
cette année ils ont vraiment une grosse équipe. le match d'aujourd'hui, c'était le contre coup de l'euphorie de l'après-Real.... ils vont reprendre leur rythem dès la semaine prochaine...

Et j'espère que ce coup-ci on va parler un peu plus de l'arbitrage favorable aux quenelles car là c'est gros ce qu'il s'est passé cet après-midi. Si on compare la main de Did qui avait valu péno à Sochaux y a 2 saisons aux 4 de cette aprem, la plus involontaire et la plus collée au corps était celle de Did. Et les 6 cartons jaunes collés aux quenelles c'est juste pour noyer le poisson.17/09/2005
Foot - L1 : Bordeaux voulait un penalty
De tous les tournants du match difficiles à avaler pour les Girondins, la main de Cris dans la surface de réparation dès la 3e minute a été le plus mal vécue après le nul (1-1) contre Lyon. Sur un déboulé côté gauche de Darcheville, le centre du Guyanais était dévié de la main par Cris, qui enlevait le ballon de la tête de Chamakh en embuscade. Mais trois jours après la suspension provisoire du vice-président monégasque Gérard Brianti, la plupart de Bordelais ont préféré utiliser un langage diplomatique pour communiquer leur désaccord avec les décisions de Bruno Derrien.
«Si vous m'attendez pour parler de l'arbitre, je pense qu'il n'a pas connu un après-midi très agréable, ça arrive», déclaré par exemple Ricardo au milieu d'un vestiaire très agité. «La main de Cris, c'est la main de Maradona», ironise le président Jean-Louis Triaud. Impliqué sur l'action, Jean-Claude Darcheville est plus direct. «Tout le stade l'a vu, on se fait voler, dit-il. Il y a au moins deux penalties non sifflés». Les Lyonnais ont pris l'épisode avec fair-play. «La main de Cris est effective, il y avait vraiment penalty», reconnait Grégory Coupet, fier du point pris après un match «timide».
Deux autres actions en fin de match, impliquant Tiago, sont aussi contestées par Bordeaux. «Tiago n'a pas la main près du coeur, il y avait penalty, estime Ricardo. Si l'arbitre assistant était si rigoureux pour voir le hors-jeu de Fernando qui se passe à 40 mètres, comment n'a-t-il pas vu la main qui se passe à 20 mètres de lui ? Je ne veux pas jeter la pierre aux arbitres, mais au final on perd deux points. Déjà que c'est très difficile de battre Lyon...» Dans son coin, le président Triaud ne décolérait pas, et relançait le débat sur l'arbitrage assisté par vidéo. «Ca me fatigue d'en reparler mais tout le monde en a envie, certains arbitres aussi. On doit faire quelque chose». (Avec AFP)