Le ballon Adidas revient sur les incidents ayant émaillé la rencontre OM – PSG et notamment sur le traitement dont il a fait l’objet de la part du gardien du club phocéen.
Racontez nous votre soirée…
Le Ballon : Déjà lors de l’entrainement, j’ai remarqué avec quelle virulence Fabien Barthez me traitait. Pendant la partie, j’ai senti énormément de violence dans ses dégagements aux poings et aux pieds. Il jouait pour me faire mal, c’est clair !
Il paraît qu’il vous a également insulté…
L.B : En effet, tout au long du match il n’a cessé de me lancer des propos injurieux. Notamment à la 36ème minute où il a proféré un virulent : « Oh con de ta mère, si tu rentres dans mon but je t’explose ! » Il m’a également craché dessus aux 12ème, 48ème et 63ème minutes. Comme je ne voulais pas rentrer pas dans les buts d’Alonzo, il s’est montré de plus en plus agressif.
Peut-on évoquer des propos racistes ?
L.B : Là, je vous arrête tout de suite ! Etant moi-même Blanc, aucune injure raciale ne m’a été adressée. Toutefois, des collègues aux bandes noires et jaunes de chez Nike m’ont rapporté des attitudes plus qu’ambigues de la part de Fabien Barthez.
Avez vous déjà vécu pareille mésaventure ?
L.B : Honnêtement, jamais ! C’est la première fois qu’on me traite de la sorte. Le match fut très éprouvant aussi bien physiquement que psychologiquement.
Subissez vous le même traitement avec Grégory Coupet ?
L.B : (rires) Avec Greg ? Non, jamais ! Il me caresse, me sussure des mots doux, me dégage avec douceur, me nettoie après les entrainements, me regonfle. C’est un vrai gentleman.
Comptez vous en rester là ?
L.B : loin de moi l’idée de mettre de l’huile sur le feu, mais de tels agissements ne peuvent rester impunis ! Je compte saisir la justice sportive ainsi que le syndicat des ballons de première division !
Propos recueillis par François-Jean Languedepute pour Foot 365[/quote]
<!--QuoteBegin-L'épique.fr+--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (L'épique.fr)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--><span style='font-size:14pt;line-height:100%'>Une attaque bactériologique dans les vestiaires du PSG ?</span>
mer 19 oct, 00h02
Les Parisiens ont dû changer de vestiaire avant le coup d’envoi de la rencontre de dimanche contre Marseille en raison d’une atmosphère irrespirable. Les joueurs parisiens ont été relogés dans d’autres vestiaires situés sous le virage nord du Stade Vélodrome.
De source proche de l’encadrement du PSG, on évoque une attaque bactériologique au Cif senteur des pins. L’entraineur parisien, Alain Fournier, raconte : « je suis rentré en premier dans les vestiaires. J’ai tout de suite aperçu des petits sapins odorants, comme ceux que l’on trouve sur les rétroviseurs des voitures, accrochés devant chaque casier. J’ai trouvé ça louche. Puis une odeur de Cif senteur des pins m’a brusquement submergé. J’ai prestement bondi hors du vestiaire et fermé la porte en hurlant à mes joueurs de fuir le plus loin possible. Mais le mal était fait, j’avais la tête qui tournait et on a du me prendre la tension. »
Les joueurs parisiens furent ensuite conduits sous bonne escorte policière jusqu’à leur nouveau vestiaire de fortune. Alors que l’on pensait l’incident clos, une deuxième vague d’attaque frappa les membres du club de la capitale. Un agent d’entretien fit un raid kamikaze pour s’enfermer dans les toilettes du nouveau vestiaire parisien et menaça de vaporiser du Air Wick senteur lavande.
L’encadrement parisien contacta de suite son plus fidèle supporter en la personne du Ministre de l’Intérieur, Monsieur Nicolas Sarkozy. Ce dernier ordonna à une escouade du GIGN et de la Brigade anti-terroriste de se rendre sur place. Après un bref assaut, le forcené fut rapidement maitrisé ! Il est actuellement entendu par la PJ de Marseille. On le soupçonne d’être lié au Milieu du savon de Marseille et d’avoir quelques accointances avec le lobby de la lavande. Le rôle des dirigeants olympiens dans cette sombre affaire reste encore à éclaircir. Affaire à suivre.[/quote]
<!--QuoteBegin-Libération.fr+--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Libération.fr)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--><span style='font-size:14pt;line-height:100%'>José Anigo caillase le bus parisien</span>
par Michel Troudeballe
QUOTIDIEN : mardi 18 octobre 2005
A la fin du match, un nouvel événement vint perturber le retour des joueurs et de l’encadrement du PSG dans la capitale. Alors que le Directeur Sportif de L’OM, José Anigo, buvait un Cacolac devant le bus des Parisiens, il se mit, probablement éméché, à insulter les passagers du bus en lançant des chants guerriers : « et ils sont où ? et ils sont où ? et ils sont où les parigos ? »
Devant l'indifférence pleine de flegme des parisiens, il jeta de dépit sa canette vide dans la poubelle mais son tir rata la cible et ladite canette roula jusqu’à heurter un des pneus du bus. Effrayés par cette attaque d'une incroyable sauvagerie, Rothen et Armand se mirent à pleurer, Mendy se cacha sous son siège, Fournier s'évanouit, Moutier fit une crise de tacchycardie et Kalou se mit à vomir. José Anigo fut rapidement maitrisé et il est actuellement entendu par la PJ de Marseille.Une cellule psychologique a été ouverte pour venir en aide aux victimes.[/quote]
<!--QuoteBegin-Le Monde.fr+--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Le Monde.fr)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--><span style='font-size:14pt;line-height:100%'>Le Paris SG demande au Conseil de Sécurité de L’ONU de "faire la lumière"</span>
LE MONDE | 17.10.05 | 14h46 • Mis à jour le 17.10.05 | 14h46
"La direction du PSG (…) regrette vivement les incidents qui se sont produits (...) et notamment les conditions dans lesquelles les joueurs et le staff technique ont été accueillis" au stade Vélodrome, indique le Paris SG dans un communiqué.
Le club parisien "exprime son indignation sur ce qui s'est produit avant et pendant le match et demande au Conseil de Sécurité de L’ONU de faire avec diligence la lumière sur des incidents d’une extrème gravité : une attaque bactériologique au Cif senteur des Pins et à l’Air Wick fraicheur lavande, suivie d’un caillassage en règle du bus à coup de canette de Cacolac par le Directeur Sportif de l’OM."
Laurent Fournier, entraineur du Paris Saint Germain en Laye, fulmine : « En plus, Didier Barbelivien n’arrêtait pas de passer et de repasser devant notre vestiaire de fortune en se caressant les cheveux avec sa main droite, des stewards mangeaient des sandwichs et les caméras de Canal+ n’arrêtaient pas de filmer et de solliciter des interviews ! Trop, c’est trop ! On a vu le gentil Laurent Fournier jusqu’ici, mais si ça ne dépendait que de moi, je demanderais un bombardement aérien de la ville de Marseille ! »
Affaire à suivre.[/quote]
<!--QuoteBegin-Yahoo Sport+--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Yahoo Sport)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--><span style='font-size:14pt;line-height:100%'>Les joueurs parisiens mettent en cause l’arbitrage</span>
lun 17 oct, 18h03
PARIS, 17 oct (AFP) - L’arbitrage de Monsieur Poulat lors du match de championnat OM – PSG de dimanche dernier n'a pas finit de faire couler beucoup d'encre fait actuellement l’objet de vives critiques de la part du club de la capitale. Les joueurs reprochent notamment à l’homme en noir de ne pas avoir expulsé Ribéry pour une double simulation flagrante. Selon Bernard Mendy, « Ribéry n’en est pas à son premier coup d’essai, il passe son temps à plonger et à accentuer tous ses gestes. Sur mon tacle par derrière, je ne le touche même pas et c'est moi qui suis sanctionné ! Les images sont pourtant claires ! » En effet, grâce à la loupe Canal+ agrémentée des logiciels Photoshop et MovieMaker, on aperçoit clairement le plongeon de Ribéry qui, de plus, se trouvait à trois bons mètres de la surface de réparation.
De son côté, Modeste M’Bami accuse Ferreira de s’être retourné pour lui faire mal : « Je le taclais régulièrement par derrière avec les deux pieds décollés du sol lorsqu’il s’est mis à me frapper les crampons avec son tendon d’achille. Et l’arbitre siffle contre moi, ça n’est à ne plus rien comprendre ! »
Non content de ne pas avoir expulsé les deux joueurs olympiens, Monsieur Poulat accorde le but plus que litigieux de la victoire. Grâce au zèle de Denis Balbir et à la fameuse palette de Philippe Doucet qui ont travaillé toute la nuit durant pour nous fournir ces images, on voit clairement Lorik Cana se faire accrocher le maillot. « C’est une méthode de vaudou albanais » peste Bonaventure Kalou. « Il m’ordonnait mentalement que je lui accroche le maillot afin de m’empêcher de sauter. J’en ai discuté après le match avec Mario (ndlr : Yépès) et il lui est arrivé la même mésaventure avec l’aut’ Yougo, César. Il n’y a que l’arbitre qui s’est laissé dupé, c’est un scandale ! »
« Il faut que le Conseil de l’Ethique se saisisse de l’affaire » a commenté sobrement et dignement Jean-Michel Moutier. Même si, sous couvert d’anonymat, des membres proches du club avancent la thèse de la corruption. Affaire à suivre.[/quote]
On est mal barrés
