
Je me branle pas ça me file des cloques.
Mais ça évite de mettre des filles en cloque. Egoïste. Tu mérites d'aller voir des Monaco-Bastia et des Nice-Bordeaux.G&ry a écrit :Moi![]()
Je me branle pas ça me file des cloques.
En plus d'un budget sans limite le PSG joue à 12Francis_Perrin a écrit : * L'équipe a tout gagné et était installé dans le confort d'un 443 qui ronronnait, qui ne passait pas de pallier.
Tu as vu les buts contre MTP ? 3 tirs 3 buts et aucun n'est tout faitNiko a écrit :3 frappes 2 buts![]()
ils ont trop de réussite en face![]()
bon sauf que les 2 buts c'est 2 frappes de mec seul au point de penalty c'est pas une frappe de 25m contrée par un gabian mon petit Francis
si-ma-tante-en-avait a écrit :Connaissant les proprios qui peuvent prendre des décisions radicales à tout moment, pensez-vous que les joueurs veulent lâcher le coach ?
C'est plus que ca, faut lire mon post d'avantmais c'est surtout les joueurs du PSG qui n'ont clairement plus envie de jouer
Francis_Perrin a écrit :SMT sans remettre en cause ta connaissance du mode de fonctionnement qatari, ton exemple sur la gestion des goals n'est pas du tout pertinente.
1- SIRIGU est un choix de LEONARDO
2- BLANC n'a pas digéré qu'il ne puisse pas être décisif en LDC ( y'a même des extrait sonores qui ont tourné a base de ''mais il arrête jamais rien lui"" )
3 - BLANC aimait TRAPP qu'il suivait depuis un moment et c'est lui et pas NASSER qui a voulu son arrivée
4 - EMERY arrive et AREOLA revient de prêt et c'est lui et aps NASSER qui après l'avoir vu a l'œuvre en LIGA le préfère a TRAPP
Bref, encore une fois je veux bien croire a ta connaissance sur le monde du Golfe mais pour le coup la gestion des gardiens c'et spas du tout le bon exemple![]()
Le pb il est tout simple, faut pas chercher loin :
1- le PSG se construit vite et tape fort avec LEONARDO. On écrase tout et BLANC donne un style l'équipe qui lui permet d'etre tranquille en L1 mais pas assez bon en LDC
2 - les joueurs sont dans un conforts et NASSER conforte ce confort ( ca se dit ca ?? ) en étant pote avec eux et pas assez distant >> melon, train de vie mauvais et blessures, conneries extra sportives...
3 - Aujourd'hui faut se bouger, virage a 90°avec boulot, pressing, gnac. Faut changer de style et les joueurs ne veulent pas sortir de ce confort et NASSER au lieu detre pote avec eux aurait du mieux préparer l'après IBRA et ce virage important
Du coup au lieu de 3-4mois de transition on va se taper une année de merde en espérant que le club apprenne de ses erreurs pour repartir comme il faut la saison prochaine
Daniel Riolo met sur la table les problèmes qui à ses yeux se posent au PSG aujourd’hui. Tranchant.
« Est-ce qu’on peut tenter d’aller un peu plus loin que : « Emery est pourri, il faut changer ? » Est-il permis d’envisager la situation du PSG en élargissant le champ des responsabilités ? Sortir d’une analyse limitée et bas du front consistant juste à opposer Blanc et Emery ? demande le journaliste sur RMC Sport. Dans ce club, les joueurs se planquent tout le temps. Nasser les protège. Trop. Avec Emery ça doit changer. Mais qui veut du changement ? Le groupe ? Non ! Contrairement à ce que disent certains, le Basque n’est pas dogmatique. Loin de là même. Il ne dit rien sur un recrutement qui n’est pas le sien.
On fait croire qu’il a voulu Krychowiak alors que tout le monde sait que le deal était fait avant l’Euro et que Létang et le joueur sont liés intimement depuis Reims ! […] Sur le terrain, les choix sont discutables. Celui d’Areola n’est pas déterminant. Le gardien français pourtant excessivement protégé par les médias. Pour bien moins que ça, Trapp s’était fait mettre en pièces ! Plus globalement, Emery ne trouve pas d’équipe. Les joueurs, certains, disent ne pas comprendre le message. Ils ne comprennent pas ou ne veulent pas comprendre ? Emery a été compris partout, pourquoi pas au PSG ? Parce que Séville, ce n’est pas Paris ? J’ai entendu qu’on ne parle pas aux stars parisiennes comme à celle d’Andalousie. Cet argument me fait bondir.
Le problème, c’est peut-être aussi que les joueurs du club se prennent pour ce qu’ils ne sont pas non ? Prenons un exemple… Marco Verratti est, paraît-il, l’avenir du club. Je passe sur les aléas de sa vie privée et son professionnalisme sujet à caution. Il n’a pas aimé le départ d’Ibra, le grand frère. Pour lui, ça traduit un manque d’ambition du club. A tel point que c’est devenu chez lui une obsession. Son agent, Di Campli, ne parle que de ça. Mon joueur va perdre de sa valeur si le PSG ne gagne plus ! Il ne pense pas, si mon joueur est fort, le PSG sera meilleur. Non, c’est le PSG qui a des devoirs envers lui ! Hallucinant non ? Une remise en question ? Jamais ! Les petits clans ont toujours existé au club, mais là, le souci s’accentue. Fini les photos des repas communs. Emery constate le manque d’implication général. Il a arrêté les longues séances vidéos. Il ne s’impose pas. Les joueurs ont gagné.
Il est allé voir le président pour demander de nouveaux joueurs. Il ne veut plus de Kurzawa qui pense plus à ses places de concerts qu’aux entraînements. Il se braque sur Di Maria mais le fait jouer tellement les autres à ce poste sont médiocres. Il se tourne vers Thiago Silva, mais découvre ce que tout le monde savait : c’est un faux capitaine. Un « monstro » de papier. Lui enlever le brassard ? On risquerait la dépression et puis c’est l’ami du patron. Motta qui pensait passer une saison tranquille dans un rôle de remplaçant de luxe est incontournable. Aurier est perpétuellement dans une quête de rachat par rapport à l’année dernière. Ceux qui pensent que les affaires n’ont pas d’impact sur lui frisent l’ignorance.
Penser qu’Emery ou un autre démêlera ce sac de nœuds est illusoire. Le seul à pouvoir rétablir l’ordre, c’est Al-Khelaïfi. Au-dessus d’Emery, Létang et Kluivert ne se parlent pas et ne servent quasiment à rien. Le directeur du football ne savait même pas qui était Meunier. Une sorte de symbole. Jamais un coach ne s’est imposé sans sa direction. Blanc a, d’une autre façon, connu le même problème. Il paraît que tout peut aller vite dans le football, il paraît qu’on peut se dire les choses… Si ces lieux communs revêtent une partie de vérité, il faut agir vite. Et que celui qui doit parler, parle ! S’il en est capable ! »