Mais j'avais pas vu du tout !! On était en train de rentrer pendant le relais !! Mais incroyable !!! Et comment on a encore envie de tuer ce Montel, il est exaspérant !!!!!
Edit : le est revenu ! Ils sont trop forts ces modos (/admins )
Matías Almeyda : Le culte du résultat peut tuer le foot d'ennui.
Marv : J'exige rien d'autre que de l'émotion, je serai très content si on finit sans rien gagner.
Membre du OMForum dining club
Julien Benneteau a perdu sa dixième finale de suite sur le circuit ATP. Le Français s'est incliné face au Japonais Kei Nishikori (7-6 [4], 6-4) ce dimanche à Kuala Lumpur. C'est la troisième année de suite qu'il échoue en finale du tournoi malaisien.
La dixième n'a pas été la bonne. Julien Benneteau a perdu la dixième finale de sa carrière ce dimanche, échouant à ouvrir son palmarès ATP. Une nouvelle fois, la troisième en autant d'années, le Center Court de Kuala Lumpur a été le théâtre de sa déception. Le Français a pourtant beaucoup donné contre le récent finaliste de l'US Open, Kei Nishikori (7-6 [4], 6-4). Agressif, mobile, il a bousculé durant toute la première manche le Japonais, tête de série n°1. Mais à force de résister à son adversaire, Benneteau s'est épuisé.
Joueur sympathique et grand supporter de l'OM, ça me rend toujours triste ses échecs L'apothéose, c'est la finale de l'Open13, perdue contre ... Llodra
Ah et j'avais eu la flemme de remonter le topic à l'époque (finale de l'US Open Jr), mais la relève est assurée :
Le Français Quentin Halys s'est incliné en finale de l'US Open juniors face à l'Australien Omar Jasika 2-6, 7-5, 6-1 dimanche en finale.
Halys, 17 ans, a pourtant servi pour le match à 5-4 en sa faveur dans le 2e set, mais n'a pas réussi à concrétiser. Le Parisien s'est ensuite effondré et a perdu tout espoir de succéder à Jo-Wilfried Tsonga, dernier Français sacré à Flushing Meadows dans cette catégorie en 2004.
Dans Leur Cul. Sur la troisième photo, on dirait que le suédois a foutu son doigt dans le cul d'un joueur. N'empêche, je suis malheureusement sûr qu'ils ne retiendront jamais la leçon. De génération en génération, les gens pensent être déjà arrivés. Qu'ont ils accompli pour se comporter de la sorte alors que la qualif' n'est pas encore acquise ? Mais bon, ils ont la vingtaine et touchent déjà des dizaines de milliers d'euros. Bien fait pour leur gueule.
J'étais très content hier. Et très déçu aussi, parce que je militais pour Kurzawa en équipe de France et là, match pourri+attitude de pute ==> enculé (==> Aulas)
Le Néant est là juste devant nous et nous suce le bout
Très heureux que ces mongoliens se soient pris le retour de baton bien comme il faut dans leurs gueules de merdes!
j'aurais bien aimé voir la 3e photo d'un autre angle pour voir la tronche de Kurzawa.
Moi aussi je militais pour son intégration en A mais il y a ici un paramètre que l'on ne maitrise pas et que les entraineurs maitrisent c'est de savoir ce que les joueurs ont dans la tête.
En Afrique, le soleil tape très fort et souvent les gens n'ont pas de casquettes. Ce que l'on voit sur l'image, c'est un réflexe face à l'éclairage du stade.
Tu connais mal l'algèbre tout court en fait , parce que dans la structure de groupe (même commutatif), il y a une seule loi de composition, donc "le produit de moins par moins qui fait plus", ça n'a pas vraiment sens (ça nécessite deux lois internes)
Kieros a écrit :Tout à fait, il est donc tout excusé D'ailleurs, notez bien que je connais mal l'algèbre Corse, dans lequel sa proposition est sûrement vraie
Doumé du Grand Corsica Racing Rektal Team, ça fait bander non ?
Simon critique les balles
Battu par Fernando Verdasco (6-3, 3-6, 6-4) au 1er tour, Gilles Simon s'est montré résigné après la défaite, riant jaune en évoquant ces balles Head qui, dit-il, lui gâchent trop souvent ses matches : «Je me bats avec mon jeu».
«C’est toujours pareil, a expliqué Simon quelques minutes après sa défaite face à Verdasco. Je ne contrôle rien (rire). C’est dommage car je suis quand même en forme physiquement, que je pouvais encore donner beaucoup sur ce tournoi. Mais je ne contrôle vraiment pas les balles comme je le souhaite donc je me bats avec mon jeu, c’est moins fluide que d’habitude et moins entre mes mains aussi. J’ai vraiment fait le maximum, maintenant y a toujours des passages avec des trous énormes, des fautes qui viennent de nulle part et c’est difficile.
C’est cette fameuse balle qui, régulièrement, tous les trois mois, plombe mon jeu. Indian Wells, Miami, Toronto Cincinnati, Shenzhen, Valence et Bercy… Je pense que c’est plus dur pour moi car j’ai une approche différente : je n’aime pas rater, j’essaie toujours de trouver un rythme où je sens que je ne ferai jamais la faute, où je peux en mettre aussi quand je veux faire les points. À Shanghai, je frappais fort dans la balle, faisais très peu de fautes. Là, y a toujours une balle qui sort de 6 ou 7 mètres et du coup, j’y arrive plus et je fais des séries de fautes. Je me décale en coup droit, je n’ai plus envie de faire un revers, c’est assez bizarre.»
Des balles anti-Simon
Indian Wells, Miami, Toronto Cincinnati, Shenzhen, Valence et Bercy
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