Cinéma... Tchi Tcha !
- CarlosCKI
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Hyde qui brise la chaîne de l'humour. Étonné ? Non.
			
			
									
									
						- Hyde
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
J'ai failli la briser SMT style, en disant "ASSEZ !"
			
			
									
									"Farpaitement! Machin a raison!"
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Je déteste les vieux cons qui font ça...
			
			
									
									
						- si-ma-tante-en-avait
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Marv a écrit :HyDe. Elle s'appelle Hyde.
«Je connais bien le monde ouvrier, j’en ai licencié des milliers»  Donald Trump
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Et voilà, un autre vieux con qui brise la chaîne de l'humour.
			
			
									
									
						- Marv
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Tiens je realise que j'ai completement raté la reference Gainsbourgienne qui me tendait les bras, c'est dommage.
			
			
									
									Go... Where ? That's right. Go where ? Where are you gonna go ? Where are you gonna run ? Where are you gonna hide ? Nowhere. 'Cause there's no one. Like you. Left.
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Tu as bien fait car, même si Hyde et Juan ne seront pas d'accord, Jane Birkin est un peu blette.
			
			
									
									«Je connais bien le monde ouvrier, j’en ai licencié des milliers»  Donald Trump
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Je suis allé voir Black Panther il y a 2 jours.
Je ne connaissais pas trop l'historique du héros à la base donc je en sais pas si le film respecte le lore mis en place dans les comics (quand bien même le MCU ne se déroule pas dans le même univers, il faut que ça reste cohérent)
Le film est vraiment cool. Un peu long et vraiment pas assez organique, les CGI sont un peu trop présent et un peu grossiers parfois. L'antagoniste n'est pas un méchant unidimensionnel, ce qui est plutôt appréciable, et l'entourage de T'shala n'est pas trop envahissant tout en jouant un rôle.
Pas un grand Marvel mais quand même sympa. Meilleur et certainement moins oubliable que Spiderman Homecoming pour comparer ce qui est comparable.
			
			
									
									Je ne connaissais pas trop l'historique du héros à la base donc je en sais pas si le film respecte le lore mis en place dans les comics (quand bien même le MCU ne se déroule pas dans le même univers, il faut que ça reste cohérent)
Le film est vraiment cool. Un peu long et vraiment pas assez organique, les CGI sont un peu trop présent et un peu grossiers parfois. L'antagoniste n'est pas un méchant unidimensionnel, ce qui est plutôt appréciable, et l'entourage de T'shala n'est pas trop envahissant tout en jouant un rôle.
Pas un grand Marvel mais quand même sympa. Meilleur et certainement moins oubliable que Spiderman Homecoming pour comparer ce qui est comparable.
- Kieros
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Le 15h17 pour Paris : « L’héroïsme est la seule façon de devenir célèbre quand on n’a pas de talent. Hélas, la paix, qui est le mildiou de l’héroïsme, s’éternise en France, et je me vois mal héros ailleurs. A la rigueur, j’aurais pu faire pilote de camion-suicide au Liban, mais je n’ai pas mon permis » disait Pierre Desproges dans son éternelle clairvoyance. Le film de Eastwood résume ce moment où des hommes ordinaires voire médiocres, en quête d'héroïsme, vont s'affronter dans ce train.
Car comment être un héros quand on n'a aucune qualité physique ou intellectuelle particulière ? Dans un monde qui agite le miroir aux alouettes de la gloire et la célébrité, comment l'atteindre quand même l'armée, l’ascenseur le plus sûr vers la mort héroïque, n'apporte rien d'autre que des breloques pour décorer ses cadavres, des légions d'honneur posthumes pour les victimes ?
Le 15h17 pour Paris commence comme un film de victimes. La jeunesse des héros, ces gamins blonds et blancs, trop chétifs ou trop gros, moqués dans leur école, qui trouvent le réconfort dans les armes, pourrait tout aussi bien être celle des héros de Éléphant de Gus Van Sant. La presse de gauche a détesté le film (et c'est normal, eux ils soutenaient le terroriste lol) et cette première partie, elle est pourtant tout ce qui en fait la substance. Comment ces enfants, Spencer Stone, Alek Skarlatos et Anthony Sadler, sauveront-ils des centaines de vies quelques années plus tard, alors qu'un destin de tueurs de petites filles à Columbine semblait leur tendre les bras ? Comment Spencer Stone, qui a tout de l'Engagé Baleine, parvient-il tout de même à apprendre quelque chose de son échec de l'armée, autre chose que le suicide ? Comment des victimes peuvent devenir des héros, comment l'instinct de vie l'emporte sur l'instinct de mort, c'est le début du film. Christiques, les ressorts psychologiques des héros rappellent ceux de Hacksaw Ridge, et se trouvent développés dans la suite du film.

Eastwood filme avec bonheur Venise et Rome, présentés comme l'épicentre du Bien, de l'héroïsme occidental chrétien, et où voyagent les héros. Pour peu qu'on aime l'Italie, cette partie est un délice. "Tu te rends compte ce Colisée ?" dit Anthony à Spencer "Tu es un gladiateur, tu affrontes un lion a mains nues, t'imagines ?". Puis, voyage à Berlin, l'épicentre du Mal moderne et la visite du bunker de Hitler. "C'est pas toujours vous les américains qui sauvez le Bien. Ici c'est les russes" leur dit le guide.

Et puis enfin le voyage vers Paris, l'épicentre de euh... la couardise ? Soyons clair, le film n'épargne pas Paris, et il a peut-être raison de le faire (le film se termine sur du François Hollande, ça veut dire beaucoup), mais ça ne le rend pas moins aimable pour autant. Personnellement, je l'ai trouvé bouleversant. Peut-être était-ce pour des mauvaises raisons, des raisons non-cinématographiques, peut-être était-ce parce que nous avons vécu cette "guerre" contre le terrorisme sur notre sol dans notre temps, parce que nous avons été touchés nous-mêmes ou que nous avons des amis qui l'ont été, mais ce fut authentiquement cathartique. Je n'ai pas vécu à l'époque du Débarquement, je n'ai jamais mis les pieds à Iwo Jima, je ne connais le Vietnam que précédé d'un "made in" et mon grand-oncle qui est mort en Algérie, je ne l'ai même pas connu. Je suis né dans un pays de paix à une époque de paix, et voir pour la première fois "son" histoire de guerre à l'écran, c'est une sensation étrange - même si j'ai passé les événements contre Daesh bien au chaud comme De Gaulle quand les Jean Moulin se battaient contre les terroristes. Bref, film d'une époque, film de médiocres, film de couards, mais film de héros tout de même. Dans la "trilogie des héros" de Eastwood (American Sniper - Sully - 15h17) c'est mon préféré.
Wonder wheel : ça m'a rappelé Blue Jasmine, mais en moins finaud. Je trouve Allen sévère avec son personnage féminin principal (Kate Winslet) et au contraire, très tolérant avec son personnage masculin. Le film dit qu'il la bat "quand il est saoul", ok, mais pourquoi ne pas le montrer ? Au cinéma, la vérité passe par l'image. Belle reconstitution de Coney Island et beau film cependant, et le clin d'oeil aux Sopranos était marrant.

The Room : j'ai été invité à ce grand barnum au Grand Rex, et ne croyez pas ceux qui vous diront que c'était génial : cela ne l'était pas. Enfin, sauf si vous aimez traiter les filles de "putes" toutes les 30 secondes. Sincèrement, le Hot or Not est gentleman à côté de ce que j'ai vu ce soir-là. L'ambiance "interactive" faisait très réchauffé, la France qui se réveille 10 ans après la bataille et remet les plats. Concernant le film en lui-même - que je ne connaissais que de réputation - il y avait très longtemps que je n'avais pas vu un nanar au cinéma (la dernière fois c'était pour l’extraordinaire Doute(s), chronique d'un sentiment politique avec Christophe Barbier, un de mes meilleurs souvenir de ciné) et celui-ci valait le coup et s'est avéré très drôle - et bizarrement touchant, car le protagoniste principal, au physique de catcheur allemand, a la candeur d'un enfant de 10 ans concernant l'amour et l'amitié. 
			
			
													Car comment être un héros quand on n'a aucune qualité physique ou intellectuelle particulière ? Dans un monde qui agite le miroir aux alouettes de la gloire et la célébrité, comment l'atteindre quand même l'armée, l’ascenseur le plus sûr vers la mort héroïque, n'apporte rien d'autre que des breloques pour décorer ses cadavres, des légions d'honneur posthumes pour les victimes ?
Le 15h17 pour Paris commence comme un film de victimes. La jeunesse des héros, ces gamins blonds et blancs, trop chétifs ou trop gros, moqués dans leur école, qui trouvent le réconfort dans les armes, pourrait tout aussi bien être celle des héros de Éléphant de Gus Van Sant. La presse de gauche a détesté le film (et c'est normal, eux ils soutenaient le terroriste lol) et cette première partie, elle est pourtant tout ce qui en fait la substance. Comment ces enfants, Spencer Stone, Alek Skarlatos et Anthony Sadler, sauveront-ils des centaines de vies quelques années plus tard, alors qu'un destin de tueurs de petites filles à Columbine semblait leur tendre les bras ? Comment Spencer Stone, qui a tout de l'Engagé Baleine, parvient-il tout de même à apprendre quelque chose de son échec de l'armée, autre chose que le suicide ? Comment des victimes peuvent devenir des héros, comment l'instinct de vie l'emporte sur l'instinct de mort, c'est le début du film. Christiques, les ressorts psychologiques des héros rappellent ceux de Hacksaw Ridge, et se trouvent développés dans la suite du film.

Eastwood filme avec bonheur Venise et Rome, présentés comme l'épicentre du Bien, de l'héroïsme occidental chrétien, et où voyagent les héros. Pour peu qu'on aime l'Italie, cette partie est un délice. "Tu te rends compte ce Colisée ?" dit Anthony à Spencer "Tu es un gladiateur, tu affrontes un lion a mains nues, t'imagines ?". Puis, voyage à Berlin, l'épicentre du Mal moderne et la visite du bunker de Hitler. "C'est pas toujours vous les américains qui sauvez le Bien. Ici c'est les russes" leur dit le guide.

Et puis enfin le voyage vers Paris, l'épicentre de euh... la couardise ? Soyons clair, le film n'épargne pas Paris, et il a peut-être raison de le faire (le film se termine sur du François Hollande, ça veut dire beaucoup), mais ça ne le rend pas moins aimable pour autant. Personnellement, je l'ai trouvé bouleversant. Peut-être était-ce pour des mauvaises raisons, des raisons non-cinématographiques, peut-être était-ce parce que nous avons vécu cette "guerre" contre le terrorisme sur notre sol dans notre temps, parce que nous avons été touchés nous-mêmes ou que nous avons des amis qui l'ont été, mais ce fut authentiquement cathartique. Je n'ai pas vécu à l'époque du Débarquement, je n'ai jamais mis les pieds à Iwo Jima, je ne connais le Vietnam que précédé d'un "made in" et mon grand-oncle qui est mort en Algérie, je ne l'ai même pas connu. Je suis né dans un pays de paix à une époque de paix, et voir pour la première fois "son" histoire de guerre à l'écran, c'est une sensation étrange - même si j'ai passé les événements contre Daesh bien au chaud comme De Gaulle quand les Jean Moulin se battaient contre les terroristes. Bref, film d'une époque, film de médiocres, film de couards, mais film de héros tout de même. Dans la "trilogie des héros" de Eastwood (American Sniper - Sully - 15h17) c'est mon préféré.
Wonder wheel : ça m'a rappelé Blue Jasmine, mais en moins finaud. Je trouve Allen sévère avec son personnage féminin principal (Kate Winslet) et au contraire, très tolérant avec son personnage masculin. Le film dit qu'il la bat "quand il est saoul", ok, mais pourquoi ne pas le montrer ? Au cinéma, la vérité passe par l'image. Belle reconstitution de Coney Island et beau film cependant, et le clin d'oeil aux Sopranos était marrant.

The Room : j'ai été invité à ce grand barnum au Grand Rex, et ne croyez pas ceux qui vous diront que c'était génial : cela ne l'était pas. Enfin, sauf si vous aimez traiter les filles de "putes" toutes les 30 secondes. Sincèrement, le Hot or Not est gentleman à côté de ce que j'ai vu ce soir-là. L'ambiance "interactive" faisait très réchauffé, la France qui se réveille 10 ans après la bataille et remet les plats. Concernant le film en lui-même - que je ne connaissais que de réputation - il y avait très longtemps que je n'avais pas vu un nanar au cinéma (la dernière fois c'était pour l’extraordinaire Doute(s), chronique d'un sentiment politique avec Christophe Barbier, un de mes meilleurs souvenir de ciné) et celui-ci valait le coup et s'est avéré très drôle - et bizarrement touchant, car le protagoniste principal, au physique de catcheur allemand, a la candeur d'un enfant de 10 ans concernant l'amour et l'amitié.
					Modifié en dernier par Kieros le dim. févr. 18, 2018 20:33, modifié 14 fois.
									
			
									
						- urba
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Très joli CR sur 15h17  
			
			
									
									«Je connais bien le monde ouvrier, j’en ai licencié des milliers»  Donald Trump
						- si-ma-tante-en-avait
 - Anigo : On sait pas comment mais t'es toujours là
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Je n'irai voir aucun de ces films. En espérant que cela ne mette pas un terme à notre """amitié""".
			
			
									
									
						- Kieros
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Pas de souci  
 Quand France 2 m'interviewera suite à ton acte "d'héroïsme", je leur raconterai que tu ne disais jamais bonjour et que tu avais refusé de voir ce film patriotique. 
 
urba >
			
			
									
									
						urba >
- 
				Doumé
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Je ne vais plus guère au cinéma mais je ne rate jamais un nouveau Clint. Les critiques dans la presse étaient tellement atroces que j'avais l'impression d'être revenu au temps où l'intelligentsia germanopratine déversait son fiel sur l'infréquentable Dirty Harry. Je l'ai donc vu mercredi soir et je partage entièrement ton ressenti,  mon cher Kieros. Ce moment de pure tension dans la scène du Thalys... un frisson dans la nuit  
 
Kieros, ma descendance dit que tu es une personne de qualité. Elle a raison
			
			
									
									Kieros, ma descendance dit que tu es une personne de qualité. Elle a raison
Doumé du Grand Corsica Racing Rektal Team, ça fait bander non ?
						- si-ma-tante-en-avait
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Vas-y Kieros, balance ton adresse. Y'a moyen qu'il t'envoie du saucisson d'âne.
			
			
									
									
						- Kieros
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Je te retourne le compliment, et suis heureux de pouvoir partager la joie d’avoir aimé ce film avec un homme de ta qualité, mon cher Doumé
SMT :
N’as-tu toujours pas appris que le Corse aime son âne et ne le mange pas ?
- CarlosCKI
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
J'ai lu 
			
			
									
									
						J'étais pas serein.Kieros a écrit :N’as-tu toujours pas appris que le Carlos aime son âne et ne le mange pas ?
- Martin
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Révélé en 1995 dans La Haine de Mathieu Kassovitz, Saïd Taghmaoui se fait très rare en France. À 44 ans, le comédien poursuit désormais sa carrière aux États-Unis où il vit un rêve éveillé sur les tournages des plus grosses productions américaines comme G.I. Joe, le réveil du cobra, Batman vs Superman : L’Aube de la justice ou encore Wonder Woman.
Même si Hollywood l’a accueilli à bras ouverts, Saïd Taghmaoui a toujours un regret : ne pas avoir pu poursuivre sa carrière dans le cinéma français. L’acteur, très amer, assure qu’on ne lui a pas donné sa chance. De parents marocains et issu d’une cité à Aulnay-sous-Bois, le comédien affirme même avoir été boudé en raison de ses origines.
Dans une interview accordée à Yahoo, il a expliqué que dans le casting de La Haine, seul Vincent Cassel avait la chance de poursuivre son chemin. « Vincent Cassel est le fils de Jean-Pierre Cassel, qui était une vraie star de cinéma. Et on sait à quel point ça peut aider dans la vie, avec tout le respect que j’ai pour Vincent Cassel et son talent d’acteur et sa carrière. Ce ne sont pas les mêmes départs », a-t-il confié. « Je n’ai pas eu de propositions dignes d’un acteur qui avait fait un succès au cinéma et qui parlait de la réalité sociale française avec une grande vérité et une grande honnêteté », a déploré Saïd Taghmaoui. Et d’ajouter qu’à ses yeux dans le cinéma français il y avait « beaucoup de copinage » et surtout beaucoup de clichés.
« Il faut être le guignol de service ou alors être le black préféré des Français. Ça veut dire quoi ça ? Il y a Omar Sy, mais avant ça, il y en avait un autre et il y aura un autre, a poursuivi Saïd Taghmaoui, très remonté. Pourquoi tout le monde n’aurait pas sa chance ? Pourquoi ne peut-on pas être Omar Sharif et être un acteur qui vend du glamour, du rêve comme tout le monde ? Pourquoi faut-il une forme d’handicap en permanence ? Je pense que le talent n’a pas de forme, il n’a pas de couleur ni d’origine. »
Alors qu’il aurait « adoré » faire carrière en France, Saïd Taghmaoui a donc préféré ne pas perdre de temps et s’installer à Los Angeles. « J’ai été apprendre une langue et une autre culture. J’ai été recommencer tout à zéro », a déclaré le comédien. Ironie de l’histoire, il a avoué recevoir désormais « beaucoup de propositions » en France, mais il « attend de faire les bons trucs ».
- Kieros
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Ce n'est évidemment pas faux ce qu'il dit, mais n'oublions pas l'essentiel : il aurait peut-être pu faire carrière si il avait du talent. Il cite Omar Sharif, mais il n'arrive même pas à la cheville de son chameau. Omar Sharif jouait les premiers rôles à Hollywood, lui n'incarne que les arabes de service.
			
			
									
									
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				Doumé
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Dirty Kieros  
			
			
									
									Doumé du Grand Corsica Racing Rektal Team, ça fait bander non ?
						- Kieros
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Les pleurnichards chercheurs d'excuses, ça m'insupporte.  
			
			
									
									
						- Martin
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Certes Kieros, vu sous cet angle  
Je ne connais pas assez sa carrière pour en parler, et j'en ai même rien à faire. Je me suis dit que l'essentiel était plutôt dans ce qu'il disait (qui, comme tu le reconnais aussi, n'est pas faux
 ).
			
			
									
									
						Je ne connais pas assez sa carrière pour en parler, et j'en ai même rien à faire. Je me suis dit que l'essentiel était plutôt dans ce qu'il disait (qui, comme tu le reconnais aussi, n'est pas faux
- Kieros
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
N'empêche le "chef, j'ai glissé", il t'avait bien fait rire.
			
			
									
									
						- Kieros
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Tu confonds pas avec Jamel Debouzze ?
			
			
									
									
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Beau texteLe 15h17 pour Paris

