
Un peu frustré, surtout parce que le jury avait paumé ses notes et n'a pas pu me faire sa critique

Achete des livresAllobroge a écrit : je lis sur tablette (Nexus 7)
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Auriez vous des suggestions
C'est pas une réplique de films ça ?Taikoune a écrit :Achete des livresAllobroge a écrit : je lis sur tablette (Nexus 7)
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Je l'ai lu suite à ton message. C'est quelque choseBabyRock a écrit :
le résumé :
"Une épopée picaresque, traitant l'Holocauste avec la verve, l'ironie et l'humour noir de Fuck America... Max Schultz a les cheveux noirs, des yeux de grenouille, le nez crochu, les lèvres épaisses et les dents gâtées. Tout le monde le prend pour un Juif. Enfant bâtard, mais " aryen pur souche ", battu, violé et humilié durant son enfance, il grandit avec Itzig Finkelstein, le fils du coiffeur juif Chaim Finkelstein ; ils sont les meilleurs amis du monde. En 1932, max assiste à un discours de Hitler, en compagnie de tous ceux qui, un jour ou l'autre, ont pris un coup sur la tête, " que ce soit de Dieu ou des hommes ". Il s'enrôle alors dans les SA, puis dans les SS, où il connaît une promotion foudroyante. Durant la guerre, il est responsable d'un camp de concentration en Pologne... où disparaissent son ami et toute la famille Finkelstein. Recherché, après la guerre, comme criminel de guerre, il tente de se faire passer pour juif... et y parvient. Endossant l'identité de son ami Itzig, il devient un sioniste prosélyte, traversant l'Europe à pied pour rejoindre la Palestine, où il commence à enseigner les textes sacrés. Max Schulz n'est pas un cliché, ni un archétype du nazi : il s'inscrit chez les nazis par mimétisme et opportunisme ; c'est un homme qui devient à un moment de l'Histoire " un monstre ordinaire " et qui, après la guerre, est capable de reprendre une vie en apparence normale et " honorable "...
Un roman qui oscille en permanence entre le rire et l'horreur. Grandiose !
Cela fait un sacré paquet d'années que je n'avais pas lu un livre. Alors beaucoup d'avis positifs sur ce livre. 500 pages et honnêtement, 2/3 du livre c'est plutôt mou. J'ai lu des tas de gens parler de stress, de peur une fois le bouquin fermé mais franchement, j'ai été plutôt déçu. La fin est bonne mais une vingtaine de pages "intéressantes", c'est peu. Je rejoins ainsi l'avis de la critique diffusé dans l'émission de Paris Première, Ça balance à Paris, que l'on retrouve sur le net.D'abord, c'est une silhouette, un soir, dans la rue... Un face-à-face avec la mort.
Ensuite, c'est une présence. Le jour : à tous les carrefours. La nuit : à ton chevet. Impossible à saisir, à expliquer, à prouver.
Bientôt, une obsession. Qui vous ruine ta carrière, te sépare de tes amis, de ton amant. Te rend folle. Et seule.
Juste une ombre. Qui s'étend sur ta vie et s'en empare à jamais.
Tu lui appartiens, il est déjà trop tard..
En septembre 2012, Jeremy Duns, auteur de romans d'espionnage, découvre que, sous le couvert de pseudonymes, R. J. Ellory écrit sur internet de fausses critiques, élogieuses pour ses propres romans et négatives pour ses concurrents5. Lors de la révélation dans la presse par le Daily Telegraph, Ellory s'excuse de son comportement6.
J’arrive à ce fameux déjeuner. Godard est gai comme une porte de prison. On se serre la main. Pas un mot. Il commande une sole sèche. Sans beurre. Sans légumes.
Rien. Je suis tellement flippé que je commande pareil.
Il me parle toujours pas.
Au milieu de la sole, il murmure : « C’est pas mauvais. »
J’approuve.
J’ose pas trop le regarder avec ses grosses lunettes. Je sais que si je parle je vais dire une connerie.
A la fin du déjeuner, on a aligné six mots chacun.
Il me lance : « Bon alors, on commence dans deux semaines. »
Le film s’appelle Détective, je l’apprends par mon agent. Il ne m’explique rien. On n’a pas de script. La veille, Godard écrit ce qu’on joue le lendemain. C’est comme ça. Parfois, tu as ton texte une demi-heure avant de tourner. Il y a un maquilleur et un coiffeur, mais il interdit formellement aux acteurs d’être coiffés ou maquillés. D’ailleurs, parfois Godard n’éclairait pas non plus. Il gueulait sur Bruno Nuytten, le chef opérateur, parce qu’il y avait trop de lumière. Je me souviens que, les quinze premiers jours, on n’a pas tourné. Je m’inquiétais parce que je devais faire le Zénith un mois plus tard. Chaque jour, on venait à onze heures et Godard disait : « Il fait un temps de merde, personne n’a envie de tourner, on reviendra demain. »
On a finalement fait le film en quinze jours. J’étais gêné parce qu’il venait toujours me faire écouter les prises et il me disait : « Tu entends comme moi… » Puis il se tournait vers Claude Brasseur : « Tu vois, lui il est juste ! Toi, t’es à chier. Regarde Johnny, lui c’est un vrai pro. »
J’osais plus regarder Brasseur.
Godard choisissait quelqu’un comme ça et le persécutait. Quelqu’un de faible. Qui en souffrait.
Je ne lis plus que ça grâce à ma KOBO de Fnac. Jamais eu de pb avec la Fnac mais vu ma liseuse c'est normal.si-ma-tante-en-avait a écrit :Y a t il des gens sur OMF qui achèteraient des livres en format numérique ? (pdf ou epub) Si oui, quel site recommandé ? J'ai lu que parfois avec la fnac, les fichiers n'étaient pas compatibles avec certaines liseuses. Bon, moi je lis sur mon pc et avec ma tablette quand je suis aux chiottes.