BabyRock a écrit :Champoulacciu, bien que louables, tes tentatives d'explications à cet alcoolique mondain de stambroise sont vouées à l'échec
Elle ne m'à pas traité de nazi dans le métro... y à du progres !

BabyRock a écrit :Champoulacciu, bien que louables, tes tentatives d'explications à cet alcoolique mondain de stambroise sont vouées à l'échec
Et alors, il est drôle en vrai, Sergueï Bubka ?Kieros a écrit :J'ai croisé Sergueï Bubka dans mon hôtel monégasque today![]()
Et Michel Boujenah, aussi
Moi c'est Hakkinen que j'ai croisé, mais à Carrouf.Kieros a écrit :J'ai croisé Sergueï Bubka dans mon hôtel monégasque today![]()
Et Michel Boujenah, aussi
Le Vieux Buk a écrit :Je viens à peine d'apprendre la mort d'Henryk Górecki, décédé il y a deux semaines.![]()
Sa symphonie n°3 est un monument de douleur avec lequel je vous gonflais depuis toujours, sur le forum.
RIP.
Le compositeur mondialement connu surtout grâce à sa Symphonie numéro 3, dite Symphonie de complaintes, pour soprano et orchestre avait demandé dans son testament que l'Hymne à la joie de Beethoven soit jouée lors de ses funérailles.
Le piratage est « une fatalité » pour Calogero : un jeune internaute qui se trouve avec d’un côté un album payant, de l’autre, sa version gratuite, fera rapidement son choix. Du coup quelle est la solution ? « La solution ce n’est pas forcément d’envoyer des PV ou je ne sais quoi, la solution c’est à un moment donné de tout verrouiller comme aux États-Unis, qu’internet gratuit n’existe pas, tout simplement » a tambouriné Calogero avant de lâcher « Hadopi ça marchera pas ! C’est sûr ! Les mômes ils sont plus forts que cela, ils vont trouver d’autres moyens. »
Calogero avait été l’un des 52 artistes à soutenir le projet de loi HADOPI. « Ce projet de loi, soutenait-il à l’époque avec 51 de ses amis, nous donne de très bonnes cartes pour qu'Internet, la culture et la création soient réconciliés. Nous le soutenons. » Un soutien qui s’est donc désagrégé au fil du temps en faveur aujourd’hui du « verrouillage. »
Deux ans plus tard, sur RMC, en effet, le chanteur explique : « A un moment donné, quand de gros gros financiers vont comprendre qu’il y a de l’argent à se faire dans la musique, qu’un téléchargement par téléphone ou sur internet, plein de petits clics ça génèrera des millions, ce jour-là, quand on aura bien compris cela, on va tout verrouiller, tous les FAI, et ce sera terminé, et tout le monde gagnera de l’argent en tout cas proportionnellement aux chansons qui sont demandées. »
Une analyse tempérée dans le même temps par l'aveu suivant...
« C’est qui ? C’est quoi ça ? je ne comprends rien à toutes ces histoires d’internet »
Calogero s’épanchera sur le cas Deezer : « il y a plein de fuites…Comment ça se fait que cela existe Deezer ? C’est qui ? C’est quoi ça ? C’est là où je ne comprends rien, depuis 15 ans, je ne comprends rien à toutes ces histoires d’internet. Il y a plein d’organisation où comme ça c’est gratuit et on ne sait pas à qui cela profite, c’est complètement flou, donc tant que c’est flou, arrêtez de dire faut mettre un PV au môme qui va piller ».
Acheter sur internet, c’est « vachement bien »
Calogero concèdera n’avoir jamais téléchargé une contrefaçon sur Internet, mais avouera dans le même temps qu’à l’âge de 12 ans, il avait volé des vinyles, l’intégrale des Cures en 33 tours. « j’étais môme, je n’avais pas de thune, je l’ai fait. » Aujourd’hui, aux auditeurs fortunés ou non de RMC, l’ex-voleur dit : « Je trouve cela génial d’aller acheter son disque sur internet, je trouve cela vachement bien. »
« Le côté communiste, non ! »
RMC diffusera aussi le témoignage d’un « pirate » qui reproche à cette loi de ne rémunérer que « les artistes millionnaires » : « on ne rémunèe pas tous les petits artistes qui font la richesse culturelle de tous les pays » dit l’auditeur.
Réaction de Calogero : « Le côté tout le monde pareil, le côté communiste, non ! Moi je ne suis pas d’accord, cela toujours été comme cela. Moi quand mes chansons n’étaient pas diffusées, je me suis battu, j’ai fait des petits concerts, j’ai eu mon chemin et au bout d’un moment si aujourd’hui je gagne ma vie, j’en suis fier et je ne l’ai pas volé. »
Calogero avait été récemment condamné pour contrefaçon pour une part d’arrangement dans une de ses chansons. Le dossier est cependant frappé d’appel (voir les explications de son avocat, confiant sur l'innocence du chanteur).