et voilà, ça m'apprendra a ne pas dire bonjour en arrivant
Si, si, mais z'ont pas été salauds, m'avaient un avatar sympa, qui me plaisait bien. Du coup ils me l'ont sucré. Et puis de toutes les façons en tant que doyen je suis intouchable.
karaté c'est pour les mauviettes, on se touche pas :oops:
moi c'est ceinture verte de Judo et encore c'est aprceque j'ai arrêté, là c'est du contact :oops:
Cà se voit que tu n'as jamais vu de karaté
A chaque entraînement j'étais plein de bleus et de bosses
et encore je n'allais pas aux entraînements "combat" car il n'y avait que des ceintures noirs et que je porte trés mal la coquille et le protège dents
Quess qui se passe ici, qq'un me fait un résumé de ce que j'ai loupé, pliz ?
SALUTE A TUTTI
Rien de spécial appart que j'ai eu un AALC (un maillot du psg avec ecrit comme sponsor nyrod 75 )
Je te laisse imaginer ma colère , après un dur combat de ma population nyrodlandaise contre les forces du mal gouverné par k6, j'ai pu revêtir mon bon maillot de l' OM (il y a un topic à cet effet: nyrod land en guerre.... un truc comme ça )
Sinon de neuf
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
niko un fait tout un kk pour que k6 me mette un AALC
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
tu ne vois aucun post de moi le suppliant contrairement à toi, le traquant dans tous les sujets pour demander le retour de ton avatar :fuck2:
je l' ai pas traqué
Moi je comrompte pas les modos ...MMMMOOOII
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".