Certes, c'est cool d'avoir une star mondiale made in Mars, mais il faudrait peut-être arrêter les applaudissements imbéciles à chacun des murmures de notre Zizou national/i] -expression qui m'hérite autant le poil que notre Johnny national/i]. Un jour ca peut se transformer en sifflets tout aussi imbéciles; c'est ca un troupeau.
Puisque Môôônsieur a autant de valeurs, il n'avait qu'à prévoir une venue au club de son fameux idole Enzo, dés cette saison...




Pour ceux qui n'ont pas lu la dernière interview de Môôônsieur Zéro défauts:
MADRID – de notre envoyé spécial
« LE REAL VIENT de rentrer d’une tournéeenAsie dont on a énormément parlé, mais assez peu pour des raisons sportives. Est-ce aussi votre sentiment : avoir faituntruc qui était autre chose que du sport ?
– On était avertis, on savait comment ça allait se passer. En revanche, c’est sûr que ce n’est pas forcément la meilleure façon de préparer une saison. L’objectif, c’était de revenir sans blessés, et c’est le cas.
– Franchement, y a-t-il eu un moment où vous vous êtes demandé ce que vous faisiez là ?
– Oui. Surtout pendant qu’on voyageait. Quand je dis voyager, ça veut
dire trois ou quatre heures d’avion, car la Chine est immense. Ce n’était
pas le tour de France où tu fais une heure d’avion et hop ! Une fois sur
place, il y avait une ou deux heures de bus avec la circulation, et donc, en
tout, ça faisait six ou sept heures, sachant qu’on jouait le surlendemain.
C’est sûr que c’est moyen. On n’a fait aucun entraînement soutenu, en plus. Hormis au début, à Kumin, où nous sommes restés quatre oucinq jours et où nous avons pu travailler comme on le fait lors d’un début de saison. Sinon, à partir de Pékin, ce n’était pas jouable. Il n’y avait pas d’entraînement, c’était juste fondé sur la récupération.
– Du coup, vous avez sillonné tout le Sud-Est asiatique sans rien en voir, hormis les deux heures de bus tous les trois jours…
– Non, non. Il y a eu des pauses. Un après-midi à Pékin, un à Tokyo, un à Bangkok. Et puis, on a aussi eu une soirée libre à Hongkong où nous avons dîné tous ensemble. Et ça, ça ne se fait pas quand on est toute l’année àMadrid. J’ai trouvé ce côté là plutôt sympa.Hongkong, je n’imaginais pas çacomme ça. Ça n’a rien à voir avec Pékin ou le reste de la Chine. On a l’impression d’un endroit multiracial où il y a un peu de tout.
– Les supporters étaient-ils extrêmement respectueux ?
– Oui, mais chaque fois qu’on se déplaçait, il y avait trente gardes du
corps, donc, de ce côté-là, on n’était pas trop embêtés… Mais quand on
est arrivés devant le restaurant de Hongkong, il y avait une vingtaine de
caméras, une trentaine de photographes… À partir du moment où l’équipe du Real se rend au resto, il ne fallait pas s’attendre à autre chose.
– Cette ambiance du groupe réuni au complet a dû favoriser les liens et l’intégration de Beckham...
– Sincèrement, cette soirée a été plus que top. Vraiment, je ne vais pas
dire que j’ai été surpris, car ce n’est pas lemot, mais on a vraiment passé
un excellent moment. On a mangé, rigolé, bu un coup. Des choses qui
n’arrivent pas forcément souvent, quoi.
– Il n’y avait pas de clans ?
– On ne peut pas non plus parler de clans. Disons qu’il y a plus ou moins
d’affinités, comme dans tout groupe. Là, nous étions tous dans un cercle et chacun rigolait avec tout le monde.
– Dans ce groupe, il y a d’énormes stars et des ego très forts. Cela vous inquiète-t-il que l’un ou l’autre cherche à être la plus grande vedette ?
– De toute façon, avec moi, ça n’arrivera pas. (Il rit.) Je n’ai pas ce souci-là et je ne me pose pas la question.
– Vous savez toutefois que ce type de comportement peut rejaillir sur le terrain.
– Je me dis que nous sommes tous des garçons à peu près intelligents.
Alors oui, il faut faire attention à ça car on ne sait jamais. Mais nous
n’avons plus quinze ans. Je me dis que ça ne peut pas arriver. Ensuite,
c’est vrai que je ne connais pas les uns et les autres parfaitement, alors
affirmer que le risque est nul...
– Le recrutement d’une star par an depuis quatre saisons agace une partie du public. Comprenez-vous qu’on puisse en avoir marre du Real ?
– Bien sûr. De toute façon, cette année, ce sera multiplié par dix, mais
ça a toujours été le cas depuis que je connais le Real. À la fin, ça doit être
lourd pour les autres, et je peux le concevoir.
– Si vous n’étiez pas au Real, cela vous énerverait-il aussi ?
– Ben, forcément… Enfin, moi, à la limite peut-être moins, parce que je
n’en ai rien à faire. Ce que je veux dire, c’est que j’admets que ça puisse
déranger. Toujours parler des mêmes, savoir si machin a fait ça, s’il
a bien dormi… ça doit être un peu gonflant, mais on n’y peut rien, c’est
comme ça.
– Les cinq “Galactiques” (Raul, Figo, Zidane, Ronaldo, Beckham), comme on les surnomme à Madrid, sont des joueurs offensifs, et on se dit que ça fait un peu jeu vidéo…
– Ça devait même être comme ça à une époque :quand les gens jouaient
à la PlayStation, ils sélectionnaient certainement Figo avec Ronaldo, Raul, et, éventuellement, Zidane et un autre. Donc oui, ça devient ça.
– Mais quand on a été formé en France, qu’on est passé par la Juventus et qu’on ades bases tactiques…
– (Il coupe.)... précises.
– Voilà. Donc, ne redoute-t-on pas que ça vire au cirque ?
– Claude (Makelele) a dit dans France Football que ça pouvait être sublime ou catastrophique. C’est un peu ça. Soit le truc prend, soit ça ne
va pas. Surtout que ça ne se limitera pas au fait de gagner des matches de temps en temps. Là, il faut tout gagner, on n’a pas d’autre solution.
– Il semble que Figo passe à gauche et que vous vous décaliez dans l’axe. C’est plutôt une bonne nouvelle.
– Oui.
– La mauvaise, c’est que derrière, il n’y a plus grand monde, surtout si Claude Makelele s’en va.
– Moi, je ne veux rien anticiper. Le top, pour moi, serait que Claude reste et qu’on joue comme on l’a fait lors de la tournée en Chine.
– Évoluer dans l’axe, vous préférez ?
– J’y suis plus à l’aise, j’ai plus de facilités car je peux jouer à droite, à
gauche, devant, derrière. Cela multiplie les solutions et je peux davantage
surprendre que sur un côté où il fallait que je déborde de temps en temps. Moi, déborder… Je n’avais plus cinquante solutions. En même
temps, il faudra un équilibre global. Mon rôle, même avec Claude derrière, sera différent de celui que j’ai en équipe de France ou de celui
que j’avais à la Juve, derrière deux attaquants. Là, il y a quatre joueurs
devant, donc, quoi qu’il arrive, je jouerai plus près de Claude.
– Votre jeu est moins défensif qu’à votre arrivée en juillet 2001, mais dans cette configuration, vous allez peut-être devoir vous replier avantage.
– Attendez, quand vous êtes sur le terrain et que vous êtes porté vers
l’avant, vous êtes porté vers l’avant. Ils peuvent déjà être dix, si j’ai envie
d’aller devant, j’irai. Si mon jeu, l’action que j’exécute le nécessitent...
C’est ça que j’évoquais quand je parlais d’équilibre. Si moi j’y vais, il
faudra bien quelqu’un qui reste… Mais ça aussi, c’est une forme
d’intelligence.
– À propos d’intelligence, les coups francs seront désormais frappés par Beckham…
– Pas tous !
– Oui, mais avant déjà, Roberto Carlos était prioritaire…
– Ah ! ben c’est sûr que je vais en tirer encore moins que la saison
dernière. (Rires.)
– Justement, ne vous dites-vous pas parfois que sur ce coup, vous êtes trop intelligent ou…
– … trop bête !
– Oui, à force de prendre beaucoup de distance, de ne pas faire “cour d’école”, on contribue à se sortir du jeu…
– Oui, mais ça n’arrivera pas. Le jour où j’aurai envie de tirer un coup
franc, je le tirerai. C’est vrai que je suis moins là à dire : c’est moi qui
frappe. On en revient toujours à une forme d’intelligence : si un gars
prend le ballon, il faut le laisser, c’est qu’il est sûr de lui. Au contraire, il
faut être là pour l’encourager. On est nombreux, alors si tout le monde
regarde le gars du coin de l’œil, l’air de dire : on va bien voir si tu la mets…
– Les objectifs du Real pour cette saison sont évidemment la Liga et la Ligue des champions.
– Il faut tout gagner.
– En fin de saison, en plus, il y a le Championnat d’Europe des nations. Songez-vous à vous ménager ou bien jouerez-vous tout à fond avec les risques que ça comporte, sachant que vous restez sur une mauvaise expérience, en 2002 (1) ?
– Je ne suis pas du style à regarder derrière, surtout les mauvais
moments.
– Même pour en tirer des leçons ?
– On est obligé de faire un peu attention. Si c’est pour se carboniser…
Donc, oui, il faut se ménager des plages de repos. Cette année, avec le Real, ce sera compliqué, d’autant que la saison est concentrée dans le temps. En revanche, peut-être que ce que je vais dire sera mal interprété, mais si on est qualifié pour l’Euro début septembre, il y aura des ouvertures par rapport aux moments réservés aux rencontres de
sélections.
– Il n’y a pas de raison que cela soit mal interprété puisque c’est l’intention de Jacques Santini de laisser parfois souffler des internationaux beaucoup sollicités en club.
– Ben voilà. Je trouve ça très bien. Il faut être intelligent. J’ai eu une
approche de la Coupe du monde 1998 et de l’Euro 2000, que je n’ai
pas forcément eue en 2002. En même temps, c’est con ce que je viens de dire car tout le monde se dira que je me trouve une excuse, mais ce n’est pas ça. Simplement, je n’ai pas fait la même chose. Or ça a marché par le passé, et je vais faire pareil. Le Championnat d’Europe est la chose la plus importante à mes yeux aujourd’hui. Parce que :
1. Je suis plus près de la fin que du début.
2. J’ai envie d’effacer la Coupe du monde en Corée.
3. Les Bleus, c’est important. C’est peut-être la chose la plus importante
qui me soit arrivée dans ma carrière de footballeur.
À un moment donné, il y a des priorités. L’équipe de France, c’est ma
priorité.
– Vous avez évoqué votre retraite en 2005 et, donc, l’arrêt de votre carrière internationale après l’Euro. Est-ce pour cela qu’il est primordial
à vos yeux ?
– Non. J’ai parlé de 2004, car en 2006 j’aurai trente-quatre ans et je ne sais pas si dans trois ans je serai aussi performant que je l’ai été
jusqu’ici. Or, je ne veux pas faire une simple année après l’Euro. C’est
comme ma fin de carrière. J’ai avancé 2005 car c’est la fin de mon
contrat avec le Real.
– Quand vous voyez Desailly prolonger d’un an à Chelsea, Lizarazu faire de même au Bayern, vous vous dites qu’il vous faudra appréhender la
suite comme ça, année par année ?
– Oui. Je crois qu’à un moment, c’est ça. J’en ai parlé un peu avec “Liza”. Ce n’était pas forcément le choix qu’il avait envisagé, et puis, le club voulait qu’il reste, il avait encore son plaisir au Bayern, il y était bien,
et voilà. Moi, ça se passera aussi de cette façon.
– En équipe de France, une génération est née après l’Euro 1996. Elle disparaît peu à peu au profit de jeunes qui ont plus d’assurance que vous n’en aviez à vos débuts internationaux. Ce changement peut-il également vous inciter à arrêter ?
– Non. Même si je suis timide et qu’on a l’impression que je ne suis pas sociable, quand je suis bien dans un élément, je me régale. Je ne vois
pas le truc comme ça, même s’il est vrai que ce que nous avons vécu en
1998, nous ne le revivrons plus. Je ne suis pas obsédé par ça, mais c’était
génial. Tu es footballeur pour vivre de tels moments.
– On sent parfois que la montée de jeunes portés par une vague médiatique agace quelques “anciens”.
– Si c’était vraiment le cas, ce serait aussi mon avis. Ça me gonflerait.
Mais ce n’est pas ainsi. Moi, je suis toujours arrivé sur la pointe des
pieds, j’ai toujours fait attention à l’expérience des grands. Apprendre.
Je me rappelle à Cannes, lorsque je cirais les chaussures, que je
nettoyais les vestiaires. C’est vrai qu’aujourd’hui ça ne se fait plus.
– Le regrettez-vous ?
– Bien sûr. Ça leur ferait du bien, aux jeunes ! Ça les laisserait à leur
place. On a besoin de passer par là. Mais vous l’avez dit, c’est la faute
des médias aussi. Celui qui marque un but, on a l’impression qu’il est
immédiatement la nouvelle star de j’sais pas quoi. C’est aussi la faute
des nouveaux contrats. Un énorme contrat à dix-sept ans, ce n’est pas la
meilleure école. Mais il faut aussi accepter que les choses évoluent.
– Qu’avez-vous pensé de la Coupe des Confédérations ? L’avez-vous suivie de loin (2) ?
– Non, je l’ai suivie à fond. Et ça m’a fait plaisir de voir mes potes avec le
sourire, même si, malheureusement, il y a eu ce drame de Marc-Vivien
Foé.
– Concernant les Bleus, Marcel Desailly a insisté après le succès sur le fait que l’équipe de France avait démontré qu’elle pouvait gagner sans
vous. Souvent, il ne vous ménage pas. “Souvenez-vous que, déjà en 1998 (…), Zizou nous avait lâchés”, disait-il dans L’Équipe le 31 mai 2002.
“Il y a une vie sans Zidane ! Il nous a éblouis à l’Euro 2000, mais ajoué l’Euro 1996 diminué par un accident de voiture, s’est fait expulsé et a été
suspendu deux matches en 1998. On va faire sans lui”, disait-il encore dans L’Équipe du 16 août 2002. On a l’impression que le capitaine des Bleus aime vous titiller sur le côté “star”.
– Ce n’est pas le genre de comportement et de propos qu’il a avec moi.
Donc, s’il a dit ça, ça peut me surprendre. Si ça s’est effectivement
produit, ce n’est pas très malin de sa part. Maintenant, je vis au-dessus de
ça, mais s’il a quelque chose à manifester, ce serait bien qu’il me le dise à
moi. Mais je vois bien comment il est, Marcel. Il dit les trucs de façon un
peu ironique, goguenarde.
– N’a-t-il pas dumal à accepter que le débutant qu’il a vu débarquer chez les Bleus en 1994 soit aujourd’hui une immense star, à admettre qu’on demande qui est à côté de Zidane quand on vous voit tous les deux sur une photo ?
– C’est marrant, ça. Ça me fait bien rire votre idée.
– Sérieusement, ne pensez-vous pas qu’à force d’être “au-dessus de tout ça”, comme vous dites, des gens donnent des avis qu’ils n’oseraient
émettre…
– (Il coupe.) Avec quelqu’un qui la ramènerait ? Une grande gueule, quoi ? Oui, je crois que c’est juste. Mais concernant Marcel, on va dire
que lorsqu’il dit ça, c’est avec son sens de la distance et de la rigolade.
– Vous aurez bientôt dix ans de carrière en équipe de France. À part les cheveux, avez-vous l’impression d’être le même ou d’être un extraterrestre?
– Non, non, non. Je suis resté le même. Grâce à une famille et à un
entourage qui font que je ne peux pas changer. J’ai une certaine éducation, la plus belle du monde. Je n’ai pas eu grand-chose, mais du cœur, j’ai tout eu. En revanche, si on est seul, c’est vrai que ça peut aller vite pour péter un plomb. Très très vite. Si je n’avais pas eu cet entourage-là, je me serais peut-être mis à faire le beau. Mais si tu changes aux yeux d’une personne qui t’aime beaucoup, elle va te le dire. Si elle ne t’aime pas, elle te laissera faire le barbeau.
– Parfois, stressez-vous par rapport à votre fils aîné, au poids que peut représenter aujourd’hui votre nom pour lui ?
– Forcément, on y pense. Mais j’essaie d’être le plus simple possible,
le plus proche possible, pour lui donner l’éducation que j’ai eue, celle
que ma femme a reçue de ses parents. On essaie de lui transmettre
des valeurs pour lui montrer le chemin. J’espère que mes trois fils auront chacun leur personnalité, mais qu’ils auront des valeurs.
– On a le sentiment que pour vous, une chose est immuable : le jugement de votre père.
– C’est complètement vrai. C’est la personne la plus importante au monde, avec ma maman, bien entendu. C’est celui qui a toujours été là pour nous dire ce qu’il fallait faire ou ne pas faire. Quand j’étais plus jeune, c’était un peu soûlant, mais à l’arrivée, il avait raison. J’ai vu un reportage à la télé sur trois gamines de seize ans qui en ont marre de leurs parents. Eh bien ! si on les revoit dans dix ans, ce sera merci papa, merci maman. Il faut vivre sa vie d’ado, faire des bêtises pour apprendre, mais il faut prêter l’oreille à ce que disent les parents. Une maman ou un papa ne donneront jamais un mauvais conseil à leur enfant.
– Vous parlez de valeurs et d’éducation. Le problème du milieu du foot aujourd’hui ne se résume-t-il pas au manque d’éducation ?
– Je me dis surtout qu’il faut parfois passer par des choses qui ne plaisent
pas pour apprendre. Si tout est plaisir, si à dix-sept ou dix-huit ans, on a de l’argent et tout, ce n’est pas qu’on ne respecte rien, mais c’est difficile. Je ne veux pas faire une généralité liée à ce qu’on n’a pas comme moteur d’ascension sociale car il existe plein de gens qui n’ont jamais manqué de rien et qui ont des valeurs. Ce que je veux dire, c’est que la meilleure école, c’est d’avoir un jour manqué de quelque chose. Pas de l’essentiel. L’essentiel, c’est la famille, le lien. Mais manger un bon steak… Je dis le steak parce que pour moi, petit, c’était ce qui était le plus coûteux. Mais quand on le déguste, onse rappelle des moments durs, et on réalise, on savoure. Bon, ce n’est pas non plus une garantie de ne pas péter un boulon.Mais moi, ça me suffit à me régaler chaque jour. Pas parce que j’ai beaucoup d’argent, mais je me dis qu’avec un truc simple, je me fais plaisir.
– Vous n’êtes pas envieux...
– Non. De personne. Chacun a la vie qu’il mérite. Sincèrement. »
Entretien réalisé par FABRICE JOUHAUD
(1) Vainqueur de la Ligue des champions, Zinédine Zidane avait rejoint les
Bleus un peu plus tard au Japon, mais s’était blessé avant la Coupe du monde lors d’un match amical contre la Corée du Sud (3-2).
(2) Retenu par son club en Championnat d’Espagne, il n’a pas participé à ce tournoi.