Faut voir. L'affaire nous est présenté comme le Français qui met son impolitesse sur le compte de sa culture, mais je pense que les faits son un peu plus complexes. C'est son comportement professionnel qui est jugé et sur ce plan là, il est indéniable que l'école de l'hôtellerie à la Française à quelques spécificités. Être froid et distant avec le client est plutôt considéré comme un signe de professionnalisme chez nous, surtout dans les établissements côtés, moins ailleurs.
Quant aux rapport hiérarchique et aux rapports entre collègues, on sait qu'ils sont culturellement très durs dans les cuisines française.
Modifié en dernier par Védégé le mar. mars 27, 2018 10:16, modifié 1 fois.
Go... Where ? That's right. Go where ? Where are you gonna go ? Where are you gonna run ? Where are you gonna hide ? Nowhere. 'Cause there's no one. Like you. Left.
Je connais pas particulièrement ni l'un ni l'autre mais on va essayer... (rien d'autre à faire )
Antidépresseurs : Azafen Bergil Clédial Edronax Eskalith Istinil Minalcar Narmacil Norval Prothiaden
Tolkien : le reste (jure?)
= 15/22 (si je me suis pas trompé en vérifiant)
J'avais tenté de lire, mais je trouve le format encore beaucoup trop pratique, c'est presque lisible, inacceptable.
Je prefererais qu'il utilise un outil qui ne permet qu'un seul mot par tweet.
Go... Where ? That's right. Go where ? Where are you gonna go ? Where are you gonna run ? Where are you gonna hide ? Nowhere. 'Cause there's no one. Like you. Left.
Je viens de lire ça, c'est vraiment pas mal mais au final, le soufflé retombe dès qu'on comprend ce qui se passe. Et si twitter permet une immersion sympa au début, cela deviens ridicule sur la fin: le mec qui fait un sondage pour savoir si il regarde un cadavre à deux mètre de lui...
Mais le concept est sympa et aurait mérité plus de boulot... ainsi qu'un scénario un peu plus travaillé (au lieu d'avoir juste un début cool).
J'adore c'est mode de narration un peu émergeant se servant de plateforme inadaptée et leurs limitations et potentiels. Il devrait y avoir moyen de faire une sorte de jeu de rôle communautaire via twitter, et imaginer ce que pourrais donner du Lovecraft (souvent écrit sous forme de journal) ou un récit de l'ampleur du Dracula de Bram Stoker (extraits de journaux perso, artcile de presse, etc...) à l'échelle de twitter pourrait donner des trucs assez énormes.
Je suis d'accord avec toi sur la fin. Et puis le coup du "Je suis Charlie" version dessin sur la main... Mais il faut reconnaître qu'on a quand même envie de lire la suite pour connaître le fin mot de l'histoire. Perso ça m'emballe.
Marv a écrit :J'avais tenté de lire, mais je trouve le format encore beaucoup trop pratique, c'est presque lisible, inacceptable.
Je prefererais qu'il utilise un outil qui ne permet qu'un seul mot par tweet.
Je suppose, y a bien des gens qui ont fait des LDVELH sur Twitter.
Go... Where ? That's right. Go where ? Where are you gonna go ? Where are you gonna run ? Where are you gonna hide ? Nowhere. 'Cause there's no one. Like you. Left.
Par contre, c'est miraculeux qu'ils ne se soient pas encore fait démolir par une des brigades de la pensée unique pour leur représentation de la femme.