le pire, c'est que même un Divert aurait joué à l'étranger, dans le contexte actuel, genre en attaque à Middlesbrough, un truc dans le genre, plutôt qu'à Caen ou Montpellier

on en est à peu près là :cry2:
Lyon, champion du vide
Il n'y a pas que le 12 qui ait disparu mercredi dernier. Lyon, cette grande équipe du petit championnat de France s'est fait balayé par une équipe milanaise pourtant pas resplendissante. Si Gérard Houiller a largement évoqué le manque d'expérience après quatre ans de Champion's league, d'autres comme Govou ou Juninho ont regretté cette pernicieuse fortune qui poursuit les clubs français depuis 50 ans.
Ne nous y trompons pas, Lyon est une grande équipe face à Nancy, Le Mans, Metz ou encore Troyes, mais c'est un nain du football européen. Après s'être sorti du groupe des morts d'ennuis, -Qui se souvient des matchs contre l'Olympiakos et Rosenborg ?- Lyon a balayé le Real Madrid, l'année où les "Meringues" étaient-et sont- au plus mal. A la recherche d'une reconnaissance qui les fuit, le service marketing de l'OL pourra toujours editer le DVD du match dans ce qui reste, pour l'heure, la plus grande performance du club en Coupe d'Europe. Signe du destin et véritable coup de pouce du destin, Lyon s'est ensuite retrouvé face au PSV pour la revanche de l'année dernière. L'équipe rhodanienne n'a pas fait la fine bouche en dépucelant comme il se doit une équipe de jeunes inconnus. Car il ne faut pas se le cacher, le PSV n'était pas au mieux cette saison, la faute au départ massif de ses cadres pour les grands clubs européens. Sans souffrir et presque sans efforts, les Gones se sont retrouvés en quart de finale de la Ligue de champions dans ce qui représentait vraiment le premier obstacle de poids de la saison : le Milan AC. Une autre histoire, une autre ambiance, un autre niveau. Dépassé pendant 30 minutes à Lyon, l'équipe d'Houiller a su quelque peu redresser la barre en seconde mi-temps, sans pour autant être étincelante. Bien sûr il n'y avait pas Juninho, mais ce n'est pas non plus Ronaldinho...Avec le Brésilien, disponible pour le match retour, les Gones ont certes mieux joué mais le résultat s'est avéré des plus laborieux malgré l'euphorie éphémère consécutive au but de Diarra. Lyon a vu ses espoirs de qualification s'évanouir avec le but de cette fouine d'Inzaghi, qui précédait l'assaut final de l'artificier Shevchenko, qui en véritable renard des surfaces interceptait une passe du gentil Clerc, et crucifiait sur le champ le pape des Gones, Grégory Coupet.
Lyon a explosé mais que les supporters du club se rassurent, le titre de champion de France est déjà dans la poche. Trop grand pour la France et trop petit pour l'Europe, Lyon devra attendre longtemps avant de soulever la coupe aux grandes oreilles...L'écurie aulassienne n'est décidément pas encore au niveau des grands et n'attire ni sympathie, ni tristesse. Tout le monde s'en fout et c'est bien cela le problème. En attendant, on pourra toujours se marrer avec les bonus du DVD du match contre les Galacticos.
JPS
tu vois, tu reparts sur tes "nom"Le vieux Buk a écrit :Kapo, Meriem... c'est du Fabrice Divert ou du Gravelaine (dans le genre plus "récent"), si on parle fin 80 ou années 90... C'est pas Klinsmann ou Stojkovic ou Scifo, mais alors pas du tout du tout :|
euh... tu continues à parler d'autre chose, là, non ???marcelo a écrit :tu vois, tu reparts sur tes "nom"![]()
En grand défenseur de Xavier Gravelaine que je suis, je peux affirmer sans aucune hésitation, que le petit Dragan, à part son "nom" ronflant, n'a pas accompli 20% de ce qu'a accompli Gravelaine chez nous. Si je devais faire un classement, le commencerais par Meriem, puis je taperai dans du Stojkovic (encore que je me demande si Meriem n'a même pas fait mieux) puis je mettrai Gravelaine loin devant. En 2 saisons, il a mis autant de buts que Baka en 5 et a porté l'OM a bout de bras durant cette période. Stojkovic à part ses 3 roulettes-rateaux à son arrivée, son jetage du maillot de l'OM par terre
et ses blessures, j'en retiens pas grand chose.... Mais c'est vrai excuses-moi, c'est un "nom"
![]()
Totor,
marcelo a écrit :tu vois, tu reparts sur tes "nom"Le vieux Buk a écrit :Kapo, Meriem... c'est du Fabrice Divert ou du Gravelaine (dans le genre plus "récent"), si on parle fin 80 ou années 90... C'est pas Klinsmann ou Stojkovic ou Scifo, mais alors pas du tout du tout :|![]()
En grand défenseur de Xavier Gravelaine que je suis, je peux affirmer sans aucune hésitation, que le petit Dragan, à part son "nom" ronflant, n'a pas accompli 20% de ce qu'a accompli Gravelaine chez nous. Si je devais faire un classement, le commencerais par Meriem, puis je taperai dans du Stojkovic (encore que je me demande si Meriem n'a même pas fait mieux) puis je mettrai Gravelaine loin devant. En 2 saisons, il a mis autant de buts que Baka en 5 et a porté l'OM a bout de bras durant cette période. Stojkovic à part ses 3 roulettes-rateaux à son arrivée, son jetage du maillot de l'OM par terre
et ses blessures, j'en retiens pas grand chose.... Mais c'est vrai excuses-moi, c'est un "nom"
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Totor,
ben voilàmarcelo a écrit :A l'époque, quand on recrutait un Klinsmann on annonçait jouer le titre. Maintenant c'est avec des Kapo et Meriem.
[...]
M'enfin, même l'OL qui joue le haut du tableau et la coupe d'europe tous les ans a du mal à attirer du beau monde...
On fabrique du rêve. La célébrité jetable accessible à (presque) tous. Tu fais la Une des journaux pendant 2 mois, puis on se lasse alors on te remplace par quelque chose de nouveau qui aura une durée de vie tout aussi courte.Le vieux Buk a écrit :...quoi que... quand on y pense, les medias ne font pas ça que dans le foot, et on vit manifestement une période où on fabrique de la "star" et du "people" à tout bout de champs.