...
Besame, besame mucho,
Et sa chanson n'aura plus qu'un seul mot : aimer...
J'ai une grande admiration pour le travail, et je peux rester trois heures à le regarder
My song of ze day c'est " Hallelhja" des Happy Mondays!
Mais puiqu'il faut faire vivre les chants révolutionnaires j'ajouterais
"Fleur cueillie..." un chant des peuplades Khor (rein à voir avec les soupes)
Fleur cueillie sur la colline
Ton parfum s’envole au vent.
Il est mort l’ami Lénine,
Mais son nom reste vivant, (bis)
An, quel regret!
Il est mort l’ami Lénine,
Mais son nom reste vivant.
Tout doucement, ami Lénine,
Tout doucement, tu t’en allas,
Le pays va vers les cimes.
Mais Lénine n’est plus là,
Ah quel regret!
Le pays va vers les cimes.
Mais Lénine n’est plus là.
Dans la guerre et la famine,
Il conquit notre bonheur,
Il est mort, ‘ami Lénine,
Mais il vit dans notre cœur.
Ah, quel regret!
Il est mort, l’ami Lénine,
Mais il vit dans notre cœur.
La Boussole ft Soprano - Y'a pas de cagoules. :ph34r:
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
« Vous n'êtes qu'un tas de petits bourgeois de merde, sans caractère ! Votre médaille, celle qui pend à votre cou, vous pouvez la jeter à la poubelle. Ce n'était pas ça qui m'intéressait ».
Et juste en venant de voir le pseudo de jester, je viens d' imaginer Jester faire ça mdr mdr
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
« Vous n'êtes qu'un tas de petits bourgeois de merde, sans caractère ! Votre médaille, celle qui pend à votre cou, vous pouvez la jeter à la poubelle. Ce n'était pas ça qui m'intéressait ».