G.bedecarrax a écrit :Mouais. Il fut un temps ou argumenté impliquait la présence d'arguments

Ici, la grande majorité des attaques sont gratuites, et rarement bien malines (ex, au sujet de l'assassinat de truc par machin :
"Bel exemple d'alliance fond/forme : le titre est aussi long et chiant que le film." L'argument est passé maitre dans l'art du camouflage

).
J'aurais dit pareil mais en pire, à la lecture de ce nouvel exemple déprimant de pseudocritiques (ouais ouais, bien sûr, là c'en est pas et au contraire "on fustige ces gros nazes de critiques parce que nous en fait on est les plus forts"
* )
(mais non, mais non, aucun rapport avec ce que je fais en ce moment même. mais non.) pseudomalins qui s'onanisent à coup de super formules super marrantes et chiadées, ouaouh.
J'ai également trouvé assez navrante la phrase que tu cites, en effet...
De plus en plus de ces pitres (dont j'ai déjà parlé tant de fois ici

) aiment de moins en moins le cinéma, mais plutôt leur petite prose de borgnes au royaume des aveugles.
J'en ai marre que le monde des cinéphiles deviennent un ring pour frustrés des rédacs de seconde, plutôt qu'un vrai lieu d'échange entre personnes qui AIMENT LES FILMS.
Bref : Assez peu convaincant, tout ça.
Et pourtant, je dois l'avouer, je suis d'accord avec pas mal de choses que j'ai lues

(sur le fond, parce que la forme des prétentieux médiocres commence à me casser furieusement les couilles)
(non, y a pas de contrepèterie.)
* : ça me rappelle quand les Inrocks reprochent à Télérama leur ton. Tout à fait le discours de Lord Luigi (merci Nelson Monfort, si tu nous lis

)) sur Stéphane Paille.
(évangile de Luc, chapitre 6, verset 14. Si.)
>>>>Pour Chow Yun Fat : alors là, c'est énormissime.
