

Mathieu,
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Cette bande de naïfs qui tombent des nuesZagreb-PSG: «Le club se fout des supporters»
«Pour des raisons préventives de sécurité, le Paris Saint-Germain a décidé de ne pas organiser de déplacement officiel de ses supporters et de ne vendre aucun billet pour cette rencontre.» La décision a été confirmée lundi matin. Comme prévu lors du tirage au sort, le PSG a décidé de fermer le robinet à la source avant le déplacement à Zagreb en Ligue des champions. La raison officielle? «Un contexte délicat et des contentieux possibles avec des supporters russes et serbes qui pourraient être là» explique Antoine Boutonnet, le chef de la Division Nationale de lutte contre le hooliganisme, sans mentionner les Bad Blue Boys de Zagreb, connus pour faire partie des groupes de hooligans les plus durs en Europe. Une justification prétexte, selon *Fabien, un supporter parisien: «On est habitués à aller dans des stades plus chauds. Zagreb, ce n’est pas plus dangereux que ça». Pas grave, cet ancien abonné de la tribune Auteuil n’avait de toute façon pas prévu de se rendre à Zagreb. Trop cher, trop loin. Et puis il n’a toujours pas digéré le déplacement à Porto début octobre.
«A Porto, on a été exemplaires»
Ce jour-là, Plusieurs dizaines de fans parisiens se rendent au Portugal par leurs propres moyens, achètent un billet surplace…pour finir par se faire refouler aux portes du stade. *Maxime, un autre supporter présent sur place, raconte: «Les policiers français nous ont dit «Tenez-vous à carreau et on vous laissera rentrer au stade». On a été exemplaires toute la journée, on s’est fait prendre en photo par les touristes, et le soir on se fait matraquer par les flics portugais». A l’origine de ce revirement, «une bagarre de boîte de nuit» transformée en rixe Boulogne/Auteuil par les forces de l’ordre et les médias, dénoncent les deux hommes. Un symbole, surtout, de la politique toujours plus répressive du PSG à l’encontre de ses ultras, juge Fabien: «Il y a encore deux ans, on avait pu se rendre à Benfica tranquillement et même bénéficier du parquage réservé aux supporters officiels. Aujourd’hui, tu poses des congés, tu dépenses 250 euros, et t’es même pas sûr de voir le match.»
«Les déplacements, c’est notre combat»
Le tri par l’argent, un autre reproche adressé au PSG par ses supporters historiques: «Pour Porto, le club proposait des packages à 340 euros sans même l’hôtel, quand nous on a payé 200/250 euros tout compris. C’est inadmissible» déplore Maxime. Une politique presque assumée par Jean-Claude Blanc, qui défendu dans le Parisien le droit pour un club «de choisir son public». Dans ces conditions, pourquoi continuer à soutenir le PSG ? «Les déplacements c’est notre combat pour montrer que le plan Leproux a d’abords servi à dégager du stade des gens biens s’agace Maxime. Aujourd’hui, le club se fout de ses vrais supporters.» Fabien non plus ne veut pas désespérer: «A Kiev, je n’irai pas, je me réserve pour une beau huitième de finale. Milan ce serait pas mal». Hors déplacements officiel, dans tous les cas: «Je ne vais pas partager ma tribune avec des mecs qui sont supporters depuis deux ans et qui crachaient sur le club quand il jouait le maintien…».
JC Blanc a écrit :le droit pour un club «de choisir son public»
Le PSG alerte les autorités croates sur la venue d'"individus à risque" - 21/10/2012
Source : http://www.eurosport.fr
Le PSG a "alerté les autorités croates" de la possibilité de voir "une centaine d'individus reconnus à risque" se déplacer mercredi à Zagreb où le club parisien affrontera le Dinamo en Ligue des champions.
"Une rumeur persistante laisse craindre qu'une centaine d'individus reconnus à risque se déplacerait de manière indépendante à Zagreb pour ce match classé à haut risque par l'UEFA. Ces personnes outrepassant la décision du club ne sauraient en aucun cas représenter le Paris Saint-Germain", écrit le club dans un communiqué.
Pour des raisons de sécurité, le PSG a décidé de ne pas organiser de déplacement officiel de supporteurs pour ce match et n'a vendu aucun billet. "Le club souhaite que tout soit mis en oeuvre pour éviter tout débordement en marge et à l'occasion de cette rencontre de football. Le Paris SG demande instamment à toute personne tentée par ce déplacement d'y renoncer", écrit encore le club dans son communiqué.
Lors de la précédente journée de Ligue des champions, une cinquantaine de supporteurs du PSG avaient été empêchés de pénétrer dans le stade de Porto. Auparavant, dans la matinée, des incidents impliquant des supporteurs du club parisien avaient eu lieu dans la ville. Le club parisien avait prévu un déplacement officiel et encadré de supporteurs pour ce match à Porto mais avait dû l'annuler, faute d'un nombre suffisant d'inscrits. Plusieurs dizaines de supporteurs parisiens s'étaient néanmoins rendus à Porto par leurs propres moyens.
Maxifoot :
Conseiller au sport de la présidente du Front National Marine Le Pen, Éric Domard s'est fendu sur le site officiel du parti d'extrême droite d'une tribune intitulée : "Le PSG est-il encore un club français ?"
Y sont dénoncés, pêle-mêle, les "mesures communautaristes prises par son président Nasser al-Khelaïfi de proposer une version en arabe du site officiel du PSG", "la volonté exprimée dans les colonnes du quotidien algérien Le Buteur de recruter des joueurs arabes", ou encore "l'entrisme de l'émirat islamique en France" dont le club parisien serait le "vecteur".
Selon le militant, "cette politique par essence discriminatoire se fera au détriment de la formation des jeunes joueurs locaux".
Pour rappel, cinq Parisiens dont deux formés au club ont récemment été appelés en équipe de France.(Par Julien Demets)
C'est moi ou depuis qu'il a pris sa retraite, dans son esprit jamais aucun gardien au PSG ne sera jamais meilleur qu'il ne l'a été ?PSG : Lama a vraiment du mal avec Sirigu (30/10/2012)
Début octobre, Bernard Lama avait déjà fait savoir qu'il préférait le Marseillais Steve Mandanda au Parisien Salvatore Sirigu (25 ans, 9 matchs en L1 cette saison). Dans les colonnes de But!, l'ex-portier du PSG en remet une couche au sujet de l'Italien, dont il n'apprécie pas du tout le style.
"Il est bon, il fait des arrêts sur sa ligne, mais le problème est qu'il ne garde pas un seul ballon. Ça me gêne. Un gardien qui repousse tout le temps, c'est un gardien qui sera battu, estime Lama. Il a aussi trop de lacunes au niveau du jeu aérien, au pied. C'est un bon gardien, mais sans plus. Il ne sera jamais un grand gardien. Sauf par la taille. Pour être un grand gardien, il faut savoir se déplacer, sortir de sa surface et jouer au pied. Et tout ça, il ne sait pas le faire."
Beaucoup d'équipes se contenteraient d'un gardien moyen comme Sirigu.
(Par Pierre-Damien Lacourte)
et des mecs, dont sirigu, qui trouvent l'expulsion sévèreWinnie a écrit :Paris mené 2-0 au Parc, Matuidi sorti blessé, Ibrahimovic expulsé après un mawashi sur Ruffier, voilà une bonne soirée qui s'annonce
J'ai du raté sa sortie précédente pour dire que l'expulsion de Fanni couplée à un pénalty était tout aussi anormale...Excédé, Leonardo a lancé les hostilités. Interrogé sur Canal +, le directeur sportif parisien s'est lâché comme rarement. "Ca commence déjà avec une faute de l'attaquant (Charbonnier) sur Sakho, si on siffle, c'est fini", s'est-il d'abord agacé en regardant les images de l'action avant d'enchaîner : "Sincèrement, je ne comprends pas (...) Je n'aime pas parler d'arbitre, mais sincèrement, il faut réfléchir. C'est un match important, on ne peut pas le déterminer après dix minutes".
Le PSG "n'a pas le respect nécessaire"
Très remonté contre cette décision qui a compliqué la tâche de son groupe, Leo s'étonne du traitement accordé au PSG. Avec son nouveau statut, Paris attire les regards. Un peu trop parfois à son goût. "J'ai peur qu'avec nous tout le monde regarde tout, tout le monde étudie tout, et contre nous il y a trop de détails qui jouent, a-t-il poursuivi. Ce n'est pas bien, on n'est pas content, c'est un match complètement déterminé par ça". Leo ne demande pas grand chose: "Rien de spécial. Seulement la normalité", a-t-il espéré. Une complainte reprise par Carlo Ancelotti quelques minutes plus tard en conférence de presse. "J’ai peur qu’on fasse trop attention à nous. Ce n’est pas bien."