MONSTREUX ! ce que l'Equipe a sorti comme papier sur le Psg et le match d'hier soir, je l'ai pas vu ce match, mais putain le journaliste les taille en morceaux comme j'ai rarement lu
Obligé je vous ai mis ce qu'il y a de marqué :
<!--QuoteBegin-"L'Equipe - Regis Testelin 'Mille fois mérité'"+--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>
QUOTE ("L'Equipe - Regis Testelin 'Mille fois mérité'")</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin-->Face à une équipe du PSG parfois désespérante, Ajaccio a pris trois points importants pour son maintien
C’EST UNE VICTOIRE CAPITALE dans son combat pour le maintien en L 1 que l’AC Ajaccio a remportée hier soir face au Paris - Saint-Germain, grâce à un penalty d’André Luiz à la fin du premier quart d’heure. Une victoire qui va lui permettre d’aborder ses deux prochains déplacements – mercredi à Saint-Étienne puis samedi à Nantes – avec une situation comptable plus confortable et une confiance retrouvée. Voilà désormais les Corses à un petit point de la 17e place, synonyme d’un maintien que Rolland Courbis estime envisageable avec encore « trois victoires et trois matches nuls ». Si les Corses mettent dans leur dix prochaines rencontres le même enthousiasme qu’hier soir, cela pourrait leur sourire. Malheureusement pour eux, ils ne rencontreront pas à chaque fois des équipes aussi peu concernées par la fin du Championnat que ce PSG-là. Car hier soir, Paris a clairement donné l’impression de fausser la donne, disputant cette rencontre avec une suffisance et un détachement proches de la faute professionnelle. Bien sûr, Laurent Fournier ne résuma pas les choses comme ça, mais il y a autant d’interrogations que de réponses dans ses propos lorsqu’il se demande si le comportement de ses joueurs en première mi-temps n’était pas la conséquence d’un déficit de motivation. Les trois premières minutes de jeu auraient pourtant du suffire à lever ses doutes. Comme elles auraient dû rassurer Rolland Courbis sur le scénario de cette soirée et le visage du PSG, affligeant de bout en bout. Face à tant de désinvolture, et en profitant du nouvel échec d’un système en 5-3-2 auquel Fournier ferait bien cette fois de renoncer, l’AC Ajaccio ne se fit pas prier pour enfoncer le clou. En une mi-temps, grâce à un bon pressing, une incontestable envie de s’en sortir, un très bon tandem Ouadah-Demont, Ajaccio se procura une demi-douzaine d’occasions franches. Par moments, on vit même les Brésiliens du père Courbis se mettre à l’unisson. Cela commença par une volée d’Edson contrée par Pierre-Fanfan (5e) et cela s’acheva par une tentative de lob de Ouadah (43e). Entre les deux, les Corses trouvèrent l’ouverture à l’issue d’une mésentente de poussins entre Helder et Letizi, contraint de faucher Lucas dans sa surface. André Luiz transforma le penalty (1-0, 16e), l’AC Ajaccio ne relâcha pas son emprise, Demont poursuivit son festival et trouvale poteau (31e) pendantque les Parisiens semblaient plus s’inquiéter de l’heure du retour que du maintien en L 1. Aux occasions ajacciennes, il fallut donc décompter les disputes des Parisiens entre eux : Pierre-Fanfan/Cana (21e ) , Cis sé/Pauleta (23e) et Armand/Pauleta (38e). Ou comment rejeter la faute sur le gars d’à côté quand rien ne va plus… Fournier repasse en 4-4-2 Le rôle de Fournier fut alors de trouver une solution. Inutile libero, Helder laissa sa place à la mi-temps à Ljuboja pour le retour du 4-4-2. Dans l’utilisation des espaces et la circulation du ballon, cela ne changea rien et Paris continua de subir. La nouveauté, ce fut l’attitude des Parisiens, qui abandonnèrent la passivité au profit d’une agressivité parfois à la limite, ce qui est toujours mieux que rien. Si les avertissements de Mendy, Reinaldo et Cissé n’ont rien fait pour leur gloire, ils ont eu« l’avantage » de redonnerà la partie son caractère officiel. À l’heure de jeu, le match débuta donc enfin et les Corses, sans doute fatigués par tant d’efforts, commencèrent à reculer. Jusqu’au bout, Rolland Courbis dit avoir eu la trouille de perdre deux points. Mais la trouille de quoi ? Des dribbles ratés de Ljuboja ou des appels hors-jeu de Pauleta ? « De cette frappe de Cana, qui passa tout près du poteau dans le temps additionnel », lâcha l’entraîneur ajaccien. C’est ce qu’on appelle une demi–occasion et ce fut la seule de la rencontre pour le PSG, désormais à quatre points de la septième place –celle de laCoupe Intertoto – et à huit points de la première place de relégable, toujours détenue par l’AC Ajaccio. Le franc-parler d’Édouard Cissé mérite le dernier mot : « Ils nous ont bousculé dans tous les compartiments. On s’est fait bouger à la mi-temps par le coach mais après cette première mi-temps catastrophique, on avait pris trop de retard. » C’est rien de le dire…
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