Revu de presse!
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Revu de presse!
lundi 8 décembre 2003, 20h29
Alain Perrin: "mon avenir passe au second plan"
BELGRADE (AFP) - Le manageur général de Marseille (L1 de football) Alain Perrin, sur la sellette après une série de défaites, a déclaré lundi soir que son avenir personnel passait "au second plan", mais a évoqué implicitement son éventuelle mise à l'écart en affirmant que cela faisait partis des "aléas" de la vie d'entraîneur.
"Mon avenir personnel n'a aucun intérêt. Le seul intérêt, c'est celui de l'OM et de la qualification pour le prochain tour. Ce débat-là, c'est un problème de journalistes. Je n'ai jamais eu de plan de carrière", a expliqué Perrin lors de la conférence de presse précédant le match de Ligue des champions Belgrade-OM mardi.
"Il y a longtemps que je travaille dans le football. Je mets ma situation personnelle au second plan, a poursuivi le responsable marseillais. Cela fait partie des aléas du métier d'entraîneur. Ma situation ne m'appartient pas, je n'en ai pas le contrôle. Ce que je maîtrise, en revanche, c'est préparer le travail et le match."
"Je continue à travailler en confiance avec mon président, qui comprend ce qui se passe. La situation en interne n'est pas celle qui est évoquée à l'extérieur. La confiance est établie", a-t-il ajouté.
"Vous savez, ce n'est qu'un match de foot. Il y a d'autre chose plus dramatiques dans la vie. Nous en avons connu très récemment à Marseille", a-t-il encore déclaré, en allusion aux inondations qui ont touché Marseille la semaine passée, au cours desquelles une personne a trouvé la mort.
Le président de l'OM, Christophe Bouchet, avait indiqué dans un entretien à La Provence lundi que "changer le cap serait une mauvaise décision", renvoyant à la trêve hivernale un éventuel changement dans l'encadrement technique: "En attendant le tirage au sort de la Coupe de France, on est engagé dans trois compétitions. Elles livreront un verdict intéressant à la trêve. Dans le football, la trêve représente une bonne respiration. L'agitation autour d'un seul homme n'est jamais bonne".
L'OM est actuellement en pleine dérive sportive, après une série de quatre défaites consécutives à domicile (trois en Championnat, une contre le Real en Ligue des champions), qui l'a rejeté à la 7e place de la L1.
Alain Perrin: "mon avenir passe au second plan"
BELGRADE (AFP) - Le manageur général de Marseille (L1 de football) Alain Perrin, sur la sellette après une série de défaites, a déclaré lundi soir que son avenir personnel passait "au second plan", mais a évoqué implicitement son éventuelle mise à l'écart en affirmant que cela faisait partis des "aléas" de la vie d'entraîneur.
"Mon avenir personnel n'a aucun intérêt. Le seul intérêt, c'est celui de l'OM et de la qualification pour le prochain tour. Ce débat-là, c'est un problème de journalistes. Je n'ai jamais eu de plan de carrière", a expliqué Perrin lors de la conférence de presse précédant le match de Ligue des champions Belgrade-OM mardi.
"Il y a longtemps que je travaille dans le football. Je mets ma situation personnelle au second plan, a poursuivi le responsable marseillais. Cela fait partie des aléas du métier d'entraîneur. Ma situation ne m'appartient pas, je n'en ai pas le contrôle. Ce que je maîtrise, en revanche, c'est préparer le travail et le match."
"Je continue à travailler en confiance avec mon président, qui comprend ce qui se passe. La situation en interne n'est pas celle qui est évoquée à l'extérieur. La confiance est établie", a-t-il ajouté.
"Vous savez, ce n'est qu'un match de foot. Il y a d'autre chose plus dramatiques dans la vie. Nous en avons connu très récemment à Marseille", a-t-il encore déclaré, en allusion aux inondations qui ont touché Marseille la semaine passée, au cours desquelles une personne a trouvé la mort.
Le président de l'OM, Christophe Bouchet, avait indiqué dans un entretien à La Provence lundi que "changer le cap serait une mauvaise décision", renvoyant à la trêve hivernale un éventuel changement dans l'encadrement technique: "En attendant le tirage au sort de la Coupe de France, on est engagé dans trois compétitions. Elles livreront un verdict intéressant à la trêve. Dans le football, la trêve représente une bonne respiration. L'agitation autour d'un seul homme n'est jamais bonne".
L'OM est actuellement en pleine dérive sportive, après une série de quatre défaites consécutives à domicile (trois en Championnat, une contre le Real en Ligue des champions), qui l'a rejeté à la 7e place de la L1.





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mardi 9 décembre 2003, 11h28
Transfert: l'appel de Marseille rejeté au sujet de Barthez
ZURICH (AFP) - La commission spéciale de la Fédération internationale de football (FIFA) a rejeté l'appel de l'Olympique de Marseille (L1) concernant la demande de dérogation pour le transfert du gardien de but Fabien Barthez (Manchester United) en dehors des périodes légales, a-t-on appris mardi auprès de la FIFA.
La commission spéciale, composée de trois membres du comité exécutif (CE), qui s'est réunie le 4 décembre à Francfort (Allemagne), a "confirmé la décision prise par la commission du statut du joueur le 30 octobre".
L'OM peut encore faire appel, dans un délai de vingt jours, devant le Tribunal arbitral du sport (TAS), à Lausanne (Suisse).
Dans tous les cas de figure, Fabien Barthez qui se trouve toujours à Marseille pourra être officiellement transféré à partir du premier janvier, date de l'ouverture du mercato d'hiver.
Manchester United avait accepté de prêter le gardien international à l'OM jusqu'à la fin de la saison, le club olympien se retrouvant avec un seul gardien professionnel, le Croate Vedran Runje, après la blessure du gardien remplaçant, Cédric Carrasso, lors d'un match caritatif de l'OM contre l'équipe de France 98, le 6 octobre.
La commission du statut du joueur, présidée par le Tunisien Slim Aloulou, également membre du comité exécutif de la FIFA, avait repoussé la demande de dérogation de Marseille le 30 octobre, refusant d'ouvrir une brèche dans un règlement très sensible adopté par le comité exécutif du 5 juillet 2001 à Buenos Aires.
Le cadre fixé pour les transferts prévoit notamment deux périodes annuelles (début et milieu de saison) avec la limite d'un transfert par joueur en douze mois. En ce qui concerne la France ces périodes (fenêtres de transfert) vont de la fin du championnat au 31 août pour la période estivale et du 1er au 31 janvier pour le mercato d'hiver.
L'OM avait immédiatement fait appel de cette décision, toujours par l'intermédiaire de la FFF comme l'impose le règlement.
Transfert: l'appel de Marseille rejeté au sujet de Barthez
ZURICH (AFP) - La commission spéciale de la Fédération internationale de football (FIFA) a rejeté l'appel de l'Olympique de Marseille (L1) concernant la demande de dérogation pour le transfert du gardien de but Fabien Barthez (Manchester United) en dehors des périodes légales, a-t-on appris mardi auprès de la FIFA.
La commission spéciale, composée de trois membres du comité exécutif (CE), qui s'est réunie le 4 décembre à Francfort (Allemagne), a "confirmé la décision prise par la commission du statut du joueur le 30 octobre".
L'OM peut encore faire appel, dans un délai de vingt jours, devant le Tribunal arbitral du sport (TAS), à Lausanne (Suisse).
Dans tous les cas de figure, Fabien Barthez qui se trouve toujours à Marseille pourra être officiellement transféré à partir du premier janvier, date de l'ouverture du mercato d'hiver.
Manchester United avait accepté de prêter le gardien international à l'OM jusqu'à la fin de la saison, le club olympien se retrouvant avec un seul gardien professionnel, le Croate Vedran Runje, après la blessure du gardien remplaçant, Cédric Carrasso, lors d'un match caritatif de l'OM contre l'équipe de France 98, le 6 octobre.
La commission du statut du joueur, présidée par le Tunisien Slim Aloulou, également membre du comité exécutif de la FIFA, avait repoussé la demande de dérogation de Marseille le 30 octobre, refusant d'ouvrir une brèche dans un règlement très sensible adopté par le comité exécutif du 5 juillet 2001 à Buenos Aires.
Le cadre fixé pour les transferts prévoit notamment deux périodes annuelles (début et milieu de saison) avec la limite d'un transfert par joueur en douze mois. En ce qui concerne la France ces périodes (fenêtres de transfert) vont de la fin du championnat au 31 août pour la période estivale et du 1er au 31 janvier pour le mercato d'hiver.
L'OM avait immédiatement fait appel de cette décision, toujours par l'intermédiaire de la FFF comme l'impose le règlement.





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mardi 9 décembre 2003, 12h30
Transfert - Affaire Barthez - Christophe Bouchet: "On va arrêter les frais"
BELGRADE, 9 déc (AFP) - Le président de Marseille (L1), Christophe Bouchet, apprenant le rejet de l'appel auprès de la commission spéciale de la Fédération internationale de football (FIFA) concernant le transfert du gardien Fabien Barthez (Manchester United), a annoncé mardi à l'AFP que le club ne ferait pas appel.
"Comme nous n'avons plus de temps ni d'illusions, on va arrêter les frais", a expliqué M. Bouchet, actuellement à Belgrade pour le match de Ligue des Champions contre le Partizan mardi soir. L'OM peut pourtant encore faire appel, dans un délai de vingt jours, devant le Tribunal arbitral du sport (TAS), à Lausanne (Suisse).
Dans tous les cas de figure, Barthez qui se trouve toujours à Marseille pourra être officiellement transféré à partir du premier janvier, date de l'ouverture du mercato d'hiver.
"On étouffe lentement la bête. Ce ne sont pas des manières de procéder, a regretté le président marseillais. Mais on ne va pas jouer à ce jeu là. Cela nous prend trop d'énergie et puis, quand une Fédération internationale a pris une décision, il n'y a pas de contre-pouvoir".
La commission spéciale a "confirmé la décision prise par la commission du statut du joueur le 30 octobre". Manchester United avait accepté de prêter le gardien international à l'OM jusqu'à la fin de la saison. Mais la commission du statut du joueur avait repoussé la demande de dérogation de Marseille, refusant d'ouvrir une brèche dans un règlement très sensible.
"Dommage"
Le cadre fixé pour les transferts prévoit en effet deux périodes annuelles (début et milieu de saison) avec la limite d'un transfert par joueur en douze mois. En ce qui concerne la France ces périodes (fenêtres de transfert) vont de la fin du championnat au 31 août pour la période estivale et du 1er au 31 janvier pour le mercato d'hiver.
"C'est dommage que la FIFA prenne une décision qui va contre les intérêts du football et contre l'intérêt du joueur, a par ailleurs regretté M. Bouchet. Et c'est d'autant plus regrettable que la volonté de la FIFA de réduire les calendriers et les coûts est une bonne doctrine. Mais s'ils ne laissent jamais de place à une dérogation, cela ne peut pas marcher".
"On en peut pas demander une réduction des championnats à 16 clubs sans contreparties. De la même façon, on ne peut pas demander une réduction des effectifs sans prévoir des dérogations. La FIFA va contre ses propres théories. Dans les six prochains mois, je suis certain qu'ils vont changer le règlement dans ce sens. C'est pour cela aussi qu'on se sent un peu le dindon de la farce", a conclu le président de l'OM.
Le président de la FIFA, Joseph Blatter a annoncé le 3 décembre à Francfort qu'il souhaitait réduire le calendrier national des principaux pays de football, laissant 30 dates de disponibles pour les matches de championnat et 15 pour les rencontres de coupe, ce qui induirait un retour à des championnats à 16 clubs.
Transfert - Affaire Barthez - Christophe Bouchet: "On va arrêter les frais"
BELGRADE, 9 déc (AFP) - Le président de Marseille (L1), Christophe Bouchet, apprenant le rejet de l'appel auprès de la commission spéciale de la Fédération internationale de football (FIFA) concernant le transfert du gardien Fabien Barthez (Manchester United), a annoncé mardi à l'AFP que le club ne ferait pas appel.
"Comme nous n'avons plus de temps ni d'illusions, on va arrêter les frais", a expliqué M. Bouchet, actuellement à Belgrade pour le match de Ligue des Champions contre le Partizan mardi soir. L'OM peut pourtant encore faire appel, dans un délai de vingt jours, devant le Tribunal arbitral du sport (TAS), à Lausanne (Suisse).
Dans tous les cas de figure, Barthez qui se trouve toujours à Marseille pourra être officiellement transféré à partir du premier janvier, date de l'ouverture du mercato d'hiver.
"On étouffe lentement la bête. Ce ne sont pas des manières de procéder, a regretté le président marseillais. Mais on ne va pas jouer à ce jeu là. Cela nous prend trop d'énergie et puis, quand une Fédération internationale a pris une décision, il n'y a pas de contre-pouvoir".
La commission spéciale a "confirmé la décision prise par la commission du statut du joueur le 30 octobre". Manchester United avait accepté de prêter le gardien international à l'OM jusqu'à la fin de la saison. Mais la commission du statut du joueur avait repoussé la demande de dérogation de Marseille, refusant d'ouvrir une brèche dans un règlement très sensible.
"Dommage"
Le cadre fixé pour les transferts prévoit en effet deux périodes annuelles (début et milieu de saison) avec la limite d'un transfert par joueur en douze mois. En ce qui concerne la France ces périodes (fenêtres de transfert) vont de la fin du championnat au 31 août pour la période estivale et du 1er au 31 janvier pour le mercato d'hiver.
"C'est dommage que la FIFA prenne une décision qui va contre les intérêts du football et contre l'intérêt du joueur, a par ailleurs regretté M. Bouchet. Et c'est d'autant plus regrettable que la volonté de la FIFA de réduire les calendriers et les coûts est une bonne doctrine. Mais s'ils ne laissent jamais de place à une dérogation, cela ne peut pas marcher".
"On en peut pas demander une réduction des championnats à 16 clubs sans contreparties. De la même façon, on ne peut pas demander une réduction des effectifs sans prévoir des dérogations. La FIFA va contre ses propres théories. Dans les six prochains mois, je suis certain qu'ils vont changer le règlement dans ce sens. C'est pour cela aussi qu'on se sent un peu le dindon de la farce", a conclu le président de l'OM.
Le président de la FIFA, Joseph Blatter a annoncé le 3 décembre à Francfort qu'il souhaitait réduire le calendrier national des principaux pays de football, laissant 30 dates de disponibles pour les matches de championnat et 15 pour les rencontres de coupe, ce qui induirait un retour à des championnats à 16 clubs.





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c'est quoi ce 15 dans ton pseudo

Voici venu le temps des rires et deschamps
Dans l'île aux enfants
C'est tous les jours le printemps
C'est le pays joyeux des enfants heureux
Des monstres gentils
Oui c'est un paradis
http://www.youtube.com/watch?v=xyDAeByWWF0
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INTERVIEWS 09/12/03
Bouchet : "Maintenir le cap"
A quelques heures d'un match primordial pour la suite de l'aventure européenne de l'Olympique de Marseille, le Président Christophe Bouchet fait le point sur les remous que traverse actuellement le club phocéen.
Avant ce match important contre le Partizan, peut-on faire le point sur la situation du club, car on a assisté le week-end dernier à une tempête médiatique…
C.B. : "La tempête médiatique s'est déclenchée toute seule, elle n'est pas venue, ni de moi, ni du club. Quand on perd 6 de nos 7 derniers matchs, dont la plupart au Vélodrome, les supporters ne le supportent pas et il est normal que le temps se couvre. Mais il faut essayer de garder la tête froide, de maintenir le cap. Les expériences passées ont prouvé que tout changer n'apportait pas forcément de bonnes solutions."
A la lecture des journaux de dimanche, on pouvait penser qu'Alain Perrin était sur le point de partir…
C.B. : "J'ai lu les journaux au petit déjeuner et j'ai eu ce sentiment… Les gens me prêtent des repas, des dîners, des rendez-vous avec telle ou telle personne. Je suis assez calme. On ne peut pas vraiment être serein après six défaites… Mais il faut savoir se préparer pour les prochaines échéances. Toutes ces défaites n'ont pas la même signification, ce qui est gênant, c'est qu'elles arrivent eu même moment. Le staff et les joueurs en ont une bonne analyse, il faut donc se serrer les coudes. On est à Belgrade, c'est là que l'on va voir si les joueurs, mais aussi l'ensemble du club, sont des hommes."
On a pu lire qu'il y avait un malaise entre les joueurs et Alain Perrin ?
C.B. : "Quand on perd autant de matchs prestigieux, s'il n'y a pas de malaise, c'est qu'il y a un problème. Personne ne peut dire, aujourd'hui, qu'il n'y a pas de malaise. Mais ce n'est pas une raison pour faire n'importe quoi. Il ne faut pas risquer de faire encore pire. Il y a une crise mais tout le staff et les joueurs en sont pleinement conscients. C'est un peu comme si nous en étions à la 43ème minute de la première période d'un match de football, il nous reste deux minutes avec trois minutes de temps additionnel, il faut se livrer à fond. A la mi-temps (le Président de l'OM fait allusion à la trêve, ndlr), on y réfléchira tous ensemble, joueurs, staff et dirigeants. Ce n'est pas en plein enchaînement de matchs, comme nous le vivons actuellement, que l'on va tout changer. Je n'ai eu aucun rendez-vous avec des entraîneurs."
Quelle est l'importance de la qualification en UEFA pour le club ?
C.B. : "C'est primordial au niveau sportif. Ce qui nous manque à ce groupe, ce sont des matchs de référence contre des équipes fortes. Il faut progresser pour engranger ce genre de rencontres. Ce groupe a de la valeur, on est capable de rivaliser avec Porto, Lyon, Monaco. Il faut le prouver en jouant contre des équipes européennes. C'est important pour la confiance, l'expérience et pour inverser la tendance."
Avez-vous trouvé une explication à cette mauvaise période ?
C.B. : "Le groupe a traversé des périodes déstabilisantes : le match de Madrid a été mal vécu, la venue avortée de Fabien Barthez. Si on avait pu en mesurer la secousse avant, on aurait agi autrement. Ensuite c'est une question de mental. Il faut être très fort, à ce niveau, pour enchaîner les matchs, les entraînements, les mises au vert.
On rencontre aussi des problèmes au niveau sportif avec des blessures (Christanval indisponible en début de saison, Dos Santos toujours convalescent).
Peut-on s'attendre à des évolutions dans les jours ou les semaines à venir ?
C.B. : "Non, nous faisons tout ce qu'il faut pour être stable. Rien n'est noir. Il faut que l'on fasse tous juste un petit peu mieux, moi le premier, pour y arriver. On n'est pas loin… Et puis changer de cap pour tourner en rond dans la tempête ne servirait à rien."
INTERVIEWS 09/12/03
Bouchet : "Maintenir le cap"
A quelques heures d'un match primordial pour la suite de l'aventure européenne de l'Olympique de Marseille, le Président Christophe Bouchet fait le point sur les remous que traverse actuellement le club phocéen.
Avant ce match important contre le Partizan, peut-on faire le point sur la situation du club, car on a assisté le week-end dernier à une tempête médiatique…
C.B. : "La tempête médiatique s'est déclenchée toute seule, elle n'est pas venue, ni de moi, ni du club. Quand on perd 6 de nos 7 derniers matchs, dont la plupart au Vélodrome, les supporters ne le supportent pas et il est normal que le temps se couvre. Mais il faut essayer de garder la tête froide, de maintenir le cap. Les expériences passées ont prouvé que tout changer n'apportait pas forcément de bonnes solutions."
A la lecture des journaux de dimanche, on pouvait penser qu'Alain Perrin était sur le point de partir…
C.B. : "J'ai lu les journaux au petit déjeuner et j'ai eu ce sentiment… Les gens me prêtent des repas, des dîners, des rendez-vous avec telle ou telle personne. Je suis assez calme. On ne peut pas vraiment être serein après six défaites… Mais il faut savoir se préparer pour les prochaines échéances. Toutes ces défaites n'ont pas la même signification, ce qui est gênant, c'est qu'elles arrivent eu même moment. Le staff et les joueurs en ont une bonne analyse, il faut donc se serrer les coudes. On est à Belgrade, c'est là que l'on va voir si les joueurs, mais aussi l'ensemble du club, sont des hommes."
On a pu lire qu'il y avait un malaise entre les joueurs et Alain Perrin ?
C.B. : "Quand on perd autant de matchs prestigieux, s'il n'y a pas de malaise, c'est qu'il y a un problème. Personne ne peut dire, aujourd'hui, qu'il n'y a pas de malaise. Mais ce n'est pas une raison pour faire n'importe quoi. Il ne faut pas risquer de faire encore pire. Il y a une crise mais tout le staff et les joueurs en sont pleinement conscients. C'est un peu comme si nous en étions à la 43ème minute de la première période d'un match de football, il nous reste deux minutes avec trois minutes de temps additionnel, il faut se livrer à fond. A la mi-temps (le Président de l'OM fait allusion à la trêve, ndlr), on y réfléchira tous ensemble, joueurs, staff et dirigeants. Ce n'est pas en plein enchaînement de matchs, comme nous le vivons actuellement, que l'on va tout changer. Je n'ai eu aucun rendez-vous avec des entraîneurs."
Quelle est l'importance de la qualification en UEFA pour le club ?
C.B. : "C'est primordial au niveau sportif. Ce qui nous manque à ce groupe, ce sont des matchs de référence contre des équipes fortes. Il faut progresser pour engranger ce genre de rencontres. Ce groupe a de la valeur, on est capable de rivaliser avec Porto, Lyon, Monaco. Il faut le prouver en jouant contre des équipes européennes. C'est important pour la confiance, l'expérience et pour inverser la tendance."
Avez-vous trouvé une explication à cette mauvaise période ?
C.B. : "Le groupe a traversé des périodes déstabilisantes : le match de Madrid a été mal vécu, la venue avortée de Fabien Barthez. Si on avait pu en mesurer la secousse avant, on aurait agi autrement. Ensuite c'est une question de mental. Il faut être très fort, à ce niveau, pour enchaîner les matchs, les entraînements, les mises au vert.
On rencontre aussi des problèmes au niveau sportif avec des blessures (Christanval indisponible en début de saison, Dos Santos toujours convalescent).
Peut-on s'attendre à des évolutions dans les jours ou les semaines à venir ?
C.B. : "Non, nous faisons tout ce qu'il faut pour être stable. Rien n'est noir. Il faut que l'on fasse tous juste un petit peu mieux, moi le premier, pour y arriver. On n'est pas loin… Et puis changer de cap pour tourner en rond dans la tempête ne servirait à rien."





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ça veut rien dire, c'est le pseudo d'une fille qui avait 15 ans et que j'ai repris, c'était sur un autre forumbutterfly :clap2:
c'est quoi ce 15 dans ton pseudo :???:






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okça veut rien dire, c'est le pseudo d'une fille qui avait 15 ans et que j'ai repris, c'était sur un autre forumbutterfly :clap2:
c'est quoi ce 15 dans ton pseudo :???:

Voici venu le temps des rires et deschamps
Dans l'île aux enfants
C'est tous les jours le printemps
C'est le pays joyeux des enfants heureux
Des monstres gentils
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Dans l'île aux enfants
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- Pachakuti
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article de libé. rien de nouveau mais une sorte de synthèse :
Ces derniers temps, l'OM réussit parfaitement à être nul, mais va-t-il ce soir réussir LE nul à Belgrade contre le Partizan qui a démontré à l'aller, malgré sa défaite 3-0, qu'il pratique un beau football ? Voilà la question du jour. Ce nul (ou une victoire, mais restons modestes) permettrait à l'OM de conserver la troisième place du groupe F de la première phase de la Ligue des champions. Ce qui assure de rester «européen», en étant reversé en seizième de finale de la Coupe de l'UEFA. En cas de défaite, en revanche, on craint de voir la tronche à Perrin au bout d'une pique sur la Canebière dès demain matin.
Loin de ses prétentions. Parce que là, le président Bouchet n'aura pas le choix. Il sait que virer le manager général n'est peut-être pas la bonne solution ; mais ça peut devenir la seule. Car, avec quatre défaites d'affilée à domicile (joli tableau de chasse : l'OM a perdu contre Lyon, le Real Madrid, le PSG, et Monaco vendredi) et douze points de retard en L1, Marseille, déjà éliminé de la Ligue des champions avant le dernier match de groupe, s'affiche bien loin de ses prétentions.
Venu de Troyes il y a dix-huit mois pour remettre de l'ordre dans la baraque, Perrin a trouvé ses limites. Les piliers de l'an dernier (Runje, Van Buyten, Celestini, Hemdani) doutent et se trouent, les recrues de l'intersaison déçoivent en majorité. Le coach, lui, ne sait plus quoi faire. Les deux systèmes utilisés depuis le début de saison (le turnover permanent, puis l'équipe stable) ont produit le même échec. Offensivement, le jeu se révèle pauvre : on balance sur la paire Drogba-Mido, à eux de se débrouiller. Jamais de débordements sur les ailes personne n'en semble capable. Défensivement, l'assurance de la saison passée a disparu. Dans les buts, depuis qu'il a appris qu'il serait remplacé par Barthez (en janvier), Runje n'en fiche plus une. Il est surtout excellent sur le terrain des interviews pour tacler son coach.
Alors ça grince à tous les étages. A commencer par l'actionnaire principal Robert Louis-Dreyfus (RLD). Dans la Provence du 2 décembre, il morigène la paire Bouchet-Perrin pour sa gestion de l'affaire Barthez : «Ce que je constate, c'est que, depuis cette histoire, Runje ne réalise plus d'arrêts déterminants.» Et si RLD estime qu'«en dix-huit mois, ils ont accompli un super boulot», c'est généralement ce qu'on dit quand on veut se débarrasser de collaborateurs qui ont fait leur temps. RLD loue leur «bilan très positif» : on en est bien à l'heure des comptes. Et il ajoute un autre tacle : «Peut-être y a-t-il eu un excès de confiance comme cela arrive parfois quand tout va bien. On se croit arrivé et puis...» Surtout, RLD qualifiait le match de Monaco vendredi d'«importantissime. Pour moi, c'est le tournant de la saison».
Fini les grandes gueules. Le discours de Perrin ne passe plus, surtout parce qu'il a perdu, avec les errements de Celestini, son relais dans le groupe. Aucune grande gueule, style Leboeuf l'an dernier, n'émerge pour combler les déficiences.
Dans ces cas-là, souvent, on change d'entraîneur. Mais hier, Bouchet affirmait à la Provence qu'il ne fallait «pas tout chambarder». Son calcul consiste à serrer les fesses pendant les trois matchs qui restent jusqu'à la trêve hivernale. «Le meilleur moyen de sortir du grain est de maintenir le cap», assure le président. Bouchet changera éventuellement d'option lorsqu'il estimera qu'il risque lui-même sa place. Plutôt que d'exploser, il fera alors sauter un fusible nommé Perrin. Qui connaît l'adage : «Perds à Belgrade, tout se dégrade.»
Ces derniers temps, l'OM réussit parfaitement à être nul, mais va-t-il ce soir réussir LE nul à Belgrade contre le Partizan qui a démontré à l'aller, malgré sa défaite 3-0, qu'il pratique un beau football ? Voilà la question du jour. Ce nul (ou une victoire, mais restons modestes) permettrait à l'OM de conserver la troisième place du groupe F de la première phase de la Ligue des champions. Ce qui assure de rester «européen», en étant reversé en seizième de finale de la Coupe de l'UEFA. En cas de défaite, en revanche, on craint de voir la tronche à Perrin au bout d'une pique sur la Canebière dès demain matin.
Loin de ses prétentions. Parce que là, le président Bouchet n'aura pas le choix. Il sait que virer le manager général n'est peut-être pas la bonne solution ; mais ça peut devenir la seule. Car, avec quatre défaites d'affilée à domicile (joli tableau de chasse : l'OM a perdu contre Lyon, le Real Madrid, le PSG, et Monaco vendredi) et douze points de retard en L1, Marseille, déjà éliminé de la Ligue des champions avant le dernier match de groupe, s'affiche bien loin de ses prétentions.
Venu de Troyes il y a dix-huit mois pour remettre de l'ordre dans la baraque, Perrin a trouvé ses limites. Les piliers de l'an dernier (Runje, Van Buyten, Celestini, Hemdani) doutent et se trouent, les recrues de l'intersaison déçoivent en majorité. Le coach, lui, ne sait plus quoi faire. Les deux systèmes utilisés depuis le début de saison (le turnover permanent, puis l'équipe stable) ont produit le même échec. Offensivement, le jeu se révèle pauvre : on balance sur la paire Drogba-Mido, à eux de se débrouiller. Jamais de débordements sur les ailes personne n'en semble capable. Défensivement, l'assurance de la saison passée a disparu. Dans les buts, depuis qu'il a appris qu'il serait remplacé par Barthez (en janvier), Runje n'en fiche plus une. Il est surtout excellent sur le terrain des interviews pour tacler son coach.
Alors ça grince à tous les étages. A commencer par l'actionnaire principal Robert Louis-Dreyfus (RLD). Dans la Provence du 2 décembre, il morigène la paire Bouchet-Perrin pour sa gestion de l'affaire Barthez : «Ce que je constate, c'est que, depuis cette histoire, Runje ne réalise plus d'arrêts déterminants.» Et si RLD estime qu'«en dix-huit mois, ils ont accompli un super boulot», c'est généralement ce qu'on dit quand on veut se débarrasser de collaborateurs qui ont fait leur temps. RLD loue leur «bilan très positif» : on en est bien à l'heure des comptes. Et il ajoute un autre tacle : «Peut-être y a-t-il eu un excès de confiance comme cela arrive parfois quand tout va bien. On se croit arrivé et puis...» Surtout, RLD qualifiait le match de Monaco vendredi d'«importantissime. Pour moi, c'est le tournant de la saison».
Fini les grandes gueules. Le discours de Perrin ne passe plus, surtout parce qu'il a perdu, avec les errements de Celestini, son relais dans le groupe. Aucune grande gueule, style Leboeuf l'an dernier, n'émerge pour combler les déficiences.
Dans ces cas-là, souvent, on change d'entraîneur. Mais hier, Bouchet affirmait à la Provence qu'il ne fallait «pas tout chambarder». Son calcul consiste à serrer les fesses pendant les trois matchs qui restent jusqu'à la trêve hivernale. «Le meilleur moyen de sortir du grain est de maintenir le cap», assure le président. Bouchet changera éventuellement d'option lorsqu'il estimera qu'il risque lui-même sa place. Plutôt que d'exploser, il fera alors sauter un fusible nommé Perrin. Qui connaît l'adage : «Perds à Belgrade, tout se dégrade.»
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dans le meme acabi je pourrais direarticle de libé. rien de nouveau mais une sorte de synthèse :
Ces derniers temps, l'OM réussit parfaitement à être nul, mais va-t-il ce soir réussir LE nul à Belgrade contre le Partizan qui a démontré à l'aller, malgré sa défaite 3-0, qu'il pratique un beau football ? Voilà la question du jour. Ce nul (ou une victoire, mais restons modestes) permettrait à l'OM de conserver la troisième place du groupe F de la première phase de la Ligue des champions. Ce qui assure de rester «européen», en étant reversé en seizième de finale de la Coupe de l'UEFA. En cas de défaite, en revanche, on craint de voir la tronche à Perrin au bout d'une pique sur la Canebière dès demain matin.
Loin de ses prétentions. Parce que là, le président Bouchet n'aura pas le choix. Il sait que virer le manager général n'est peut-être pas la bonne solution ; mais ça peut devenir la seule. Car, avec quatre défaites d'affilée à domicile (joli tableau de chasse : l'OM a perdu contre Lyon, le Real Madrid, le PSG, et Monaco vendredi) et douze points de retard en L1, Marseille, déjà éliminé de la Ligue des champions avant le dernier match de groupe, s'affiche bien loin de ses prétentions.
Venu de Troyes il y a dix-huit mois pour remettre de l'ordre dans la baraque, Perrin a trouvé ses limites. Les piliers de l'an dernier (Runje, Van Buyten, Celestini, Hemdani) doutent et se trouent, les recrues de l'intersaison déçoivent en majorité. Le coach, lui, ne sait plus quoi faire. Les deux systèmes utilisés depuis le début de saison (le turnover permanent, puis l'équipe stable) ont produit le même échec. Offensivement, le jeu se révèle pauvre : on balance sur la paire Drogba-Mido, à eux de se débrouiller. Jamais de débordements sur les ailes personne n'en semble capable. Défensivement, l'assurance de la saison passée a disparu. Dans les buts, depuis qu'il a appris qu'il serait remplacé par Barthez (en janvier), Runje n'en fiche plus une. Il est surtout excellent sur le terrain des interviews pour tacler son coach.
Alors ça grince à tous les étages. A commencer par l'actionnaire principal Robert Louis-Dreyfus (RLD). Dans la Provence du 2 décembre, il morigène la paire Bouchet-Perrin pour sa gestion de l'affaire Barthez : «Ce que je constate, c'est que, depuis cette histoire, Runje ne réalise plus d'arrêts déterminants.» Et si RLD estime qu'«en dix-huit mois, ils ont accompli un super boulot», c'est généralement ce qu'on dit quand on veut se débarrasser de collaborateurs qui ont fait leur temps. RLD loue leur «bilan très positif» : on en est bien à l'heure des comptes. Et il ajoute un autre tacle : «Peut-être y a-t-il eu un excès de confiance comme cela arrive parfois quand tout va bien. On se croit arrivé et puis...» Surtout, RLD qualifiait le match de Monaco vendredi d'«importantissime. Pour moi, c'est le tournant de la saison».
Fini les grandes gueules. Le discours de Perrin ne passe plus, surtout parce qu'il a perdu, avec les errements de Celestini, son relais dans le groupe. Aucune grande gueule, style Leboeuf l'an dernier, n'émerge pour combler les déficiences.
Dans ces cas-là, souvent, on change d'entraîneur. Mais hier, Bouchet affirmait à la Provence qu'il ne fallait «pas tout chambarder». Son calcul consiste à serrer les fesses pendant les trois matchs qui restent jusqu'à la trêve hivernale. «Le meilleur moyen de sortir du grain est de maintenir le cap», assure le président. Bouchet changera éventuellement d'option lorsqu'il estimera qu'il risque lui-même sa place. Plutôt que d'exploser, il fera alors sauter un fusible nommé Perrin. Qui connaît l'adage : «Perds à Belgrade, tout se dégrade.»
"écrire à LIBé rnd benet"

il y a pas à dire j'en arrive à regrétter l'EQUIPE quand je lis ça...

"Quand le mensonge et la crédulité s'accouplent et ils engendrent l'opinion " ...et c'est encore plus vrai aujourd'hui
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