El Twito del día

[G.bédécarrax]

Kieros, reviens vite des chiottes

[Benedetto]

[Kieros]

Le mec voyage en seconde, c'est probablement un sous-traitant

[Syd]

Les gens ne se rendent pas compte de leur devoir de confidentialité et de secret dès qu'il sortent de leur bureau.

Le nombre de violations du secret professionnel et de fuites d'informations confidentielles que j'entends rien que le matin sur le quai de la gare, c'est hallucinant

[Ceymin]

Il s'agit d'un comportement humain qui ne peut pas être contrôlé. Le quai d'une gare reste encore un lieu relativement commun pour cela, qui entraîne des conséquences moins graves que d'autres lieux publics plus sensibles.

[Syd]

En l'occurrence, le TER entre Cannes et Menton, que tout le monde prend le matin pour aller travailler à Monaco (territoire de 2 km²) et en revenir le soir, c'est justement un endroit stratégique.

Les probabilités sont assez élevées pour qu'un concurrent, un client ou une personne mal intentionnée t'entende parler à voix haute, sache qui tu es, chez qui tu travailles et comprenne de quoi/qui tu es en train de parler. Pareil pour ceux qui y travaillent sur leur PC pro avec la luminosité bien à fond.

Ces personnes signent des contrats de travail avec des clauses et accords de confidentialité suffisamment exhaustifs, et occupent des fonctions où la violation de leurs obligations de secret professionnel sont réprimées pénalement par des peines de prison et d'amende. Et pas d'excuses pour certains, qui doivent parfois passer une certification obligatoire pour exercer où on leur rabâche ces devoirs et ces mises en garde. Théoriquement, ils n'ont même pas le droit de parler de ces infos à leur conjoint.

Refréner ce comportement humain, ça s'appelle être professionnel. Et c'est supposé se prolonger aussi jusque sur le chemin du travail, ou encore le midi lors d'une pause déjeuner à l'extérieur. Beaucoup de gens y arrive, mais beaucoup n'en sont pas capables et pourtant...

Après, ça passe évidemment plus facilement inaperçu dans une grande ville que dans une place très concentrée où beaucoup de monde se connait.

Mais pour quelqu'un qui travaille dans un secteur stratégique comme celui de l'énergie, les problématiques sont encore plus sensibles et vont au-delà de simples répercussions individuelles, c'est très grave de laisser une telle brèche ouverte vers le réseau interne d'une telle organisation.

[si-ma-tante-en-avait]

C'est pour ça que j'évite les gares. J'ai pas envie que les gens sachent que le 18 mai à 14h3... Putain !!! J'ai failli me faire avoir.

[Ceymin]

En l'occurrence, le TER entre Cannes et Menton, que tout le monde prend le matin pour aller travailler à Monaco (territoire de 2 km²) et en revenir le soir, c'est justement un endroit stratégique.

Les probabilités sont assez élevées pour qu'un concurrent, un client ou une personne mal intentionnée t'entende parler à voix haute, sache qui tu es, chez qui tu travailles et comprenne de quoi/qui tu es en train de parler. Pareil pour ceux qui y travaillent sur leur PC pro avec la luminosité bien à fond.

Ces personnes signent des contrats de travail avec des clauses et accords de confidentialité suffisamment exhaustifs, et occupent des fonctions où la violation de leurs obligations de secret professionnel sont réprimées pénalement par des peines de prison et d'amende. Et pas d'excuses pour certains, qui doivent parfois passer une certification obligatoire pour exercer où on leur rabâche ces devoirs et ces mises en garde. Théoriquement, ils n'ont même pas le droit de parler de ces infos à leur conjoint.

Refréner ce comportement humain, ça s'appelle être professionnel. Et c'est supposé se prolonger aussi jusque sur le chemin du travail, ou encore le midi lors d'une pause déjeuner à l'extérieur. Beaucoup de gens y arrive, mais beaucoup n'en sont pas capables et pourtant...

Après, ça passe évidemment plus facilement inaperçu dans une grande ville que dans une place très concentrée où beaucoup de monde se connait.

Mais pour quelqu'un qui travaille dans un secteur stratégique comme celui de l'énergie, les problématiques sont encore plus sensibles et vont au-delà de simples répercussions individuelles, c'est très grave de laisser une telle brèche ouverte vers le réseau interne d'une telle organisation.

Juridiquement, ces violations de secret professionnel sur le quai d'une gare au travers de discussions ne donnent pas lieu à des peines de prison et à des amendes car comme je le disais c'est un lieu commun. Pour obtenir une condamnation il faut prouver le préjudice c'est à dire avoir une trace de la discussion, des informations sensibles divulguées et une preuve que c'est cette discussion qui a entraîné le préjudice. Autant dire que voir le Real être éliminé ce soir a plus de chances d'arriver.
Tu sembles sensibilisé à la captation d'informations dans des lieux publics, cependant la plupart des gens ne le sont pas et même s'ils entendaient l'information ils ne sauraient qu'en faire. Je ne dis pas que le quai de gare n'est pas risqué, ni que ces personnes ne violent pas les clauses de leurs accords, je dis juste qu'un lieu public comme le quai de la gare de Cannes, à la fois bruyant par le monde et par la circulation au-dessus, est un lieu de moindre risque pour qu'une divulgation de secret se transforme en incident inter-entreprises. Au contraire je te dirais du TER entre Cannes et Menton.
Il faut aussi différencier le sujet principal de notre discussion qui est de laisser un ordinateur allumé avec des informations sensibles et une discussion sur le quai de gare. Le premier est bien sûr une violation flagrante des règles de sécurité car il peut entraîner une copie informatique ou une captation photographique de l'information, chose qui a un impact plus concret puisqu'un support visuel sera plus crédible et plus fiable pour appuyer une stratégie qu'une discussion captée à la va-vite.
Enfin, pour avoir travaillé avec des spécialistes en veille concurrentielle, je peux te dire que ce comportement ne peut pas être réfréné aussi facilement. C'est dans la nature humaine de discuter de sujets communs entre personnes, qu'ils soient professionnels ou personnels. Même en étant très professionnels le naturel revient assez vite, et c'est justement ce comportement que recherchent les veilleurs pour consolider leur travail. Je note donc qu'il est très intéressant stratégiquement de traîner sur le quai de la gare de Cannes pour obtenir toutes les informations utiles sur le marché du travail de Monaco.

[G.bédécarrax]

[Syd]

Oh bordel

Je crois qu'après ça, il vaut mieux mourir pour être tranquille

[Kobe974]

classe de faire ca avec son ordi du boulot
erreur de débutant

[Marv]

[Stilitano]

L'autre jour, en TP info, j'ai viré un élève parce qu'il avait éteint l'ordi de sa voisine pour rigoler

[Allobroge]

Nous avons ici un génie en herbe qui étudie des solutions au problèmes de nutrition engendrés par la croissance démographique mondiale et il se fait renvoyer

C'est la faute à Najat Vallaud-Belkacem #vanessaburggraf

[Marv]

Ah un fils de pute me l'avait fait a l'IUT, ca.

La blague c'etait d'enlever discretement le cable de l'ecran pour faire croire, mais evidemment sans vraie consequence. Il a fallu qu'un neuneu enleve l'alim de la tour a la place.

[PoF]

Hahahaha la mouche !

Moi j'avais balancé de rage le poisson par la fenêtre après 20 minutes à essayer de choper le nerf optique.

"TON CARNET"

[thedep]

Ah un fils de pute me l'avait fait a l'IUT, ca.

La blague c'etait d'enlever discretement le cable de l'ecran pour faire croire, mais evidemment sans vraie consequence. Il a fallu qu'un neuneu enleve l'alim de la tour a la place.

Moi j'avais un connard qui avait changé le MBR pour faire croire que le pc que j'utilisais en tp noté avait été formaté.

[si-ma-tante-en-avait]

J'ai pas eu droit à tout ça. Franchement, les trucs avec les crapauds, les expériences chimiques, on n'a jamais fait ça au collège ou au lycée. Ah oui, juste deux ou trois conneries avec des tubes à essai. Quand aux ordis, y'en avait pas. Au lycée, on nous avait fait acheter des disquettes (les anciennes, ultra plates et carrées -pas les rigides-) pour rien. On s'est retrouvés dans des cours pour taper à la machine. Ouais, je rigole pas, au lycée Victor Hugo dans les années 90, à taper sur des machines façon Hemingway.

[PoF]

Ah un fils de pute me l'avait fait a l'IUT, ca.

La blague c'etait d'enlever discretement le cable de l'ecran pour faire croire, mais evidemment sans vraie consequence. Il a fallu qu'un neuneu enleve l'alim de la tour a la place.

Moi j'avais un connard qui avait changé le MBR pour faire croire que le pc que j'utilisais en tp noté avait été formaté.

Le coup du screen du bureau et de la barre des tâches masquée en formation info, ça faisait son petit effet aussi.

[Supersonic]

J'ai pas eu droit à tout ça. Franchement, les trucs avec les crapauds, les expériences chimiques, on n'a jamais fait ça au collège ou au lycée. Ah oui, juste deux ou trois conneries avec des tubes à essai. Quand aux ordis, y'en avait pas. Au lycée, on nous avait fait acheter des disquettes (les anciennes, ultra plates et carrées -pas les rigides-) pour rien. On s'est retrouvés dans des cours pour taper à la machine. Ouais, je rigole pas, au lycée Victor Hugo dans les années 90, à taper sur des machines façon Hemingway.

SMT sur le 1er jet de son roman dans les 90's

[G.bédécarrax]

Dans la famille "dessinateur en trois lettres", je demande Düf

[thedep]

Il a du mal à dessiner les profils.

[Kobe974]

[Védégé]

[Syd]

Non mais les socquettes invisibles, pourquoi pas des bas résilles ?

[Kobe974]

Le gars fais semblant de savoir lire

[Monsieur Pourquoi]

T'as pas compris, c'est un livre de pages blanches

[Hyde]

Je vois qu'il s'est fait des petites mèches blondes moches comme Payet. En fait on est retournés en 1997 là.

[G.bédécarrax]

On croirait à une photo extraite d'un magazine de déco Roche Bobois, rubrique "Mon plug anal fait aussi table basse"

[Niko]

Ça se trouve il a du vernis au pied c'est pour ça qu'il garde ses socquettes