Cinéma... Tchi Tcha !
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Après, l'exercice du crossover est un des grands trucs des comics, tout de même, et réunir Batman et Superman n'est pas contre-nature. Si opportunité il y a (avait, vu le gadin que le film vient de se prendre en deuxième semaine), c'est celle d'installer au plus vite le DCverse au cinéma sans poser tous plein de jalons façon Marvel. Ca semble mal barré pour eux, toutefois.
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Tout à fait, il y a beaucoup d'immersions respectives entre les univers des comics. Mais je préfère justement quand cela reste dans les comics parce qu'on y trouve/garde une authenticité que je ne retrouve pas lorsque c'est transposé au cinéma, où je ne vois qu'une tentative marketing géante 

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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Au contraire du comic ? 

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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Je ne me suis certainement pas suffisamment maître comics, c'est l'impression que j'ai en tout cas. Si jamais elle ne plaît pas à quelqu'un ici, eh bien, sauf son respect, il peut toujours lécher mes énormes couilles velues 

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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
OMG, je veux absolument voir ce film
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !



"[...] n'importe quel leader, s'il devrait décrire sa responsabilité en une phrase, sa fonction est d'éviter que ceux qui sont sous sa conduite plient face à l'adversité, cette équipe a dû affronter une avalanche, une infinité d'adversités, je n'ai pas réussi à ce qu'ils résistent, la responsabilité est mienne."
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Chouette interview de Christian Clavier, qui démarre d'une façon surréaliste pour se révéler passionnante.
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Cinéma... Tchi Tcha !
J'ai été poussé par ma copine voir God of Egypt
Ma réaction est plutôt bonne : de belles images, une histoire somme toute correcte des acteurs très bon de l'humour bref j'ai largement préfèré ce film a la bouse Batman ! Je vous le recommande
Ma réaction est plutôt bonne : de belles images, une histoire somme toute correcte des acteurs très bon de l'humour bref j'ai largement préfèré ce film a la bouse Batman ! Je vous le recommande

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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Le début me rappelle certains de mes entretiens de thèse avec les gens les plus prétentieux du mondeG.bédécarrax a écrit :Chouette interview de Christian Clavier, qui démarre d'une façon surréaliste pour se révéler passionnante.

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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Clavier est embarassant, mais le journaliste est nul, nul de chez nul, niveau Pascal Praud
Quelque part je comprends que Clavier se foute de sa gueule (en même temps c'est Première, le jour où ils parleront ciné et pas people...)

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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Une belle interview de Jeff Nichols sur Télérama (dont le dernier film, Midnight Special, est très OMForum Junior compatible)
Pour son quatrième film, le jeune réalisateur américain Jeff Nichols combine les codes du film de SF et l'histoire intime d'un père et de son fils. Il livre un beau film déroutant, mariant effets spectaculaires et délicatesse des sentiments. Rencontre.
Après Shotgun Stories, Take Shelter et Mud, le réalisateur américain Jeff Nichols, 38 ans, réinvente le film de science-fiction, entre hommage affectueux au film de genre, road movie anxieux, et méditation sur l'amour familial. De passage à Paris, il a accepté de nous en parler.
Pourquoi avoir choisi de faire un film de science-fiction ?
Au départ, j'avais juste une image en tête : deux hommes en voiture, roulant dans la nuit, tous feux éteints et à pleine vitesse, sur une route du sud américain. Une ambiance, quelque chose d'énigmatique, de sombre, qui m'a en quelque sorte tiré vers la science-fiction. Mais pour raconter quoi ? Je n'en avais pas la moindre idée. Et puis, j’ai « installé » un petit garçon sur le siège arrière, et les choses ont commencé à se préciser : la cavale d’un père et de son enfant doté d'étranges pouvoirs, lancés dans une quête. Un histoire qui mêlerait une approche intime, personnelle, au film de genre. Pour moi, le genre fonctionne un peu comme un cheval de Troie, ou comme la capsule qui contient le poison, si vous préférez. J’y mets ce qui, dans ma vie, m’émeut, ce qui me taraude et me hante. La combinaison m’intéresse. Si je faisais juste un drame psychologique de plus, peut-être que personne n’aurait envie de le voir. Mais si, à l’inverse, je m’en tenais strictement aux codes de la science-fiction, mon film risquerait d'être creux, superficiel. Les deux s’équilibrent, se complètent, permettent de subvertir les clichés. Le personnage d’Adam Driver, par exemple, l’enquêteur du FBI qui poursuit les fugitifs, ne passerait pas du tout dans un drame « sérieux » : il aurait l’air trop ballot, trop caricatural. Mais dans le cadre du genre – et même du sous-genre « film d'enquête fédérale » – je peux jouer avec l'archétype du flic, le rendre crédible, original.
Vous jouez aussi avec les codes du genre dans la construction, très elliptique, voire déroutante, de votre récit…
Les spectateurs sont malins, ils repèrent d’emblée les catégories de personnages, anticipent les situations… J’avais envie d’utiliser cette perspicacité contre eux, pour mieux les désorienter, les bluffer. Dès le début de Midnight Special : un kidnapping, c’est grave, c’est un crime, évident. Mais dès qu’on voit le ravisseur parler tendrement à l’enfant, on s’aperçoit que c’est bien plus compliqué que ça. L’homme est son père, alors les gens se disent : « ah bon, finalement, c’est lui, le gentil ». Et puis, trois scènes plus tard, les fuyards tirent sur un policier. Même si leurs intentions sont bonnes, ils peuvent aussi être dangereux. Le public ne sait pas où il va, ni pourquoi. Ces ambiguïtés, cette tension, c'est essentiel pour moi, c'est ce qui fait toute la puissance d'une histoire. C'est une manière d'activer l'imagination, de réveiller les esprits, en cheminant d'une question à l'autre, sans marteler les réponses. Aux Etats-Unis, les gens ne veulent plus faire d'efforts quand ils vont au cinéma, ils ne cherchent qu'à s'évader. Mon film risque de les déconcerter, mais je n'ai pas envie de leur mâcher le travail. Et encore, j'explique plus de choses dans Midnight Special que, par exemple, dans Take Shelter, qui restait très énigmatique.
‘La peur, c’est juste une idée, on ne peut pas en faire un film, elle sert de catalyseur.”
A ce propos, sans dévoiler la fin, vous avez tout de même recours à une révélation visuelle très spectaculaire… C'est une concession de dernière minute aux blockbusters « d'évasion » ?
J'ai eu recours aux effets spéciaux numériques à la toute fin du film, mais je ne pense pas en avoir abusé. C'est une conclusion qui tend à renforcer le mystère, plutôt qu'à le dissiper. Aujourd’hui, avec les images de synthèse, on peut faire tout ce qu’on veut, tout ce dont on rêve. Mais ce n’est pas toujours forcément une bonne idée. Toute ces fracassantes prouesses digitales qu'on voit dans les films de superhéros, par exemple, ont tendance à éclipser tout le reste : le récit, les personnages…Tout au long de Midnight Special, je me suis surtout inspiré de ces films des années 70 ou 80 qui ont accompagné mon enfance, Rencontres du troisième type, de Spielberg ou Starman, de Carpenter. J'aime leur esthétique, leur texture si particulière, ces filtres bleutés, ces noirs d'encre… Mais aussi leur construction, cette manière subtile, presque discrète, de dévoiler peu à peu l'intrigue.
De Shotgun Stories à Take Shelter, et maintenant Midnight Special, diriez-vous que presque tous vos films sont des fables sur l'anxiété ?
C'est vrai, à l'exception de Mud. Mais la peur, c’est juste une idée, on ne peut pas en faire un film. Elle sert de catalyseur. Dans Shotgun Stories, la peur incite à la violence et à la vengeance. Dans Take shelter, la peur handicape, empêche de communiquer avec ceux qu'on aime. Et dans Midnight Special, elle pousse les personnages à essayer de garder le contrôle d'une situation qui leur échappe. Je voulais montrer que c'est un fantasme, une entreprise perdue d'avance. Quand Michael Shannon a accepté de jouer le rôle du père, il avait tout de même une question : pourquoi diable son personnage se précipitait-il comme ça avec son gamin, vers l'inconnu ? Je lui ai répondu que je n'en savais rien non plus, et que c'était justement ce qui m'intéressait. J'ai commencé l'écriture en pensant à mon propre petit garçon, à cette terreur immense, écrasante, que j'éprouvais pour lui. Il doit vivre dans le monde le plus imprévisible, le moins sûr qu'on puisse imaginer. Les meurtres de masse – la fusillade de l'école primaire Sandy Hook, en 2012, dans le Connecticut, m'a traumatisé –, les terroristes, la planète qui commence lentement à bouillir… En tant que père, je n'ai aucune maîtrise sur cet environnement, pas plus que sur la personne qu'il va devenir en grandissant. Tout ce que je peux faire, c'est essayer de l'accompagner au jour le jour dans son voyage, de le secourir, dans un contexte qui me dépasse. C'est le thème central du film. L'histoire d'un homme qui essaie de comprendre qui est son enfant. Et de l'aider comme il peut.
“Michael Shannon m'inspire, il me rend meilleur.”
Vous travaillez avec le comédien Michael Shannon, depuis vos débuts. Pourquoi une telle complicité ?
Je l'ai beaucoup dit et je le répète : je ne veux pas faire un seul film sans lui ! Quand on travaille ensemble depuis longtemps, il s'installe une confiance essentielle. Michael Shannon m'inspire, il me rend meilleur, plus efficace. Quand j'écris pour lui, je n'ai pas besoin d'en rajouter : il comprend à demi-mot, il sait lire entre les lignes, et restituer à l'écran tous ces non-dits, toutes ces émotions, sur son visage, ses épaules, dans sa démarche. Même quand il reste assis à ne rien faire, il se passe quelque chose. Je ne peux pas me lasser de le regarder jouer, et je crois que ma manière de travailler fait sens pour lui aussi. On va bien ensemble.
En tant que cinéaste, vous occupez une place à part, entre la sphère du cinéma indépendant et l'industrie hollywoodienne. Comment avez-vous trouvé cet équilibre plutôt rare ?
J’ai eu de la chance. Mes films ont eu un beau succès d'estime, mais pas vraiment assez… pour m'attirer des ennuis. Par exemple, si Shotgun Stories, mon premier long métrage, avait fait plus d'entrées et plus d'argent aux Etats-Unis, on m'aurait sans doute proposé de piloter des projets plus importants, plus commerciaux, dont je n'aurais pas été l'auteur, sur lesquels je n'aurais eu aucun contrôle. J'aurais sûrement accepté, à l'époque, et j'aurais perdu mon indépendance. Mon travail a toujours été juste assez étrange et déroutant, et juste assez reconnu, pour me permettre de monter le film suivant. Après Take Shelter, un grand studio m’a proposé de faire un film à gros budget, un remake. Ils m’ont offert un million de dollars, alors que j'étais complètement fauché ! J'ai été tenté, mais je voulais vraiment réaliser Mud, je savais que Matthew McConaughey était intéressé par le rôle du héros, donc j'ai refusé le pont d'or. Ça a vraiment été un tournant décisif dans ma vie. Maintenant, je suis plus sûr de moi, de ma liberté artistique. Pour Midnight Special, j'ai pu collaborer avec la Warner bros selon mes propres termes : pas d'ingérence du studio dans l'écriture de mon scénario, et la possibilité de m'entourer de mon équipe habituelle, ma famille de cinéma : pas seulement Michael Shannon, mais aussi le même chef opérateur, le même monteur que sur mes autres films. J'espère que Midnight Special, et le film suivant, Loving, que je suis en train de terminer – le combat d'un couple mixte, elle noire et lui blanc, pour être reconnu dans l'Amérique ségrégationniste des années cinquante – trouveront leur public. Pas pour gagner des millions de dollars, mais juste assez pour continuer à travailler comme je veux.
- G.bédécarrax
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Je n'ai pas adoré le film, mais c'est très très intéressant 

- Kieros
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Pareil 

- Stilitano
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Beaucoup de temps à tuer dans l'avion donc j'ai décidé de me faire un marathon films français. Le bilan est très mauvais
Comme un avion : sympa et décalé, j'ai bien rigolé.
Babysitting 2 : médiocre mais ça passe dans l'avion.
Le reste : nul de chez nul, à tel point que c'en est fascinant. Les Profs 2, Camping 2, Les 3 frères, Aladin.
J'ai également commencé "Le temps des aveux" mais je suis arrivé à saturation et j'avais déjà lu le livre dont c'est tiré.
Sinon je regarde les programmations pour aller au cinéma ce soir, il ne semble pas y avoir beaucoup de choix
Des conseils ? Je vais peut-être retourner voir "The Assassin", du coup.

Comme un avion : sympa et décalé, j'ai bien rigolé.
Babysitting 2 : médiocre mais ça passe dans l'avion.
Le reste : nul de chez nul, à tel point que c'en est fascinant. Les Profs 2, Camping 2, Les 3 frères, Aladin.
J'ai également commencé "Le temps des aveux" mais je suis arrivé à saturation et j'avais déjà lu le livre dont c'est tiré.
Sinon je regarde les programmations pour aller au cinéma ce soir, il ne semble pas y avoir beaucoup de choix

- Kieros
- Anigo : On sait pas comment mais t'es toujours là
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Rien de génial en ce moment, mais je te conseille Everybody wants some de Linklater 

- Stilitano
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Sinon reprends l'avion.
Pas bouger et l'ours ne te fera rien... qu'il disait
- Stilitano
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Non merci
J'ai vu des affiches de "Camping 3" aujourd'hui, sérieusement, il y a des gens qui ont aimé le 2 ?
Je veux bien que Pof habite dans un grand village mais ça ne suffit pas pour rentabiliser le film, si ? 

J'ai vu des affiches de "Camping 3" aujourd'hui, sérieusement, il y a des gens qui ont aimé le 2 ?


- ZeB83
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Je ne me pose plus de questions sur le box-office depuis "Bienvenue chez les Ch'tis"
Pas bouger et l'ours ne te fera rien... qu'il disait
- G.bédécarrax
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
J'ai besoin de votre aide. J'ai depuis hier des images qui me reviennent d'un film dont il ne me reste rien d'autre : acteurs, réalisateur, développement, etc.
Je crois que ça se passait à L.A. Un type revient de l'aéroport. Il a été chercher son frère qui est il me semble le héros du film. La femme du frère du héros du film est peut-être l'ex- du héros du film. Y'a un gosse, peut-être, qui est peut-être le gosse du héros du film ?
Aussi, y'a une histoire avec des chaussures. Le film est jaune triste.
Ca n'est même pas un film obscur, je pense. C'est peut-être un chef d'oeuvre de l'histoire du cinéma, le fait est que j'en ai quasiment tout oublié, comme on "oublie" que papa venait nous gratter le pyjama au moment de venir nous raconter une histoire.
Je crois que ça se passait à L.A. Un type revient de l'aéroport. Il a été chercher son frère qui est il me semble le héros du film. La femme du frère du héros du film est peut-être l'ex- du héros du film. Y'a un gosse, peut-être, qui est peut-être le gosse du héros du film ?
Aussi, y'a une histoire avec des chaussures. Le film est jaune triste.
Ca n'est même pas un film obscur, je pense. C'est peut-être un chef d'oeuvre de l'histoire du cinéma, le fait est que j'en ai quasiment tout oublié, comme on "oublie" que papa venait nous gratter le pyjama au moment de venir nous raconter une histoire.
- Kieros
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !


Un chef d’œuvre du cinéma, en effet

- G.bédécarrax
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !



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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
C'est largement au dessus de Batman vs Superman
Et meilleur que le 2 pour moi
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- Kobe974
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Tu me convaincs alors rien que pour ton argument pour Batman vs Superman


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- Jeko
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Je savais que j'allais trouver les mots 

- G.bédécarrax
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Pour la petite histoire, il s'agissait de "Paris, Texas". Au delà du fait que mes souvenirs étaient encore plus à côté de la plaque que je ne le pensais, je ne savais même pas que j'avais vu "Paris, Texas"G.bédécarrax a écrit :J'ai besoin de votre aide. J'ai depuis hier des images qui me reviennent d'un film dont il ne me reste rien d'autre : acteurs, réalisateur, développement, etc.
Je crois que ça se passait à L.A. Un type revient de l'aéroport. Il a été chercher son frère qui est il me semble le héros du film. La femme du frère du héros du film est peut-être l'ex- du héros du film. Y'a un gosse, peut-être, qui est peut-être le gosse du héros du film ?
Aussi, y'a une histoire avec des chaussures. Le film est jaune triste.
Ca n'est même pas un film obscur, je pense. C'est peut-être un chef d'oeuvre de l'histoire du cinéma, le fait est que j'en ai quasiment tout oublié, comme on "oublie" que papa venait nous gratter le pyjama au moment de venir nous raconter une histoire.

- ZeB83
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Je ne savais pas non plus.
Pas bouger et l'ours ne te fera rien... qu'il disait
- Basile Carmelo
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !
Bédé, la prochaine fois tu peux utiliser ce site : http://www.whatismymovie.com/
J'ai tapé "airport brother los angeles" et il l'a trouvé
J'ai tapé "airport brother los angeles" et il l'a trouvé

"[...] n'importe quel leader, s'il devrait décrire sa responsabilité en une phrase, sa fonction est d'éviter que ceux qui sont sous sa conduite plient face à l'adversité, cette équipe a dû affronter une avalanche, une infinité d'adversités, je n'ai pas réussi à ce qu'ils résistent, la responsabilité est mienne."