J'ai également un souvenir très particulier de cette histoire. Je suis fasciné par les tueurs en série et les grosses affaires criminelles. Essayer de comprendre la complexité de ces mecs là et ce qui leur passe par la tête, analyser les modes opératoires ect ect... Pourtant je déteste tout ce qui est psychologie ou sociologie.
Et depuis tout jeune en fait, je m’intéresse ça cela soit à travers des livres soit à travers des émissions. Et l'une des premières histoires dont mes parents m'ont parlé c'est cette histoire du petit Gregory. Et je me souviens avoir vu un reportage très marquant où l'on entendait la voix du corbeau qui harcelait la famille et je me souviens que ça me glaçait totalement le sang et rien que de me remémorer ça, j'ai des frissons
Tu dois avoir toute la collection des Détectives. Je peux pas m'empêcher de lire les unes à chaque fois que je vais acheter mon journal (oui ici ils vendent aussi la revue). Dernièrement, il y avait le dessin d'un enfant en laisse.
Ça n'en finit plus ce scandale de la viande...
C'est du poulet à la place du cheval maintenant.
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".