
Et merci aussi pour tes conseils touristiques !

Mange des Wienerschnitzel, et des Strudel. Vienne est bien rangée, mais j'ai trouvé la dernière fois qu'elle avait aussi un côté très décadent qui m'a fait penser à RomeKieros a écrit :Je viens d'arriver en Autriche (Vienne). Ça fait plaisir de voir un pays bien rangé
ENVIRONNEMENT On a plombé le condor de Californie
Le condor de Californie est en train de s'éteindre peu à peu, victime des projectiles tirés par les chasseurs. Non parce qu'il est leur cible, mais parce qu'il ingère les balles. Un tiers des derniers représentants de l'espèce souffre d'intoxication au plomb.
Courrier international
14 juillet 2014
Ils ne sont plus que 238. Et descendent tous du même spécimen. Les condors de Californie (Gymnogyps Californianus) sont une espèce en sursis, sauvée in extremis de l'extinction, en 1987, quand l'ultime survivant vivant en liberté a été capturé et a servi de donneur pour un programme de reproduction. Aujourd'hui, tous les condors réintroduits dans l'ouest américain descendent de ce même rapace.
Cette quasi extinction avait plusieurs causes : la perte de territoire, grignoté par l'activité humaine, la chasse, la collecte des oeufs... Autant de menaces qui ont décimé l'espèce avant les années 80, énumère The Ecologist. Mais le site britannique insiste sur un mal qui subsiste et qui touche un tiers des rapaces en liberté : l'intoxication au plomb. Celui-ci provient des nombreuses balles tirées par les chasseurs et ingérées par les charognards quand ils se repaissent des cadavres d'animaux.
Saturnisme et intoxication aigüe
Une étude menée en 2012 par l'université de Californie a montré que 30% des échantillons de sang collectés par les chercheurs montraient une exposition au plomb qui pouvait conduire à des effets sur la santé des oiseaux. Et 20% des rapaces testés avaient un taux supérieur à 450 ng/mL, ce qui nécessite une intervention vétérinaire pour éviter une issue mortelle, précise le site d'informations. Une analyse démontre bien que la majeure partie du métal lourd provient de munitions.
Certes, une loi votée en octobre 2013 a banni les munitions au plomb dans l'Etat de Californie, mais cela ne résout pas le problème. D'abord parce que les condors survolent et se nourrissent dans d'autres Etats voisins, comme l'Arizona ou l'Utah. Et aussi, parce que grâce à de multiples exceptions, les balles sont toujours en vente en Californie !
Les balles et les pinceaux
Et même si les Etats voisins de la Californie sont de plus en plus sensibilisés au problème, la toute-puissante National Rifle Association, la NRA, ne veut pas entendre parler d'une interdiction des balles au plomb, pour quelque chasse que ce soit, insiste le site. Elle mène elle aussi campagne sur son site Hunt for Truth [La quête de vérité]. L'argument massue : le plomb ne viendrait pas des balles, mais davantage des fragments de peinture au plomb disséminés dans la nature.
Reste que quelque 70 espèces d'oiseaux (condors, aigles, vautours...) et les charognards continuent d'ingérer du plomb, rappelle The Ecologist.
Courrier international
14 juillet 2014
OU alors les tortionnaires ont de beaux jours devant eux.Doumé a écrit :Dans le temps, je connaissais un type du côté de Vescovato qui était pensionné de guerre suite à une blessure infligée reçue au combat lors de la guerre d'Algérie. Le mec racontait partout combien à l'époque il en avait chié à courser le fellaga dans le djébel. Après 10 ans de versement, la sécu a fini par se rendre compte que le mec avait 2 ans lorsque la guerre s'est terminée.
Si tu veux Bédé, je te donne ses coordonnées.
Initialement je n'avais pas prévu de mettre l'image, puis je me suis dit que ça serait plus vendeur, mais je n'avais pas pensé que certains ne verraient pas le lien qui s'y cachesi-ma-tante-en-avait a écrit :Belle image du jour
Restauration : le logo "fait maison" pas de tous les goûts
Sur le papier, l'intention est belle. Et ne peut que faire l'unanimité. L'idée ? Permettre aux clients de distinguer les restaurants qui travaillent des produits frais, de ceux, moins fréquentables, qui se contentent d'assembler des plats en kit vendus par l'industrie agroalimentaire. Le moyen de procéder au tri ? Autoriser les établissements vertueux à accoler un logo sur leurs cartes. Mijoté depuis plusieurs mois, un décret allant dans ce sens est entré en application dans la journée d'hier.
Théoriquement, il vise uniquement les plats entièrement cuisinés sur place à partir de produits bruts. Potentiellement, il concerne quelque 135 000 commerces dans l'Hexagone. Problème : dans les faits, ce label est loin, très loin de convaincre les professionnels. D'ores et déjà, nombre d'entre eux ont fait savoir qu'ils refusaient de s'associer à cette "fumisterie".
C'est qu'entre les ambitions affichées par Carole Delga (PS), la secrétaire d'État chargée de la Consommation - donner une information claire, fiable et facile à comprendre au consommateur tout en valorisant les restaurateurs qui font un effort - et la réalité du décret, de grandes libertés existent. Une modalité est particulièrement critiquée : l'application possible du logo aux plats préparés à base de produits surgelés ou conditionnés sous vide. Autrement dit, un restaurateur peut très bien se fournir en poisson surgelé à Métro et se prévaloir du logo en le faisant cuire avec quelques carottes. "Voilà comme une pizza surgelée cuite au four et un hamburger congelé préparé à la plaque vont être considérés comme du fait maison !", s'insurge Pierre Alfonsi, restaurateur aixois et bouillonnant président du syndicat des hôteliers.
On vient d'assister à une grande victoire du lobby agroalimentaire
Et l'homme de cogner : "On vient d'assister à une grande victoire du lobby agroalimentaire ! Désormais, toutes les chaînes vont pouvoir se prévaloir d'un certificat de haute qualité... Dans ces conditions comment les clients vont-ils pouvoir faire la différence ? Ce décret est une blague. On se fout de la gueule des gens".
Plus nuancée, Delphine Roux, propriétaire de "Maddie les Galinettes", sur le Vieux-Port de Marseille, s'étonne surtout des nombreuses exceptions contenues dans la loi : "Sur le principe, l'idée est géniale. Pour un restaurant comme le mien, qui n'a même pas de congélateur, c'est une manière de se démarquer. Mais il y a trop de dérogations. Par exemple, la mayonnaise industrielle est autorisée... Franchement, pour un restaurant, faire sa propre mayo, c'est la base...". Derrière le comptoir de son resto du centre-ville de Marseille, Georges Zucca, lui, se veut optimiste : "Même si je regrette que le projet initial ait été dénaturé, glisse-t-il, je vais quand même faire ma demande. Je crois que les gens sont sensibles à la vraie cuisine et que ça peut drainer du monde...".
Dans les prochains jours, un kit du fait maison avec un guide explicatif sera envoyé à l'ensemble des professionnels. Qui auront jusqu'au 15 janvier pour s'y mettre. Passé cette date, les services des fraudes de la DGCCRF se chargeront de contrôler ceux qui ont choisi d'utiliser le logo.
http://www.laprovence.com/article/actua ... gouts.html
Champoul il est vraiment kro mignon, le 13/05/2014 à 11h33 a écrit :c'est con qu'on se soit attaché à vous
Champoul il est vraiment kro mignon, le 13/05/2014 à 11h33 a écrit :c'est con qu'on se soit attaché à vous
Champoul il est vraiment kro mignon, le 13/05/2014 à 11h33 a écrit :c'est con qu'on se soit attaché à vous