05/03/2004
Foot - ANG : Leicester : Nalis n'est pas inculpé
Le Français Lilian Nalis, interrogé vendredi par la police espagnole, à Carthagène, dans une affaire d'agression sexuelle, avec cinq de ses coéquipiers de Leicester, a été remis en liberté sous contrôle judiciaire. Trois de ses coéquipiers ont en revanche été inculpés : Keith Gillespie, Paul Dickov et Frank Sinclair, tous Britanniques. Ils demeurent en détention.
Comme Nalis, le Britannique Matt Elliott a été remis en liberté sous contrôle judiciaire vendredi après-midi, comme l'avaient été l'international grec Nikos Dabizas et le gardien remplaçant Danny Coyne, jeudi. James Scowcroft a aussi été remis en liberté, mais contre une caution de 20 000 euros.
Trois jeunes femmes, deux originaires du Malawi et une du Kenya, accusent plusieurs joueurs de Leicester de les avoir agressées sexuellement après être entrés de force, dimanche, dans leur chambre de l'hôtel Hyatt Regency La Manga, station balnéaire où le club britannique effectuait un stage d'entraînement.
mais entre nous:
"entrés de force dans leur chambre"
on dirait plus une histoire de pute qui sont pas faient payé" ou encore un moyen de leurs raclés du pognons .
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".