Cinéma... Tchi Tcha !

[Oazar]

<!--QuoteBegin-ZeroZero de Nogaro+May 21 2005, 02:45 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (ZeroZero de Nogaro @ May 21 2005, 02:45 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Les sentiers de la perdition, génial [/quote]
ouai, bien sympathique


hier j'ai vu "C'est arrivée pres de chez vous" ... ms ou va t'il chercher tout ca poolvorde ???

[malachi]

<!--QuoteBegin-ZeroZero de Nogaro+May 21 2005, 03:45 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (ZeroZero de Nogaro @ May 21 2005, 03:45 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Les sentiers de la perdition, génial [/quote]
Excellent, surtout la scène sous la pluie la nuit

[Alex677]

le seul film qui m'a fait verser une chtite larme

[beyonder]

Dommage que Tom Hanks soit aussi économe dans son jeu. Une belle erreur de casting au vu de la bd originale.

[ZeroZero13]

Beyonder il aime autant Tom Hanks que Mido

[beyonder]

Même pas vrai d'abord
J'ai adoré le Tom Hanks d'avant ses deux oscars, à l'époque où il ne se la pétait pas best actor ever. Il était très bon dans philadelphia. Et je l'ai trouvé très touchant dans Big. Ensuite, il a cessé de prendre des risques et s'est contenté de nous ressortir le même numéro. Je fais une parenthèse pour lady killers où il m'a vraiment fait marrer. Et pour preuve que je ne le déteste pas, Tom Hanks joue dans un de mes films préférés.



A recommander très très chaudement les soirs de déprime

[Niko]

Ben gang de requin c'est pas génial

[Jairome]

Les sentiers de la perdition...

Mouais, pas mal, mais je l'ai trouvé beaucoup trop conventionnel pour le définir comme un très bon film.

A part ca, super Paul Newman mais Tom Hanks jl'aime pô lui

[bad boy]

<!--QuoteBegin-Jairome38S de Port Barcarès+May 23 2005, 11:14 AM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Jairome38S de Port Barcarès @ May 23 2005, 11:14 AM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> (...) mais Tom Hanks jl'aime pô lui [/quote]
bienvenu au club mais prépare toi à une volée de bois vert pour oser parler en mal de cet acteur "fétiche" (et totalement sur-évalué) des critiques

il a le charisme d'une huitre malade et la platitude de son jeu me rappelle une limande ..... bref, il serait bon dans 20.000 lieues sous les mers

[Jules]

J'viens de voir Les Diaboliques de Clouzot, tout simplement mythique

Juste une question pour ceux qui ont vu le film (les autres ne lisez pas ) : c'est l'épouse Delasalle qui les piège ou est-elle vraiment morte ?

Vous saviez que Vera Clouzot ( ) qui interprète l'épouse était morte 6 ans après le film... d'un arrêt cardiaque ?

[Le Vieux Buk]

Dis-moi Jules, tu ne souffrirais pas d'une ZeroZerotreizite, par hasard ???



elle fait peur la scène de la baignoire, hein ?

[Jules]

<!--QuoteBegin-Le vieux Bouc de Tobrouk+May 26 2005, 11:03 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Le vieux Bouc de Tobrouk @ May 26 2005, 11:03 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin-->elle fait peur la scène de la baignoire, hein ? [/quote]
J'avoue Assez mythique comme scène :shake:

Mais j'ai eu un doute à la fin, car le gosse dit qu'il a vu la directrice... comme il l'avait fait pour le directeur Mais étant donné qu'il est mythomane... Pourrais tu éclairer ma lanterne steuplait Elle les as piégé avec l'aide du comissaire ou est-elle vraiment morte ?

J'ai lu sur Allociné ( wé wé chacun ses références ) que Johnny Halliday joue le rôle d'un p'tit garçon, ainsi qu'un autre qui sera le héros dans "Jeux interdits" ! Hitchcock voulait acheter les droits du bouquin dont est adapté le film, il s'est fait coiffer sur le fil par Clouzot ! Mais les auteurs se sont rattrapés en lui écrivant... "Sueurs Froides"

Ca te fait pas halluciner que Vera Clouzot ( ) soit morte d'une crise cardiaque ?

[Jules]

<!--QuoteBegin-Le vieux Bouc de Tobrouk+May 26 2005, 11:03 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Le vieux Bouc de Tobrouk @ May 26 2005, 11:03 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin-->Dis-moi Jules, tu ne souffrirais pas d'une ZeroZerotreizite, par hasard ???
[/quote]
<span style='font-size:8pt;line-height:100%'>J'ai (re)vu M le Maudit aussi </span>

J'ai eu beau cherché le "regard lucide sur l'Allemagne de Weimar en proie à la crise et à la montée du nazisme", j'ai po trouvé C'est Lang lui-même qui l'a déclaré ou les critiques qui ont voulu donner, postérieurement, ce sens au film ?

[Le Vieux Buk]

1) ben il me semble qu'elle meurt tout à fait, non ?? (ce qui en dit long sur la nullité du commissaire, d'ailleurs )

2) quand même, M le maudit, déjà, ça annonce le côté "il y a un monstre à visage humain parmi nous, qu'on ne peut pas distinguer d'un autre"... et je pense qu'il y a plus, mais j'ose pas balancer de conneries parce que j'ai vu ce film il y a super longtemps

[Le Vieux Buk]

<!--QuoteBegin-Beyonder de Honfleur+May 21 2005, 11:28 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Beyonder de Honfleur @ May 21 2005, 11:28 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> J'ai adoré le Tom Hanks d'avant ses deux oscars, à l'époque où il ne se la pétait pas best actor ever. Il était très bon dans philadelphia. Et je l'ai trouvé très touchant dans Big. [/quote]
énorme


c'est exactement la période où je pouvais pas le voir en peinture, Big, Philadelphia, etc... et alors, "Big", je déteste au-delà du possible.

J'e l'ai détesté dans Forrest Gump, aussi (Gary Sinise, là, oui, en v'là un bon acteur dans Forrest Gump )


Par contre, dans "La ligne verte", "Seul au monde", "Ladykillers"... j'aime bien.

[Le Vieux Buk]

<!--QuoteBegin-Jairome38S de Port Barcarès+May 21 2005, 04:40 AM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Jairome38S de Port Barcarès @ May 21 2005, 04:40 AM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin-->Et contrairement a Buk, qui a dit plus tôt qu'il ne fallait pas chercher à comprendre, je ne suis pas d'accord.
Je crois qu'après une longue reflexion sur tout les détails du film, il y a une possibilité de trouver un fil conducteur.[/quote]
un fil conducteur oui.

une histoire cohérente et dans le schéma linéaire classique de la fiction, NON.


C'est en cela que ça relève (je le répète ) du langage figuratif, de la "dialectique onirique",
pour oser un terme ultra-pédant et naze ( Buk )

[Le Vieux Buk]

<!--QuoteBegin-urba de casablanca+May 20 2005, 11:26 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (urba de casablanca @ May 20 2005, 11:26 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> J'ai adoré

Urba, sobre mais efficace [/quote]
moi aussi, j'ai adoré "Arnaque..."

et j'ai préféré ça à "Snatch", perso

[Le Vieux Buk]

bon, je continue ma vague de réponses successives, FrenchChris Staïle




<!--QuoteBegin-Beyonder de Honfleur+May 19 2005, 10:57 AM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Beyonder de Honfleur @ May 19 2005, 10:57 AM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin-->Barfly dans lequel il campe un Bukowsky plus vrai que nature.[/quote]


quel film fabuleux !!!!

quelle immense Faye Dunaway, aussi

et c'est vrai que Rourke y est allé fort, dans l'autodestruction

[Jairome]

<!--QuoteBegin-Le vieux Bouc de Tobrouk+May 27 2005, 10:14 AM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Le vieux Bouc de Tobrouk @ May 27 2005, 10:14 AM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> <!--QuoteBegin-Jairome38S de Port Barcarès+May 21 2005, 04:40 AM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Jairome38S de Port Barcarès @ May 21 2005, 04:40 AM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin-->Et contrairement a Buk, qui a dit plus tôt qu'il ne fallait pas chercher à comprendre, je ne suis pas d'accord.
Je crois qu'après une longue reflexion sur tout les détails du film, il y a une possibilité de trouver un fil conducteur.[/quote]
un fil conducteur oui.

une histoire cohérente et dans le schéma linéaire classique de la fiction, NON.


C'est en cela que ça relève (je le répète ) du langage figuratif, de la "dialectique onirique",
pour oser un terme ultra-pédant et naze ( Buk ) [/quote]
On est à peu près d'accord

[beyonder]

J'ai attendu que l'effervescence retombe un chouilla pour y aller. L'essentiel est sauf puisque ROTS assure une transition correcte avec le premier épisode de la trilogie initiale.
Le degré de satisfaction varie ensuite selon les thèmes du film abordés qui délivrent la franche impression d'être inégaux dans la qualité de leur traitement. La faute à l'immaturité chronique de Lucas qui s'avère toujours incapable de prendre du recul avec son sujet(la force, le côté obscur..) tout ça finit par prendre des airs de parodie.
Les plans d'effets visuels tels que ceux de Coruscant sont d'une beauté sidérante et crédibilisent cet autre univers, Lucas parvient à nous y amener pour de vrai. De la même façon, le plan séquence du début et ce panorama sur la bataille est à couper le souffle. D'ailleurs, les effets spéciaux semblent moins tape-à-l'oeil que dans les deux précédents volets. Là, les fx sont au service de l'histoire et non l'inverse.
L'autre bon point, c'est cette pression qui grimpe crescendo à mesure que l'avènement de Dark Vador devient inéluctable. Les plans contemplatifs où les personnages s'interrogent face à leur destin. Le score de John Williams donne des frissons, notamment lors de la séquence sur le code 66.
Maintenant pour revenir aux critiques, et notamment aux scènes qui le font pas (comme disent les jeun's), la confrontation Palpatine/Windu est un condensé des pires tares du film. Le jeu de McDiarmid est atroce et voir Jackson balancé dans le cosmos comme un toon est consternant. Dans la série des morts merdiques, celle de Dooku se pose là. La révélation de Palpatine à Anakin est très Santa Barbara, à les voir se tourner autour comme deux chiens en rut, on se demande s'ils vont finir par se renifler le cul. Et quand Anakin jure allégeance à l'Empereur, en lui disant " je ferai tout ce que vous voudrez." Il est à genoux, la tête au niveau de sa taille et l'Empeureur soupire un " OUIII" qui a fait ricaner dans la salle. Franchement, c'est quoi de l'humour à double lecture façon Disney ?
Padmé passe son temps à larmoyer, à se demander de qui Leia peut bien tenir son caractère. Je passe sur Yoda qui se débine comme un veul, sur le jeu monolitique de Jackson et Christensen qui ne m'aura jamais convaincu. Seul McGregor tire à mes yeux son épingle du jeu avec son humour à froid très british. Il incarne le Jedi dans toute sa plendeur, avec la bravoure et la loyauté propre à son rang. Le fait qu'il n'ait pas tué Anakin alors qu'il était à sa portée, ajoute à sa culpabilité de l'avoir formé et laissé glisser du côté obscur.
La chorégraphie des combats est plus soignée même si le rendu est toujours médiocre à cause d'une réalisation pas très inspirée. Et l'affrontement final entre le maître et son élève comporte hélas toujours autant de rebondissements improbables et sauts en cgi.
Reste le plan final avec Luke dans les bras de sa mère adoptive, à l'aube d'une nouvelle ère face à un coucher de soleil qui apporte un magnifique épilogue.

[Le Vieux Buk]

<!--QuoteBegin-Beyonder de Honfleur+May 29 2005, 11:03 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Beyonder de Honfleur @ May 29 2005, 11:03 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Le score de John Williams donne des frissons, notamment lors de la séquence sur le code 66. [/quote]
la séquence d'exécution du order 66 est effectivement celle qui est la plus émouvante, à mon goût...


mais par contre je trouve le score de John Williams consternant le reste du film, et notamment catastrophique lors du Duel final, qui méritait beaucoup mieux.

La musique à la fin du Retour du Jedi (quand Luke manque passer du côté obscur après qu'on a menacé sa soeur) eût été de bien bien meilleur aloi, je pense

[beyonder]

Vu hier en vo dans une salle remplie d'amerloques, le film loin d'être ennuyeux ne m'a jamais donné le sentiment de fonctionner. La faute à une réalisation qui tente vainement de combler par des effets d'esbrouffe les lacunes d'un scénario approximatif. Caméra à l'épaule, Ridley nous ressort les ingrédients de Gladiator, sans inover ni prendre le moindre risque. Ses scènes de batailles ne valent pas celle de Braveheart ni même celle de Jeanne d'Arc. Ce côté, je filme 1000 figurants que je multiplie par ordinateur en veillant à balancer quelques gerbes de sang en gros plan, ne suffit pas à délivrer un souffle épique. Reste de belles images de paysage et de Jérusalem, telles des cartes postales qui atténue à peine la frustration du spectateur.
L'évolution du personnage de Bloom n'est pas crédible, les aléas de son parcours sont trop gros pour être gobés et sa personnalité est trop lisse pour susciter de l'intérêt. On dirait oui-oui à la guerre, son manque de charisme est d'autant plus criant qu'on lui oppose une gallerie d'acteurs immenses qui lui bouffent la laine sur le dos. Même Norton sous son masque pète mille coudées au-dessus.
Je passe sur l'histoire d'amour aussi grotesque qu'inutile, (surtout que Scott nous fait même pas la grâce d'une petite scène de cul) pour revenir sur la symbolique bien lourdingue du film. L'apologie de la diplomatie selon Ridley Scott se résume à humilier un personnage belliqueux pour ensuite nous faire croire qu'un siège de plusieurs jours, une bataille qui a causé des milliers de morts, peut se résoudre en trois minutes chrono par deux hommes sous une tente. Tout le monde applaudit, satisfait de l'issue improbable de cette confrontation. C'était tellement simple qu'il suffisait d'y penser. Et c'est tout kingdom of heaven qui fonctionne comme ça, à peine un problème est-il évoqué, que le film s'empresse de le résoudre.
C'est sans doute la raison pour laquelle, je ne me suis pas senti concerné par la vision caricaturale de cette période. Scott persiste à diviser l'humanité entre bons et méchants et son manichéisme puéril agace d'autant plus, qu'il se permet d'établir une passerelle entre cette période et la situation actuelle en Israël.
A voir pour les qualités techniques du film et pour (Irons, Norton, Neeson et Massoud)

[Squal]

<!--QuoteBegin-Beyonder de Honfleur+May 29 2005, 11:03 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Beyonder de Honfleur @ May 29 2005, 11:03 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> La révélation de Palpatine à Anakin est très Santa Barbara, à les voir se tourner autour comme deux chiens en rut, on se demande s'ils vont finir par se renifler le cul. Et quand Anakin jure allégeance à l'Empereur, en lui disant " je ferai tout ce que vous voudrez." Il est à genoux, la tête au niveau de sa taille et l'Empeureur soupire un " OUIII" qui a fait ricaner dans la salle. Franchement, c'est quoi de l'humour à double lecture façon Disney ? [/quote]
je l'ai vu hier et je me suis dit pareil....un peu déçu sur la dérive vers le coté obscur d'anakin tout ça pour sauver sa femme d'une vision, mwé, bof... j'aurais plus vu une accumulation de colère et déception, là ça se fait un peu à la va vite...
sinon, des scènes grandioses et un sacré final

[Jairome]

Bien sympathique ce road movie façon Daltons, dans le Mississippi des années 30.

[Jairome]

Et quelle B.O.

Je ne m'y connais pas bien en Ballades folk et country mais ca m'a vraiment donné l'envie de connaître quelques morceaux

[marcelo]

SW3 ROTS m'a posé un problème sur la fin, à vrai dire...
Je ne sais pas si vous avez fait le lien, mais on apprend seulement dans l'épisode 6 que Leïa est la soeur de Luke (on 'en doute un peu au fil des évènements quand même ) et donc qu'Anakin avait engendré des jumeaux.... me trompe-je
Dans ce foutu épisode 3, ils balancent tout : l'accouchement par un droïde ridiculement immonde, le fait qu'il y a 2 gosses, qu'un s'appelle Leïa et que l'autre s'appelle Luke, qu'ils vont être séparés pour ne pas être retrouvés par l'Empereur, que la mère meurt etc...
Ils n'auraient pas pu éviter de montrer l'accouchement ou du moins éviter de dire qu'il y avait un garçon et une fille ?? Juste dire "elle accouche, (bah c'est des jumeaux ) , elle est morte" ça aurait suffit
Ca tue toute "l'intrigue" qu'il pouvait y avoir dans les épisodes 4, 5 et 6
En se mattant les 2 trilogies d'affilé, on sait direct que la schtroumphette avec ses galettes sur les oreilles, c'est la soeur de Luke Perso j'men fout, car j'ai déja vu ces films plusieurs fois, mais c'est un cruel manque de logique dnas l'intrigue :vieux:

[Squal]

ha tient c'st pas bete ça...


mais en meme temps, meme si c'est l'épisode 3, il est servit en dernier donc...

[beyonder]

Disons que Lucas a spoilé toutes les intrigues pour les futures générations. C'est du sabotage ou je m'y connais pas.

[Squal]

oui mais bon, les futures générations, elles vont commencer par le 1, 2 et 3...et ça va etre un sacré choc quand elles vont enchainer avec le 4, 5 et 6...avec les films a effets spéciaux de ouf qu'ils voyent aujourd'hui, je crois qu'ils vont avoir du mal à s'éblouir pour la suite tellement y'a un gouffre avec les 3 premiers...

[beyonder]

Ouais et ben, bien fait pour leur gueule. Elles avaient qu'à naître avant, les futures générations.

Bon, je suis allé voir Sin City.

Lorsque j'avais lu l'oeuvre de Franck Miller il y a quelque années, je me rappelle n'avoir éprouvé aucune émotion. L'expérience Sin City n'avait été rien de plus qu'une embardée sans retour d'une maitrise graphique rare. Impossible de faire preuve d'empathie à l'égard des personnages, sans doute trop tributaires de l'univers dans lequel ils existent.

C'est donc sans surprise que le film de Rodriguez ne m'a pas touché, puisque c'est la plus grosse critique qui revient. Mais il parvient quand même à tenir ses promesses dans la mesure où il retranscrit l'oeuvre de Miller à la perfection. Chaque plan est une composition parfaite de Sin City, d'une loyauté à couper le souffle (faut voir la pluie tomber sur Marv ou Hartigan dans sa cellule), le montage survolté va jusqu'à évoquer le cadrage de la bande-dessinée et les voix off des comédiens, Rourke en tête, (à voir absolument en v.o. !!) apportent cette petite touche de fatalisme, de cynisme cruel qui rappelle les meilleurs polars noirs de la vieille époque.

Sin City, c'est une véritable déclaration d'amour avec de grands acteurs acteurs impliqués dans un projet donné à cent contre un. Des scènes cultes qui imprègnent la rétine et des images qui reviennent longtemps après la projection comme des flash subliminaux. Le thème musical de Rodriguez en dit long sur les intentions du réalisateur. On embarque dès le générique pour un trip ultraviolent qui ne se prend pas au sérieux. Pour le reste, difficile de m'étendre, je ne suis pas un geek. Mon plaisir de profane se borne à une mise en scène d'une virtuosité époustouflante. Du gore, de vrais salauds, de jolies filles avec du cran, des flingues et des course-poursuites en bagnole.

Bref, du bonheur tout plein.